Lewis Carroll, Benjamin von Stuckrad-Barre, Eliette Abécassis, Ethan Mordden, Guy Vaes, James Grippando, Mordecai Richler, Leopold von Sacher-Masoch, Mikhail Saltykov-Shchedrin, Ilja Ehrenburg, Neel Doff, Rudolf Geel, Balduin Möllhausen, Bernd Jentzsch

De Engelse dichter en schrijver Lewis Carroll werd op 27 januari 1832 in Daresbury. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.

 

Epilogue to Through the Looking Glass

 

A boat, beneath a sunny sky

Lingering onward dreamily

In an evening of July —

 

Children three that nestle near,

Eager eye and willing ear

Pleased a simple tale to hear —

 

Long has paled that sunny sky:

Echoes fade and memories die:

Autumn frosts have slain July.

 

Still she haunts me, phantomwise

Alice moving under skies

Never seen by waking eyes.

 

Children yet, the tale to hear,

Eager eye and willing ear,

Lovingly shall nestle near.

 

In a Wonderland they lie,

Dreaming as the days go by,

Dreaming as the summers die:

 

Ever drifting down the stream —

Lingering in the golden gleam —

Life what is it but a dream?

 

Caroll
Lewis Carroll (27 januari 1832 – 14 januari 1898)

 

 

De Duitse schrijver Benjamin von Stuckrad-Barre werd op 27 januari 1975 in Bremen geboren. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.

Uit: Was.Wir.Wissen.

Alles kann man nicht wissen. Das weiß jeder. Bis immerhin Goethe (†1832) war das Weltwissen noch so überschaubar, dass man es sich komplett aneignen konnte – angeblich. Heute weiß man mehr und keiner mehr alles. Doch was man wenigstens wissen sollte, wird gern und häufig diskutiert und tabellarisch daherbehauptet. Allgemeinbildung!

Sollte man haben. Überhaupt: Das Wissen eines jeden wächst natürlich von Geburt bis Tod. Man lernt dazu – und wozu genau? Zum schon Gewussten, Abgenickten, Bewiesenen. Und wofür, das weiß man ja auch, nämlich nicht für die Schule. Sad vitae, traurige Lebensläufe. Ein Witz, ein Fehler? Vielleicht auch ein Filmtitel. Mal nachgucken – und schon ist man drin.

Das ideale Medium, Wissen zu archivieren, zu verbreite(r)n, stetig, vertieft zu verknüpfen, ist mit dem Internet gefunden. Finden kann man dort alles, nur verliert man sich (tatsächlich und wortwörtlich alles Mögliche findend) bei der Suche gern einmal. Was es alles gibt, staunt man und ist so ratlos wie fasziniert. Es gibt nichts, was es nicht gibt, heißt es im so genannten Volksmund. Dieser wird gemeinhin als Urheber und Benutzer solcher Weisheiten, Bezeichnungen und Redewendungen identifiziert, deren Gebrauch zum Brauch geworden ist.

In diesen Prozess von Sprach- und Wissensentwicklung ermöglicht das Internet frühzeitig Einblick und Teilnahme. Jeder darf mitdefinieren. Und die relative Gleichförmigkeit von Präsentation, Zugänglichkeit und Ausschilderung von Quellen sehr unterschiedlicher Qualität spiegelt und potenziert die Verwirrung. An Wegweisern, Empfehlungen, Leitplanken und Abholungsangeboten mangelt es so wenig wie an Warnungen, Abschreckungen und Alternativen. Pisa usw.? Eher Babel und so www. Es wird Zeit, diesem Maul mal aufs Volk zu schauen.

 

Stuckrad-Barre

Benjamin von Stuckrad-Barre (Bremen, 27 januari 1975)

 

De Franse schrijfster Eliette Abécassis werd geboren op 27 januarri 1969 in Straatsburg. Zij bezocht er de École normale supérieure en studeerde later filosofie. Voor haar eerste roman Qumran deed zij drie jaar lang onderzoek. De roman was meteen een groot succes en werd in achttien talen vertaald.  Werk: o.a. L’Or et la cendre, 1997, La Répudiée, 2000, Le Trésor du temple, 2001, Un heureux événement, 2005, Mère et fille, 2008.

 

Uit: Mon père

 

« Il y a deux ans, lorsque j’ai perdu mon père, je n’avais plus de goût à la vie. Plus rien, plus personne ne trouvait grâce à mes yeux, et je me suis laissé envahir par une force inquiétante et diffuse, qui m’aspirait, m’empêchant de me lever le matin, de sortir et de voir des amis, sans que je puisse rien faire. Je n’avais pas le courage de lire, et regarder la télévision me fatiguait. Je m’endormais facilement, mais je me réveillais prématurément. Je me réveillais, misérable, malheureuse du jour qui se lève, et je me couchais, sans attente du jour qui suit. Je déambulais dans mon appartement, seule, et je commençais à perdre tout espoir de retrouver un sens à mon existence, lorsqu’un matin, j’ai reçu une lettre venant d’Italie, de la part d’un homme qui cherchait des renseignements sur un certain Georges B.

Georges B., c’était le nom de mon père. L’homme qui m’avait adressé ce courrier ne m’en disait pas plus, mais il me priait de lui répondre rapidement, car «c’était une chose importante pour lui». Je lui ai aussitôt renvoyé un message, dans lequel je lui écrivais que je connaissais la personne qu’il recherchait, qu’elle était décédée, et que j’étais sa fille. Quelques jours plus tard, j’ai reçu un mot du même individu. Il me disait qu’il s’appelait Paul M. et qu’il était le fils de mon père.

Alors je me suis souvenue d’une photo, une photo d’un petit garçon que j’avais trouvée dans la veste de mon père. Sans pouvoir l’expliquer, immédiatement, j’ai su que cet homme disait vrai. »

 

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Eliette Abécassis (Straatsburg, 27 januarri 1969)

 

De Amerikaanse schrijver Ethan Mordden werd geboren op 27 januari 1947 in Pennsylvania. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.

Uit: All That Glittered

Lightnin’ Has Struck!

 When Frank Bacon left school at the age of fourteen, his native California counted more jobs to fill than skilled labor qualified to fill them. If not exactly the anarchic frontier of legend, California in the 1880s nevertheless offered opportunity to anyone with—as they put it then—gumption. Young Bacon tried sheepherding, advertising soliciting, and newspaper editing, and even ran an unsuccessful campaign for the state assembly. Then he fell into acting.

It was easy to do at the time, for people went to theatre then almost as casually as they turn on the television today, and playhouses were literally everywhere. Some were operated by resident repertory troupes, the “stock” companies that sustained public interest with a constantly changing bill. Certain theatres in a given region were linked to form “wheels” of companies not resident but traveling as wholes from one house to another every six weeks or so; unlike the stock companies, who played everything, the wheels played host to certain genres, for instance in thrill melodrama or society comedy.

The expansion of the railroad doomed stock and eventually closed down the wheels, for now the “combination” troupe dominated the national stage: one unit of actors giving a single work and touring with all the necessary sets and costumes. A success in this line meant moving from one theatre to the next
(with perhaps a hiatus in summer) for months or even years. Along with bookings in small towns and provincial capitals lay the possibility of an extended run in Chicago or New York.“

 

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Ethan Mordden (Pennsylvania, 27 januari 1947)

 

De Belgische, Franstalige, schrijver Guy Vaes werd geboren op 27 januari 1927 in Antwerpen. Vaes werd journalist. Eerst in Antwerpen voor Le Matin en La Métropole, later voor het Brusselse weekblad Spécia . Hij was chef van wat,,de sociaal-culturele rubriek” werd genoemd en schreef over literatuur, muziek en film. In 1956 verscheen zijn roman Octobre long dimanche die een vergelijkbare impact had als Le Voyeur van Alain Robbe-Grillet die in hetzelfde jaar verscheen. Daarna duurde het tot 1983 voordat er een tweede roman, L’Envers, verscheen. Vaes schreef verder ook gedichten en essays.

