Bret Easton Ellis, Jürgen Theobaldy, Georges Perec, Milo Dor, Reinhard Kaiser

De Amerikaanse schrijver Bret Easton Ellis werd geboren op 7 maart 1964 in Los Angeles. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2008. en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: Less than zero

 

People are afraid to merge on freeways in Los Angeles. This is the first thing I hear when I come back to the city. Blair picks me up from LAX and mutters this under her breath as her car drives up the onramp. She says, “People are afraid to merge on freeways in Los Angeles.” Though that sentence shouldn’t bother me, it stays in my mind for an uncomfortably long time. Nothing else seems to matter. Not the fact that I’m eighteen and it’s December and the ride on the plane had been rough and the couple from Santa Barbara, who were sitting across from me in first class, had gotten pretty drunk. Not the mud that had splattered the 1egs of my jeans, which felt kind of cold and loose, earlier that day at an airport in New Hampshire. Not the stain on the arm of the wrinkled, damp shirt I wear, a shirt which had looked fresh and clean this morning. Not the tear on the neck of my gray argyle vest, which seems vaguely more eastern than before, especially next to Blair’s clean tight jeans and her pale-blue T-shirt. All of this seems irrelevant next to that one sentence. It seems easier to hear that people are afraid to merge rather than “I’m pretty sure Muriel is anorexic” or the singer on the radio crying out about magnetic waves. Nothing else seems to matter to me but those ten words. Not the warm winds, which seem to propel the car down the empty asphalt freeway, or the faded smell of marijuana which still faintly permeates Blair’s car. All it comes down to is that I’m a boy coming home for a month and meeting someone whom I haven’t seen for four months and people are afraid to merge.
Blair drives off the freeway and comes to a red light. A heavy gust of wind rocks the car for a moment and Blair smiles and says something about maybe putting the top up and turns to a different radio station. Coming to my house, Blair has to stop the car since there are these five workmen lifting the remains of palm trees that have fallen during the winds and placing the leaves and pieces of dead bark in a big red truck, and Blair smiles again. She stops at my house and the gate’s open and I get out of the car, surprised to feel how dry and hot it is. I stand there for a pretty long time and Blair, after helping me lift the suitcases out of the trunk, grins at me and asks, “What’s wrong?” and I say, “Nothing,” and Blair says, “You look pale,” and I shrug and we say goodbye and she gets into her car and drives away.”

 

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Bret Easton Ellis (Los Angeles, 7 maart 1964)

 

De Duitse dichter en schrijver Jürgen Theobaldy werd geboren op 7 maart 1944 in Straatsburg. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2008 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

Uit: Blaue Flecken

Wie Dichter heute leben

Nach der Lektüre von Biografien, Abhandlungen
über Dichter, verfaßt von Liebhabern ihrer Verse
frage ich mich