Uit : Une descente aux Enfers. À propos de Hugo von Hofmannsthal

„On a souvent insisté sur les alternances du Haut et du Bas chez Hofmannsthal. En ce qui concerne le romancier que je suis, c’est le Bas, dans son interaction avec le Haut, mais un Haut menacé d’occultation, qui me parle. Le « réalisme » de Hofmannsthal est celui du visionnaire qui accuse la visibilité du réel. Relisez ses descriptions de faubourgs et de nature souillée. Jamais il ne perd de vue, soucieux de la dynamique narrative (et je cite ici l’un de ses aphorismes), que « le secret de la vie, c’est l’antithèse ».

Descendons à présent les degrés qui vont du Haut jusqu’au Bas. Ils sont liés, inextricablement, sans toutefois former d’amalgame. L’un n’a point de sens sans l’autre. Leur interaction est ininterrompue. Les éclairs du Haut dans les fosses du Bas, les exhalaisons du Bas infiltrant l’oxygène à l’état naissant du Haut. Pas de manichéisme ici. Seulement des extrêmes qui alternativement se touchent sans qu’intervienne un accord. L’unité de l’Être, car c’est toujours à elle

qu’on est reconduit, nous ne pouvons/savons la percevoir qu’à la faveur d’une illumination. Elle n’est pas un objet dont on dispose. Elle est ce qui nous assaille.

Faisant appel à ce que les Grecs nomment le terrible (ce dehors chargé de menaces), ainsi qu’à l’illumination émerveillante, Hofmannsthal se reporte à son voyage en Grèce, en 1908. Là, il se détourna de toute approche érudite. Toujours plus ou moins déchiré par son appartenance parentale au midi et au nord il finit par se demander ce que les Grecs peuvent encore lui apprendre. Jusqu’à ce que l’ébranle, au petit musée de l’Acropole, la révélation de cinq Corés archaïques, celles-là mêmes qui mettront en déroute Charles Maurras. En cet endroit se confondent les époques. Mythe et réalité aboutissent aux unions les plus déroutantes. La bête et la créature humaine frôlent l’osmose, et l’homme se rapproche de Dieu. Le temps d’un roulement de tonnerre, les extrêmes se touchent — presque. Revenant sur cette expérience, l’écrivain, dans un article de 1922, notera : « Ici nous devons le reconnaître, il existe un mystère de la pleine lumière.“

 

Vaes

Guy Vaes (Antwerpen, 27 januari 1927)

 

De Amerikaanse schrijver James Grippando werd geboren op 27 januari 1958 in Waukegan, Illinois. Zie ook mijn blog van 27 januari 2008.

Uit: Hear No Evil

My husband was murdered.”

Lindsey Hart spoke in the detached voice of a young widow still grieving. It was as if she still couldn’t believe that the words were coming from her mouth, that something so horrible had actually happened. “Shot once in the head.”

“I’m very sorry.” Jack wished he could say more, but he’d been in this situation before, and he knew there really wasn’t anything he could say. It was God’s will? Time heals all wounds? None of that would do her any good, certainly not from his lips. People sometimes turned to strangers for that kind of comfort, but rarely when the stranger was a criminal defense lawyer billing by the hour.

Jack Swyteck was among the best Miami’s criminal trial bar had to offer, having defended death row inmates for four years before switching sides to become a federal prosecutor. He was in his third year of private practice, steadily building a name for himself, despite the fact that he’d yet to land the kind of high-charged, high-profile jury trial that had vaulted plenty of lesser lawyers into stardom. But he was doing just fine for a guy who’d withstood an indictment for murder, a divorce from a fruitcake, and the unexplained appearance of the naked, dead body of his ex-girlfriend in his bathtub.

“Do the police know who did it?” asked Jack.

“They think they do.”

 

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James Grippando (Waukegan, 27 januari 1958)

 

De Canadese Schrijver Mordecai Richler werd geboren op 27 januari 1931 in Montreal. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.

 

Uit: Mordecai Richler Was Here: Selected Writings

 

One St. Urbain Street day cribs and diapers were cruelly withdrawn and the next we were scrubbed and carted off to kindergarten. Though we didn’t know it, we were already in pre-med school. School-starting age was six, but fiercely competitive mothers would drag protesting four-year-olds to the registration desk and say, “He’s short for his age.”
“Birth certificate, please?”
“Lost in a fire.”
On St. Urbain Street, a head start was all. Our mothers read us stories from Life about pimply astigmatic fourteen-year-olds who had already graduated from Harvard or who were confounding the professors at MIT. Reading Tip-Top Comics or listening to The Green Hornet on the radio was as good as asking for a whack on the head, sometimes administered with a rolled-up copy of the Canadian Jewish Eagle, as if that in itself would be nourishing. We were not supposed to memorize baseball batting averages or dirty limericks. We were expected to improve our Word Power with the Reader’s Digest and find inspiration in Paul de Kruif’s medical biographies. If we didn’t make doctors, we were supposed to at least squeeze into dentistry. School marks didn’t count as much as rank. One wintry day I came home, nostrils clinging together and ears burning cold, proud of my report. “I came rank two, Maw.”

 

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Mordecai Richler (27 januari 1931 – 3 juli 2001)

 

De Duitse schrijver Leopold Ritter von Sacher-Masoch werd geboren op 27 januari 1836 in Lemberg. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007. 

Uit: Mondnacht

Es war eine klare, warme Augustnacht. Ich kam vom Gebirge herab, die Flinte auf der Schulter, mein großer schwarzer englischer Wasserhund ging müde Schritt für Schritt hinter mir und ließ die Zunge hängen. Wir waren vom Wege abgekommen. Mehr als einmal stand ich still, blickte umher und suchte mich zurecht zu finden. Dann setzte sich mein Hund regelmäßig nieder und sah mich an.

Vor uns lag ein sanftes bewaldetes Hügelland. Ueber den blauschwarzen Bäumen stand der volle rothe Mond und warf ein grelles Feuer auf den dunkeln Himmel. Groß und ruhig floß der weiße Strom der Sterne von Osten gegen Westen, tief am nördlichen Horizonte stand der große Bär. Zwischen den nahen Weidenstämmen stieg ein leichter durchsichtiger Dunst von dem kleinen Sumpfe auf, welcher in mattem grünem Schimmer zitterte, eine Rohrdommel stöhnte im Schilf. Wie wir vorwärts schritten, füllte sich die Landschaft immer mehr mit Licht. Zu beiden Seiten traten die düsteren Baumwände langsam zurück und vor uns wogte die Ebene, ein grünes schimmerndes Meer, auf dem ein weißer Edelhof mit seinen großen Pappelbäumen wie ein Schiff mit vollen Segeln schwamm. Von Zeit zu Zeit zog ein sanfter Luftstrom durch Halme und Blätter und mit ihm ein wunderbarer Ton. Als ich näher kam, entfaltete er sich in schwermüthiger Schönheit. Es war ein gutes Piano und eine geübte feine Hand spielte die Mondscheinsonate von Beethoven. Mir war es, als werfe eine wunde Menschenseele ihre Thränen auf die Tasten. Eine verzweifelte Dissonanz – dann schwieg das Instrument. Ich war kaum hundert Schritte von dem kleinen einsamen Edelhofe entfernt, dessen finstere Pappeln trübselig rauschten. Ein Hund rasselte traurig an seiner Kette, ein fernes Wasser sang einförmig, weinerlich durch die Nacht.

 

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Leopold von Sacher-Masoch (27 januari 1836 – 9 maart 1895)

 

De Russische schrijver Mikhail Saltykov-Shchedrin werd geboren op 27 januari 1826 in Spas-Ugol, Tver. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007. 

Uit: How a Muzhik Fed Two Officials

„Once upon a time there were two Officials. They were both empty-headed, and so they found themselves one day suddenly t
ransported to an uninhabited isle, as if on a magic carpet.

They had passed their whole life in a Government Department, where records were kept; had been born there, bred there, grown old there, and consequently hadn’t the least understanding for anything outside of the Department; and the only words they knew were: “With assurances of the highest esteem, I am your humble servant.”

But the Department was abolished, and as the services of the two Officials were no longer needed, they were given their freedom. So the retired Officials migrated to Podyacheskaya Street in St. Petersburg. Each had his own home, his own cook and his pension.

Waking up on the uninhabited isle, they found themselves lying under the same cover. At first, of course, they couldn’t understand what had happened to them, and they spoke as if nothing extraordinary had taken place.

“What a peculiar dream I had last night, your Excellency,” said the one Official. “It seemed to me as if I were on an uninhabited isle.”

Scarcely had he uttered the words, when he jumped to his feet. The other Official also jumped up.

“Good Lord, what does this mean! Where are we?” they cried out in astonishment. They felt each other to make sure that they were no longer dreaming, and finally convinced themselves of the sad reality.“

 

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Mikhail Saltykov-Shchedrin (27 januari 1826 – 10 mei 1889)
Portret door Ivan Kramskoi

 

De Russische dichter en schrijver Ilja Ehrenburg werd geboren op 27 januari 1891 in Kiev. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

1957

I could have lived a completely different life,
and the soul was once created
for some kind of Moscow dacha,
where from the walls drips the dew.
Where you walk awakened by the sunrise
to the slope of the rivers shore,
and to see how in the dreamy humidity
little funny spiders run around.
My dear, my distant, please relate,
why have you become my torment,
why I will never come to you,
not able to come to you forever? …

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Ilja Ehrenburg (27 januari 1891 – 31 augustus 1967)

 

De Franstalige, maar oorspronkelijk Nederlandse schrijfster Neel Doff werd geboren in Buggenum op 27 januari 1858. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007. 

Uit: Keetje Tippel

Moeder was de hele morgen bezig geweest ons te wassen en aan te kleden en had geen tijd gehad om aardappels te koken; wij aten wat brood en dronken koffie. Om twee uur kwam ouwe Dientje, een buurvrouw, ons ophalen voor de kermis op de Nieuwmarkt. Wij gingen op stap, moeder met de baby en Dientje met Naatje op de arm; de groten – twee jongens en twee meisjes – liepen hand in hand voorop.

Hoe wij naar de Nieuwmarkt kwamen, die een heel eind van ons huis lag, herinner ik mij niet meer. Zoveel weet ik nog wel, dat wij ons onverhoeds midden in de menigte bevonden; dat voor de kermistenten dames in engelenjurken boven op paarden in geborduurde stroken zijde zaten; dat een man die in de meel was rondgerold met een schorre zangstem stond te lachen; dat de draaimolens, rondom versierd met bebloemde stoffen, ronddraaiden terwijl mannen en vrouwen arm in arm hosten en zongen bij het orgel, dat door trompetjes een wijsje uitschetterde: Hopla met de benen, het zijn geen molenstenen!

Hele troepen dienstmeisjes, met hun hoed over hun mutsje gestolpt en een omslagdoek over de schouders, liepen gearmd met werklui te zingen en te springen van ‘hossen, hossen, hossen’. Wit van angst stompte moeder mij voor zich uit: ‘Hier blijven lopen, lelijke meid, als je niet oppast lopen ze ons nog onder de voet!’ Tenslotte deed ze zo lelijk tegen me, dat ik de hand van Hein losliet en langs een gracht wegrende. Maar opeens besefte ik in paniek dat ik daar alleen stond en de weg naar huis niet wist. Ik klampte een voorbijganger aan.

‘Als je hier langs de gracht blijft lopen, kom je bij de Amstel. Daar moet je linksaf en dan vind je je straat wel.’

 

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Neel Doff (27 januari 1858 – 14 juli 1942)

 

De Nederlandse schrijver Rudolf Geel werd geboren in Amsterdam op 27 januari 1941. Geel is docent taalbeheersing aan de Universiteit van Amsterdam. Hij publiceerde de verhalenbundels Trage schaduwen (1991) en Een dichteres uit Los Angeles (1994), en de romans De paradijsganger (1988) en Dierbaar venijn (1992). Hij bezocht als gastdocent van het Instituut voor de Opleiding van Leraren enkele malen Suriname, en publiceerde daar ook de handleiding Het schrijven van leesbare teksten en brieven (1995). Ook in 1995 publiceerde hij de essaybundel Volmaakte schrijvers schrijven niet, over het scheppingspoces van literaire en andere teksten. Hij was redacteur van het algemeen-culturele tijdschrift De Gids en voorzitter van het Nederlandse Centrum van de internationale schrijversvereniging de P.E.N.

 

Uit: Het eerste artikel

“Ik zou er heel wat voor over hebben als ik mijn allereerste stukje nog bezat. Het was helemaal niets. En toch stonden er woorden op papier. Die middag leerde ik versneld mijn eerste les: als je gaat schrijven, dan moet je wel een onderwerp hebben en daarnaast bij voorkeur geen pretenties. Veel schrijven levert niet alleen ervaring op, maar ook onderwerpen die bij een volgende gelegenheid soms in een geheel nieuw licht geplaatst kunnen worden.
Een jaar na mijn debuut, dat ik niet inleverde, schreef ik overigens desnoods in mijn eentje het schoolblad vol. Dat kwam omdat ik, geholpen door de eerste ervaring, snel een tweede les leerde: er zijn onderwerpen te over, als je maar niet te ver van huis gaat. Mijn allereerste artikel ging natuurlijk over iets heel ingewikkelds. Waarom schreef ik die middag bij mijn grootouders niet over bijvoorbeeld jazzmuziek, waarover ik in die tijd volop meningen had? Een jaar later had ik dat beter begrepen.Vervolgens leerde ik een derde les, die ik schrijvers in spe nog graag voorhoud: alleen brutale mensen slagen in het schrijversvak. Al zijn ze als persoon nog zo aardig, achter de tekstverwerker moeten schrijvers veranderen in wolven. Als schrijverswolf mogen ze vervolgens uitsluitend bijten in mensen die in principe sterker zijn dan zij. Helaas wordt dit eenvoudige uitgangspunt, dat de trots uitmaakt van het vak, al te vaak genegeerd.”

 

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Rudolf Geel (Amsterdam, 27 januari 1941)

 

De Duitse schrijver Balduin Möllhausen werd geboren op 27 januari 1825 in Bonn. Zijn publicaties “Tagebuch einer Reise vom Mississippi nach den Küsten der Südsee” en “Reisen in die Felsengebirge Nordamerikas bis zum Hochplateau von Neu-Mexiko behoren tot de beste en populairste reisbeschrijvingen uit de 19e eeuw. Van hem stammen ook de eerste beelden van de Grand Canyon en van de daar levende Mohave- und Wallapai-Indianen. Hij werd gesteund door Alexander von Humboldt en was een kennis van Theodor Fontane. De ervaringen en herinneringen die hij tijdens zijn reizen opdeed verwerkte hij in meer dan veertig romans en talrijke verhalen en novellen.

Uit: Die Mandanenwaise

 

Der eisige Novembersturm streift die letzten braunen Blätter von den Bäumen und wirbelt sie mit vereinzelten kleinen Schneeflocken durcheinander. Bleifarbig hängt der Himmel über der öden Landschaft, als ob er sich in jedem Augenblick auf die Erde niedersenken wolle, um das letzte im Freien zurückgebliebene Leben gewaltsam zu erstarren.

Ohne Furcht oder Bedauern über meinen Entschluß sehe ich dem Winter entgegen, den langen einsamen Nächten und den kurzen Tagen. Ohne Furcht oder Bedauern stehe ich im Begriff, mich aus Monate in diese Wildniß zu vergraben, in eine Wildniß, in welcher keine menschliche Stimme an mein Ohr dringt, der Ton meiner eigenen Stimme von Niemand gehört, unheimlich in den endlosen Räumen verhallt.

Doch nein, ich darf nicht ungerecht sein; denn während ich die Geschichte meines wechselvollen Lebens niederschreibe, werde ich mit schüchterner Anhänglichkeit beobachtet, und wenn ich von meiner Arbeit zufällig emporschaue, blicke ich in die dunklen melancholischen Augen eines indianischen Kindes, meines Schützlings, wahrscheinlich einer der Letzten des einst so mächtigen und glücklichen Mandanenstammes.

Das arme Mädchen, welches mit dankbarem Herzen zu mir, wie zu einer Gottheit emporblickt, mildert das traurige Gefühl der gänzlichen Vereinsamung, welches mich bei dem Gedanken an den langen, unerbittlich strengen Winter beschleicht. Ich kann mir wenigstens sagen: »ich bin nicht allein;« und ist es mir auch nicht vergönnt, mit dem armen, von der ganzen Welt verlassenen Wesen eine meiner Vergangenheit entsprechende Unterhaltung anzuknüpfen, se vermag ich es doch zu belehren, zur Aufnahme in eine Mission vorzubereiten und damit einen guten Zweck zu erfüllen.“

 

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Balduin Möllhausen (27 januari 1825 – 28 mei 1905)

 

Zie voor onderstaande schrijver ook mijn blog van 27 januari 2008.

De Duitse dichter en schrijver Bernd Jentzsch werd geboren op 27 januari 1940 in Plauen. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

 

Lewis Carroll, Bernd Jentzsch, Benjamin von Stuckrad-Barre, Mordecai Richler, Ethan Mordden, James Grippando, Leopold von Sacher-Masoch, Mikhail Saltykov-Shchedrin, Ilja Ehrenburg, Neel Doff

De Engelse dichter en schrijver Lewis Carroll werd op 27 januari 1832 in Daresbury. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

 

THE WHITE RABBIT’S VERSES

They told me you had been to her,

And mentioned me to him;

She gave me a good character,

But said I could not swim.

 

He sent them word I had not gone.

(We know it to be true.)

If she should push the matter on,

What would become of you?

 

I gave her one, they gave him two,

You gave us three or more;

They all returned from him to you,

Though they were mine before.

 

If I or she should chance to be

Involved in this affair,

He trusts to you to set them free,

Exactly as we were.

 

My notion was that you had been

(Before she had this fit)

An obstacle that came between

Him and ourselves and it.

 

Don’t let him know she liked them best,

For this must ever be

A secret, kept from all the rest,

Between yourself and me.

 

 

 

MY FANCY

I painted her a gushing thing,

With years perhaps a score;

A little thought to find they were

At least a dozen more;

My fancy gave her eyes of blue,

A curly, auburn head;

I came to find the blue a green

The auburn turned to red.

 

She boxed my ears this morning–

They tingled very much;

I own that I could wish her

A somewhat lighter touch;

And if you were to ask me how

Her charms might be improved,

I would not have them added to,

But just a few removed!

 

She has the bear’s ethereal grace,

The bland hyena’s laugh,

The footstep of the elephant,

The neck of the giraffe.

I love her still, believe me,

Though my heart its passion hides;
“She is all my fancy painted her,”
But, oh, how much besides!

 

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Lewis Carroll (27 januari 1832 – 14 januari 1898)

 

De Duitse dichter en schrijver Bernd Jentzsch werd geboren op 27 januari 1940 in Plauen. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

Dieser eine Herbst

 

Der Lärm des Verblühens, dazwischen der Wald,
Dein Leib bedeckt von den waagrechten Moosen,
Sie stellten dich vor ihren Mündungen auf,
Du fielst mit dem Laub in die Tiefe,
Die Bäume Lautsprecher, dröhnend.

 

jentzsch

Bernd Jentzsch (Plauen, 27 januari 1940)

 

De Duitse schrijver Benjamin von Stuckrad-Barre werd op 27 januari 1975 in Bremen geboren. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

Uit: Festwertspeicher der Kontrollgesellschaft, Remix 2

 

„Bodylanguage

Wären alle Menschen taubstumm – im Sommer wären immer noch genügend Worte in der Luft. Auf den T-Shirts nämlich. Aus unterschiedlichsten Gründen, mit unterschied­lichsten Techniken, in unterschiedlichster Auflage werden Textilien beschriftet. Aufgebügelt, auf
gesiebdruckt, eingewebt, aufgemalt wird, was das Zeug hält. Und das Zeug hält na­türlich alles, das Zeug hat ja keinen eigenen Willen. Was manchmal schade ist. Aber dann gibt es ja immer noch die Waschmaschine, und die löst das Ganze durch buddhistische Zerrüttungstaktik – und auch die schlimmsten T-Shirt-Beschriftungen sind irgendwann abgeschrappt, bleichgespült, und der Kampf ist gewonnen. Bis dahin geht er weiter. Auch RAF­-Logo-T-Shirts verkaufen sich noch immer gut. Ein beschriftetes Shirt funktioniert wie ein Vereinstrikot, wie jede andere Art Uniform: Es weist den Träger aus als Mitglied einer Gruppe, Anhänger einer Idee, Humorsorte, Einkom­mensklasse. Der Auftritt dieser Person wird charakterisierend konnotiert, die Umwelt wird, ohne dass sie gefragt hätte, in­formiert. Bei der morgendlichen Kleidungswahl ist sich der Träger dieses Mitteilungsdauerfeuers bewusst, man kann also sicher sein, dass der Träger eines Wort-Shirts uns ohne zu sprechen etwas sagen möchte: wen er verehrt, was er ausgege­ben hat für sein Shirt, wo er schon mal war, wie er in irgend­jemandes Arm aussieht auf einem aufgebügelten Foto, wie seine Meinung daunddazu ist, bei welchem Konzert er war. Vor einigen Jahren warb MTV mit Schwarz-Weiß-Fotos jun­ger Menschen, auf deren Shirts stand, wofür sich diese Men­schen hielten oder wofür MTV sie hielt. Diese Menschen sahen ganz nett aus, die Titulierungen waren charmante Bezichtigungen. Kurz darauf waren diese T-Shirts Mode. Viel­leicht auch schon davor, und MTV hat es auf der Straße abge­guckt, das wäre ja nicht schlimm, bloß normal. Wer immer al­les zuerst entdeckt haben will, kann sich schon mal eine Schablone ausschneiden und zu siebdrucken beginnen: Ange­ber, Hosenträger.

Trotzdem ist natürlich die Codierung ein wichtiger Punkt: Auch wenn eine T-Shirt-Beschriftung ja auf Wahrnehmung durch andere abzielt – wenn sie Nachahmung in einer zu ho­hen Quote erreicht, wird sie für die Erst-, Zweit- und Dritt­träger untragbar, unerträglich, dann müssen sie sich etwas Neues ausdenken, so läuft es, und dadurch gibt es immer etwas Neues. Vor Jahrzehnten liefen auf Feierlichkeiten be­denklichen Zuschnitts fröhliche Menschen mit POLIZEI­-Shirts herum. Mittlerweile kann man die an jedem Autobahnrasthof kaufen, und damit sind sie der Trage-Avantgarde untragbar geworden, sie haben aber auch nicht genug Mus­keln, um ohne Shirt rumlaufen zu können, außerdem ist es ja fast immer zu kalt, also lassen sie sich wieder etwas Neues ein­fallen. Weiter so.“

 

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Benjamin von Stuckrad-Barre (Bremen, 27 januari 1975)

 

De Canadese Schrijver Mordecai Richler werd geboren op 27 januari 1931 in Montreal. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

Uit: St. Urbain’s Horseman

 

Sitting with the Hershes, day and night, a bottle of Remy Martin parked between his feet, such w as Jake’s astonishment, commingled with pleasure, in their responses, that he could not properly mourn for his father. He felt cradled, not deprived. He also felt like Rip Van Winkle returned to an innocent and ordered world he had mistakenly believed long extinct. Where God watched over all, doing His sums. Where everything fit. Even the holocaust which, after all, had yielded the state of Israel. Where to say, “Gentlemen, the Queen,” was to offer the obligatory toast to Elizabeth II at an affair, not to begin a discussion on Andy Warhol. Where smack was not habit forming but what a disrespectful child deserved; pot was what you simmered the chicken soup in; and camp was where you sent the boys for the summer. It was astounding, Jake was incredulous, that after so many years and fevers, after Dachau, after Hiroshima, revolution, rockets in space, DNA, bestiality in the streets, assassinations in and out of season, there were still brides with shining faces who were married in white gowns, posing for the Star social pages with their prizes, pear-shaped boys in evening clothes. There were aunts who sold raffles and uncles who swore by the Reader’s Digest. French Canadians, like overflying airplanes distorting the TV picture, were only tolerated. DO NOT ADJUST YOUR SET, THE TROUBLE IS TEMPORARY. Aunts still phoned each other every morning to say what sort of cake they were baking. Who had passed this exam, who had survived the operation. A scandal was when a first cousin was invited to the bar mitzvah kiddush, but not the dinner. Eloquence was the rabbi’s sermon. They were ignorant of the arts, they were over dressed, they were overstuffed, and their taste was appallingly bad. But within their self-contained world, there was order. It worked.”

 

Richler

Mordecai Richler (27 januari 1931 – 3 juli 2001)

 

 

De Amerikaanse schrijver Ethan Mordden werd geboren op 27 januari 1947 in Pennsylvania. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007.

 

Uit: Some Men are Lookers

 

“Virgil and Cosgrove have a new sport they call the Commercial Game. They cruise the television with the mute button on, seeking commercial breaks for which they provide their own extemporaneous soundovers. It’s hectic but simple. All car pitches are for Subaru. All horror movie trailers are for something Cosgrove has entitled Exorcis –“You can run, you can hide,” he gloats, “but it’s coming to get you” — and all cereal spots are for Sugar Boy Pops, a brand I am unfamiliar with.

They were playing the Commercial Game one evening when Lionel dropped by Dennis Savage’s to tell us that Tom Driggers was back in the hospital for what was almost certainly the last time, and had asked to see Dennis Savage. Tom and he had been very close once — very, very close was my impression. But they hadn’t spoken in quite some time now.

“Subaru!” Virgil cried. “The car in a million!”

“With hatchback and full accessories!” Cosgrove added. “Radio, tape deck, mascara tray.”

“He’s really bought the farm,” Lionel was telling us. “All that money and power, and down he goes to nothing.”

“You’ll ride like a king!” Virgil announced. “It’s Subaru!”

“See how it goes!” said Cosgrove, as a Pontiac sailed by.

“You should be there,” Lionel went on. “He’s got a roomful of … of toadies and pimps and comparable phantasmagoria of the bad old days. That’s what he’s dying to. There’s nobody human in that room.”

Virgil, Dennis Savage’s live-in, is, like Cosgrove, considerably younger than most of our circle. So he isn’t as well informed as we are and, again like Cosgrove, often keeps one ear on our conversations, sifting through the terms and concepts for material he can use in the act: his life. I saw him sifting now, losing touch with the television as he took in this new thing about toadies and death and power.

“Tom had everything and now he has nothing,” Lionel continued. “I’m afraid to have to admit that this is a very gay story. What ups and what downs, I mean? He looks like a beanbag sculpture. So, if we could only not maximize his failure …”

Dennis Savage looked at him.

“Okay?” said Lionel.

Dennis Savage looked at me.

“As a kind of restabilizing act of mercy?” Lionel added. “For me? Okay?”

Dennis Savage said, “Not okay.”

“Ladies, aren’t you tired of your derodeant?” Cosgrove declaimed, smoothy-announcer-style. “Don’t you want Mamzelle Hint O’Spring instead?”

“That’s not deodorant, Cosgrove, that’s laundry de –”

“I think a man deserves something better than to die with all his would-be heirs drooling over him,” Lionel went on.

“What about that carpenter Tom was living with?” I asked. “With all the tattoos? I thought that was supposed to be love for life.”

Lionel sighed. He gestured then, resolute but resigned, one of those things hands do in the air when words can’t tell. “It sort of was, actually. Love. Which was very unusual for Tom. Tuffy, his name is. He isn’t around all that often. Tom won’t talk about it, but apparently Tuffy has developed a prodigious case of plague necrophobia. He’s a simple guy, you know, very basic, and he just doesn’t get it, or anything. He is very desperately threatened.”

Cosgrove heard that. I saw him whisper “He is very desperately threatened” to himself.

“What kind of man,” said Dennis Savage, “has a lover named Tuffy? What’s his morality, if you gay commissars will pardon me for asking?”

 

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Ethan Mordden (Pennsylvania, 27 januari 1947)

 

De Amerikaanse schrijver James Grippando werd geboren op 27 januari 1958 in Waukegan, Illinois. Hij groeide op in een Roomskatho;ike familie met vijf kinderen. Hij studeerde rechten aan de University of Florida en werkte daarna 12 jaar lang als advocaat. Zijn eerste roman, The Pardon, verscheen in 1994. In dat boek introduceerde hij ook voor het eerst de strafpleiter Jack Swyteck uit Miami. Zijn tweede roman The Informant verscheen in 1996. Vanaf dat jaar werd Grippando fulltime schrijver.

 

Werk o.a.: The Abduction (1998); Found Money (1999); Under Cover of Darkness (2000); A King’s Ransom (2001); Beyond Suspicion (2002); Last to Die (2003); Hear No Evil (2004); Got the Look (2006); Leapholes (voor jonge volwassenen) (2006); When Darkness Falls (2007) and Lying with Strangers (2007).

 

Uit: When darkness falls

 Sergeant Vincent Paulo couldn’t see the man who had climbed to the very top of the William Powell Bridge.  Paulo couldn’t even see the damn bridge.  He heard the desperation in the man’s voice, however, and he knew this one was a jumper.  After seven years as a crisis negotiator with the City of Miami Police Department, there were some things you just knew, even if you were blind.

Especially if you were blind.

“Falcon,” he called out for the umpteenth time, his voice amplified by a police megaphone.  “This is Vincent Paulo you’re talking to.  We can work this out, all right?”

The man was atop a lamppost—as high in the sky as he could possibly get—looking down from his roost.  The views of Miami had to be spectacular from up there.  Paulo, however, could only imagine the blue-green waters of the bay, the high-rise condominiums along the waterfront like so many dominoes ready to topple in a colossal chain reaction.  Cruise ships, perhaps, were headed slowly out to sea, trails of white smoke puffing against a sky so blue that no cloud dared to disturb it.  Traffic, they told him, was backed up for miles in each direction, west toward the mainland and east toward the island of Key Biscayne.  There were squad cars, a SWAT van, teams of police officers, police boats in the bay, and a legion of media vans and reporters swarming the bridge.  Paulo could hear the helicopters whirring all around, as local news broadcasted the entire episode live into South Florida living rooms.“

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James Grippando (Waukegan,  27 januari 1958)

 

 

Zie voor onderstaande schrijvers ook mijn blog van 27 januari 2007. 

 

De Duitse schrijver Leopold Ritter von Sacher-Masoch werd geboren op 27 januari 1836 in Lemberg.

De Russische schrijver Mikhail Saltykov-Shchedrin werd geboren op 27 januari 1826 in Spas-Ugol, Tver.

De Russische schrijver Ilja Ehrenburg werd geboren op 27 januari 1891 in Kiev.

De Franstalige, maar oorspronkelijk Nederlandse schrijfster Neel Doff werd geboren in Buggenum op 27 januari 1858.

 

Lewis Carroll, Bernd Jentzsch, Benjamin von Stuckrad-Barre, Mordecai Richler, Ethan Mordden, Leopold von Sacher-Masoch, Mikhail Saltykov-Shchedrin, Ilja Ehrenburg, Neel Doff

Lewis Carroll werd op 27 januari 1832 in Daresbury geboren als Charles Lutwidge Dodgson Charles Lutwidge Dodgson, was een Engels wiskundige en logicus maar hij is vooral bekend geworden door zijn kinderboeken. Hij studeerde cum laude af in de wiskunde aan Christ Church college, Oxford, in 1854. Later werd hij daar ook lector, tot 1881. Hij stierf op 14 januari 1898 in Guildford waar hij ook begraven werd. Zijn beroemdste werken zijn: Alice’s Adventures in Wonderland (1865) (Nederlands: Alice in Wonderland) en Through the Looking Glass (1872) (Nederlands: Door de spiegel) Dodgson was zelf een wat neurotische, zonderlinge man die makkelijk met jonge meisjes omging en bevriend raakte. Hij kon goochelen en had altijd wat bij zich om kinderen die hij tegenkwam mee te vermaken. Omgang met volwassenen ging hem niet goed af. Zijn werk biedt naast een groot aantal logische en wiskundige grapjes (voor wie er oog voor heeft) een ongewone rijkdom aan mogelijke freudiaanse duidingen.

Uit: Alice in Wonderland

“ALICE was beginning to get very tired of sitting by her sister on the bank and of having nothing to do: once or twice she had peeped into the book her sister was reading, but it had no pictures or conversations in it, “and what is the use of a book,” thought Alice, “without pictures or conversations?’

So she was considering, in her own mind (as well as she could, for the hot day made her feel very sleepy and stupid), whether the pleasure of making a daisy-chain would be worth the trouble of getting up and picking the daisies, when suddenly a White Rabbit with pink eyes ran close by her.

There was nothing so very remarkable in that; nor did Alice think it so very much out of the way to hear the Rabbit say to itself “Oh dear! Oh dear! I shall be too late!” (when she thought it over afterwards it occurred to her that she ought to have wondered at this, but at the time it all seemed quite natural); but, when the Rabbit actually took a watch out of its waistcoat-pocket, and looked at it, and then hurried on, Alice started to her feet, for it flashed across her mind that she had never before seen a rabbit with either a waistcoat-pocket, or a watch to take out of it, and burning with curiosity, she ran across the field after it, and was just in time to see it pop down a large rabbit-hole under the hedge.

In another moment down went Alice after it, never once considering how in the world she was to get out again.”

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Lewis Carroll (27 januari 1832 – 14 januari 1898)

 

De Duitse dichter en schrijver Bernd Jentzsch werd geboren op 27 januari 1940 in Plauen. Hij studeerde germanistiek, en kunstgeschiedenis in Leipzig en Jena. Hij was uithgever van “Poesiealbum”, een blad waarin talrijke DDR-auteurs voor het eerst publiceerden en moderne internationale dichters coor het eerst gepresenteerd werden aan het DDR publiek. In 1976 verliet Jentzsch de DDR nadat er strafmaatregelen tegen hem dreigden wegens zijn protest tegen de uitburgering van Wolf Biermann. Hij werkte als lector, gastdocent en als directeur van het door hem opgerichte Deutsche Literaturinstitut Leipzig.

 

 

Ich bin der Weggehetzte

Ich bin der Weggehetzte.
Nicht der erste, nicht der letzte.

Von keiner Mine zerrissen.
Vorm Zaun nicht ins Gras gebissen.

Keine blaue Bohne in der Lunge
Nichtmal Blut auf der Zunge.

Mein Leib und meine sieben Sinne,
Alles frisch und unversehrt.

Das Leben, das ich nun beginne,
Lebt sich grade umgekehrt.

Ich bin der Weggehetzte.
Nicht der erste, nicht der letzte.

Mir ist die Welt ins Herz gesprungen.
Mir, dem großen Lausejungen.

 

 

Der Ort

 

Wo ich über Zäune kletterte,

Die Taschen voller Kirschen,

Wo ich Schätze suchte,

Kühle Kiesel mit den Adern der Erde,

Mehlfässln‘ fürs Blasrohr aus Holunder,

Schneckenhäuser, grüne Scherben, blaue,

Wo ich den jungen Vogel begrub hinterm Regenfaß,

Drei Sprünge über sein Grab, damit er mich höre,

Wo ich Winnetou war,

Wo ich Sherlock Holmes war,

Wo ich am Bach saß und auf den Wassermann wartete,

Wo ich die Stichlinge im Bach für Hechte hielt,

Eine Sonnenfinsternis für den Weltuntergang,

Den nächsten Morgen für ein Wunder,

Wo ich die erste Zigarette rauchte mit zwölf

Im Fahrradschuppen vor der Schule

An einem todlangweiligen Nachmittag,

Ich machte zwei kurze Züge und hatte genug,

Wo das Hochwasser stieg und stieg,

Und der Hund an der Kette an seiner Hütte

Tat mir so leid, aber jemand schnappte mich

Grade noch am Hosenboden,

Wo ich einen Mann kannte, der Blut spuckte,

Wo die Hühner Hubschrauber waren,

Nachts lag der Startknüppel unter dem Bett,

Wo die Wiesen dottergelb waren im Mai,

Wo es schön war,

Wo ich klein war und dann auf einmal groß,

Wo jetzt eine alte Frau wohnt,

Die schlechte Augen hat und gut sieht,

Wenn die Kinder ihren Kirschbaum plündern,

Und sie verscheucht sie wie Amseln

Und ruft sie alle mit meinem Namen.

 

Jentzsch

Bernd Jentzsch (Plauen, 27 januari 1940)

 

De Duitse schrijver Benjamin von Stuckrad-Barre werd op 27 januari 1975 in Bremen geboren. 1995-1996 Werkte hij als redacteur voor Rolling Stone, daarna tot 1997 als productmanager bij de platenfirma MotorMusic. Daarnaast werkte hij ook als journalist voor o.a. de FAZ. Die Woche en Stern en schreef hij teksten voor de “Harald Schmidt Show”. Bekend werd hij met zijn debuutroman uit 2003 “Soloalbum” en zijn volgende werken “Livealbum” en “Blackbox”.

 

Uit: Soloalbum

„Was ich aber immer mal wieder gerne klaue (das ist ziemlich risikolos, da es nicht piepen kann, und gewiß auch straffrei bleibt), sind die sogenannten “Lagerfachkarten”- also diese überall anders beschrifteten (optimal zum Sammeln!) Plastikscheiben, die die Pet Shop Boys von zum Beispiel Robert Palmer zwar ordnend trennen, jedoch nicht annähernd dem Coolness-Graben zwischen beiden Künstlern Rechnung zu tragen vermögen (hinter den Pet Shop Boys zumeist: Tom Petty; vor ihnen fast immer ein gewisser Ray Peterson, irgendwann kaufe ich mal aus Spaß eine CD von Ray Peterson, der nervt nun wirklich schon jahrelang). Ich bin zwar der Meinung, das Ocean Colour Scene eine eher verzichtbare (dabei gewiss nicht schlechte) Band ist, aber seit die hinter Oasis stehen, ist mir viel wohler, als dort dauernd auf (das ist mir schon passiert!) Uwe Ochsenknecht, Sinead O’Connor oder Mike Oldfield zu stoßen. Da kriegt man sonst gleich so schlechte Laune.
Aus reinem Interesse, ach Quatsch, aus purer Bosheit erkundige ich mich, wie viele Kuschelrock-Sampler es inzwischen gibt. Die Frau an der Kasse sagt: – Ich glaube 17, aber es kommt bald ein neuer.
Ich sage der Frau, das ich den dann noch abwarte und mich darauf freue, ob denn wieder Phil Collins dabei ist und Rod Stewart. Sie glaubt schon. Ich glaube auch. Vor dem Haushaltswarenladen, der “tausend praktische Dinge” bereithält, nur gar nichts, was für mich praktisch wäre, plärrt ein festgeketteter Fernseher. Alfred Biolek kocht in seiner Küche, um sein Buch zu verhökern und neuerdings sogar auch Gläser, und zwar “Original” (also die aus der Sendung?). Und die Leute kaufen den Schund in solchen Mengen, daß der Laden sogar einen eigenen Biolek-Tisch eingerichtet hat. Bald werden sie auch Nickelbrillen verkaufen und vielleicht auch Bio-Tonnen o der Bio-Sphären, wer weiß.“

stuckrad-barre

Benjamin von Stuckrad-Barre (Bremen, 27 januari 1975)

 

Mordecai Richler werd geboren op 27 januari 1931 in Montreal. Tijdens zijn leven was hij een van de bekendste Canadese schrijvers wereldwijd. In Canada zelf was hij niet onomstreden wegens zijn uitlatingen over de politiek. Richler stamde uit een joodse familie. De buurt waarin hij opgroeide vereeuwigde hij later in verschillende van zijn romans. De doorbraak voor hem als schrijver kwam in 1959 met de publicatie van zijn roman The Apprenticeship of Duddy Kravitz. Het boek werd in 1974 door Ted Kotcheff verfilmd. Werk o.a.: The Incomparable Atuk 1963), Cocksure (1968), St. Urbain’s Horseman (1971), Solomon Gursky Was Here (1989), Barney’s Version (1997)

 

Uit: Barney’s Version

 

“Terry’s the spur. The splinter under my fingernail. To come clean, I’m starting on this shambles that is the true story of my wasted life (violating a solemn pledge, scribbling a first book at my advanced age), as a riposte to the scurrilous charges Terry McIver has made in his forthcoming autobiography: about me, my three wives, a.k.a. Barney Panofsky’s troika, the nature of my friendship with Boogie, and, of course, the scandal I will carry to my grave like a humpback. Terry’s sound of two hands clapping, Of Time and Fevers, will shortly be launched by The Group (sorry, the group), a government-subsidized small press, rooted in Toronto, that also publishes a monthly journal, the good earth, printed on recycled paper, you bet your life.

 

Terry McIver and I, both Montrealers born and bred, were in Paris together in the early fifties. Poor Terry was no more than tolerated by my bunch, a pride of impecunious, horny young writers awash in rejection slips, yet ostensibly confident that everything was possible — fame, adoring bimbos, and fortune lying in wait around the corner, just like that legendary Wrigley’s shill of my boyhood”.

 

Richler

Mordecai Richler (27 januari 1931 – 3 juli 2001)

 

De Amerikaanse schrijver Ethan Mordden werd geboren op 27 januari 1947 in Pennsylvania. Hij groeide zowel daar op als in Venetië, in Italië en op Long Island.  Hij studeerde af in geschiedenis aan de University of Pennsylvania. Zijn schrijverscarrière begon met een studie over de Broadway musical, Better Foot Forward: The History of American Musical Theatre. Met het schrijven van fictie begon hij in de vroege jaren tachtig in het pionierende tijdschrift Christopher Street. Aanvankelijk zou hij een column over kunst verzorgen, maar het werd al snel een autobiografisch georiënteerde. Al gauw ook was niet alleen meer zijn familie onderwerp van zijn verhalen, maar evolueerden zij tot semi-fictionele beschrijvingen van zijn leven als jonge homo in New York. Deze verhalen worden verteld door Bud, Morddens schijnbare alter-ego. Bud is een homoman van in de dertig, wonend in Manhatten, goed opgeleid, cultureel sophisticated, militant gay en omringd door een groep jonge homovrienden die een soort familie vormen. Deze verhalen werden verzameld in I’ve a Feeling We’re Not in Kansas Anymore: Tales from Gay Manhattan (1985), gevolgd door Buddies (1986), en Everybody Loves You: Further Adventures of Gay Manhattan (1988). Na een onderbreking van negen jaar keerde Na een onderbreking van negen jaar keerde hij in 1997 naar deze serie terug in Some Men Are Lookers. In 1995 verscheen een roman van zijn hand How Long Has This Been Going On? Na een onderbreking van negen jaar keerde hij in 1997 naar deze serie terug in Some Men Are Lookers. In 1995 verscheen een roman van zijn hand How Long Has This Been Going On?

Uit: The Music of the Night

 “Guess who I saw at the gym today!” Carlo cried as I let him in.

“Give us a hint,” said Dennis Savage.

“Someone you’ve met. Incredible-looking. Redhead’s complexion with hair half-blond and half brown at one time. You keep looking at it, want to smooth down that hair. Beautiful strange, everything tight and trim, thighs, tips, abs, mustache. Clone of death. Especially how he carries himself, swaggering around like he invented rimming.”

Dennis Savage was stumped.

Cosgrove said to Virgil, “I bet it’s one of those chicks with dicks.”

Virgil said, “Cosgrove”; and Cosgrove was abashed.

“Clone of death,” I put in. “Are people like that still around?”

“This one is,” Carlo answered. “That whole weight room was in a hypnotic state. He was taking turns at the weight bench with some cute little mud puppy who wanted to do some innocent flirting. But our man suddenly starts feeling the kid up. Everybody’s watching. And the guy tells the kid, “I could get high on your cream. I want to fuck you like crack.”

“Jeepers,” I said.

“Someone we’ve met?” Dennis Savage repeated.

“We all knew him. Some time ago.”

“And he’s still — ”

“He’s stiller. He was never like this before, he’s new! He’s tough and he’s tight and he’ll take no prisoners.”

“I insist upon guessing this,” said Dennis Savage.

“Look at it this way,” said Carlo. “He could also be one of your maybe B or B-plus hunks, junior slim grade, always having boyfriend fights with Scott Hellman.”

“That’s Bert Hicks,” said Dennis Savage. “I mean, half of the description is Bert Hicks. The other half is…who?” “He says he’s all Bert Hicks. But he’s surely got someone else’s eyes. You know? Like he’s been having nothing but the most evil sex for ten years. And like where did Bert Hicks get that shithouse build on him?”

“Gyms are public places,” I said. “Anyone may enter.”

“Builds like this don’t happen in public.”

“Not to Bert Hicks,” Dennis Savage agreed. “And where’d he get the heavy eyes from? No one knew that about him before.”

“No one knew anything about him before,” said Carlo. “He wasn’t the kind of guy you needed to know about.”

 

Mordden

Ethan Mordden (Pennsylvania, 27 januari 1947)

 

Leopold Ritter von Sacher-Masoch werd geboren op 27 januari 1836 in Lemberg. Hij was de oudste zoon van de politiecommissaris van Lemberg. Hij werd sterk door het landschap van Galicië en door het joodse ghetto beїnvloed. In 1848 verhuisde hij met zijn familie naar Praag, zijn geestelijke thuisbasis, waar hij Duits leerde. Tot dan toe had hij enkel nog maar Pools en Roeteens gesproken. Na zijn middelbare studies aan het gymnasium, studeerde hij rechten, geschiedenis en wiskunde. Zijn vader werd in 1855 naar Graz verplaatst en daarom maakte hij zijn studies rechten af in Steiermark. In 1857 behaalde hij zijn habilitatie met het geschiedkundige werk Der Aufstand in Gent. In 1858 publiceerde hij anoniem de roman Eine galizische Geschichte. Nadat hij in 1859 als vrijwillig officier aan de oorlog tegen Italië en Frankrijk had deelgenomen, werd hij in Lemberg tot professor in de geschiedenis benoemd.  Na een tijdje deed hij echter afstand van zijn leerstoel en leefde van dan af als vrij kunstenaar afwisselend in Graz, Praag, Salzburg en Wenen. Door de publicatie van zijn familieroman Venus im Pelz in 1866 in het tijdschrift Die Liebe werd Sacher-Masoch bekend binnen de psychologie. De psychiater Richard von Krafft-Ebenig muntte in 1866 de term “masochisme” om er het verlangen om lichamelijk en geestelijk mishandeld te worden om zo de seksuele opwinding te verhogen, mee aan te duiden. Von Sacher-Masoch heeft zich altijd tevergeefs hiertegen verzet. Na een triomfontvangst in 1866 in Parijs kreeg hij de Orde van het Erelegioen. Hoewel zijn ooit bewonderde werk in de vergetelheid was geraakt beleeft het sinds enkele jaren een zekere comeback, o.a. door het evenement Graz-Kulturhauptstadt 2003.

Uit: Venus im Pelz

»Gibt es für den Liebenden etwa eine größere Grausamkeit als die Treulosigkeit der Geliebten?«

»Ach!« – entgegnete sie – »wir sind treu, so lange wir lieben, ihr aber verlangt vom Weibe Treue ohne Liebe, und Hingebung ohne Genuß, wer ist da grausam, das Weib oder der Mann? – Ihr nehmt im Norden die Liebe überhaupt zu wichtig und zu ernst. Ihr sprecht von Pflichten, wo nur vom Vergnügen die Rede sein sollte.«

»Ja, Madame, wir haben dafür auch sehr achtbare und tugendhafte Gefühle und dauerhafte Verhältnisse.«

»Und doch diese ewig rege, ewig ungesättigte Sehnsucht nach dem nackten Heidentum«, fiel Madame ein, »aber jene Liebe, welche die höchste Freude, die göttliche Heiterkeit selbst ist, taugt nicht für euch Modernen, euch Kinder der Reflexion. Sie bringt euch Unheil. Sobald ihr natürlich sein wollt, werdet ihr gemein. Euch erscheint die Natur als etwas Feindseliges, ihr habt aus uns lachenden Göttern Griechenlands Dämonen, aus mir eine Teufelin gemacht. Ihr könnt mich nur bannen und verfluchen oder euch selbst in bacchantischem Wahnsinn vor meinem Altar als Opfer schlachten, und hat einmal einer von euch den Mut gehabt, meinen roten Mund zu küssen, so pilgert er dafür barfuß im Büßerhemd nach Rom und erwartet Blüten von dem dürren Stock, während unter meinem Fuße zu jeder Stunde Rosen, Veilchen und Myrten emporschießen, aber euch bekömmt ihr Duft nicht; bleibt nur in eurem nordischen Nebel und christlichem Weihrauch; laßt uns Heiden unter dem Schutt, unter der Lava ruhen, grabt uns nicht aus, für euch wurde Pompeji, für euch wurden unsere Villen, unsere Bäder, unsere Tempel ni
cht gebaut. Ihr braucht keine Götter! Uns friert in eurer Welt!« Die schöne Marmordame hustete und zog die dunkeln Zobelfelle um ihre Schultern noch fester zusammen.”

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Leopold von Sacher-Masoch (27 januari 1836 – 9 maart 1895)

 

De Russische schrijver Mikhail Saltykov-Shchedrin werd geboren op 27 januari 1826. Hij was een meesterlijk satiricus die zowel de bourgeoisie, de landadel als de ambtenarij waartoe hij zelf ook behoorde op de korrel nam. Zijn grootste satirische werk is De geschiedenis van een stad (1869-70). Zijn meesterwerk is wellicht zijn enige roman De familie Golovyov uit 1876.

Uit: Von zwei Generälen und einem Bauern

 „Es waren einmal zwei Generäle, die beide leichtsinnig waren. Sie fanden sich eines schönen Tages durch Zaubermacht auf eine einsame, unbewohnte Insel verschlagen.

Die Generäle hatten ihr Leben lang in irgendeiner Registratur ihres Amtes gewaltet; sie waren dort geboren, erzogen worden und schließlich gealtert: also verstanden sie nichts. Ja, sie kannten kaum andere Worte als: «Indem ich Sie meiner größten Hochachtung versichere, verbleibe ich…»

Die Registratur wurde aufgelöst, und die Generäle wurden an die Luft gesetzt. Als Ruheständler ließen sie sich in Petersburg in der Podjatscheskajastraße nieder; jeder hatte seine eigene Wohnung, seine eigene Köchin und nahm allmonatlich sein Ruhegehalt in Empfang. Und nun waren sie plötzlich auf eine einsame Insel geraten! Sie erwachten und staunten, daß sie nebeneinander unter derselben Decke lagen. Natürlich begriffen sie zuerst nichts und unterhielten sich, als wäre nichts geschehen.

«Etwas sehr Sonderbares habe ich in dieser Nacht geträumt», sagte der eine General, «mir war es, als befände ich mich auf einer einsamen Insel … »

Nach diesen Worten fuhr er plötzlich in die Höhe, und auch der andere General sprang auf.

«Mein Gott! Was ist das? Wo sind wir?» schrien beide mit gänzlich veränderter Stimme.

Sie betasteten sich gegenseitig, um Klarheit zu gewinnen, ob sie einen Traum oder die Wirklichkeit erlebten. Aber sosehr sie sich auch einzureden suchten, es sei alles bloß ein Traum, mußten sie schließlich die traurige Wahrheit doch anerkennen.“

 

SALTYKOV

Mikhail Saltykov-Shchedrin (27 januari 1826 – 10 mei 1889)

 

De Russische schrijver Ilja Ehrenburg werd geboren op 27 januari 1891 in Kiev. Naast zijn werk als journalist schreef hij romans, gedichten, essays en reisbeschrijvingen. Ehrenburgs werk was kenmerkend voor de liberalisatie in de Sovjet-Unie na de dood van Stalin. Hoewel hij een overtuigde communist was oefende hij in zijn romans, zoals bijvoorbeeld in de satirisch-groteske roman “De Dooi” uit 1952 kritiek uit op het bestaande systeem. De titel van de roman was naamgevend voor de periode in De Sovjetliteratuur na Stalin.  Een tijdsdocument voor de 20e eeuw is zijn autobiografie Mensen, jaren, leven, waarin hij kritiek uit op het gedrag van de intelligentia tijdens het leven van Stalin.

 

Uit:The tempering of Russia (vertaling door Alexander Kaun)

 

“Unbearably hot days. People are wearing summer clothes, and  Moscow seems like a big summer resort. During the day one may  forget about the war. On Pushkin Square they are selling flowers,  as ever. Across the street from the Kremlin there is a café with an  open terrace: soldiers, girls, clerks in sports jackets with brief-  cases are eating ice cream.  Housewives have many new cares: they dim out their houses,
they glue strips of cloth on their window-panes. Instruction in  anti-air defense goes on everywhere. Respectable mothers are  learning how to put out incendiary bombs, which the youthful  instructors contemptuously abbreviate into “sab’s” (“insb’s”).  In the evening people sit or stand on side-streets by their houses;  they discuss all sorts of rumors. There are many rumors, both bad  and good. One tells you that the Red Army has reached Warsaw,  another that the Germans are near Moscow.  Many Muscovites rise with the roosters: they are eager to hear
the first war summary, broadcast at six a.m. In the schools, now recruiting-points, you see silent, grave people. Around the schools are crowds of women: mothers, wives.Those who go off to war show neither bravado nor fear. You are struck by the severity of the young, not yet hardened faces.”

 

EHRENBURG

Ilja Ehrenburg (27 januari 1891 – 31 augustus 1967)

 

De Franstalige, maar oorspronkelijk Nederlandse schrijfster Neel Doff werd geboren in Buggenum op 27 januari 1858. Neel Doff werkte vanaf 1873 in Brussel als schildersmodel en als prostituee. Ze kreeg vooral bekendheid door de heruitgave van haar boeken Keetje (1919) en Keetje Trottin (1921), vertaald in Keetje Tippel (1972), in 1975 verfilmd onder die titel met Monique van der Ven in de hoofdrol. Ze kon aan het milieu van de prostitutie ontsnappen door haar huwelijk met een uitgever en later met een advocaat. Omziend op haar leven begon ze te schrijven, o.a. Jours de famine et de détresse (1911), in 1974 uitgegeven onder de titel Dagen van honger en ellende. In 1975 verscheen een vertaling van Quittes tout cela! Suivi de Au jour de jour 1934-1935 onder de titels Afscheid en Van dag tot dag.

Uit : Keetje

” Ils ont procréé un enfant pour eux, et, eût-il soixante ans, il ne pourrait avoir de personnalité… Je dois penser comme eux, je dois manger comme eux, et mon père dit que, si son fils ne devait pas partager ses idées, il léguerait toute sa fortune à n’importe qui pensant comme lui… Ils n’ont pas insisté quand j’ai abandonné la médecine, pour mieux me garder sous leur dépendance… Ma mère a vécu dans la terreur que mon père ne me déshérite, et, quand il devait revenir de voyage, elle me chauffait d’avance : il ne fallait pas le contrarier, il avait travaillé toute son existence pour m’acquérir l’indépendance, je ne pouvais lui causer cette peine de montrer que je pensais autrement que lui, ce serait détruire tout l’idéal, et le but même de sa vie…Surtout je ne devais pas lui parler de la femme, puisqu’il ne les supporte pas…Alors quand il rentrait, j’étais comme un petit garçon ; au lieu de discuter mes idées, il fallait acquiescer aux siennes : au lieu de pouvoir parler de la femme comme d’une compagne, il fallait en parler comme d’une inférieure…Quant aux questions de l’art, c’étaient des balivernes… Si je déviais aussi peu que ce fût des préjugés de mon père, je voyais le regard terrifié de ma mère m’implorer…

 

Doff

Neel Doff (27 januari 1858 – 14 juli 1942)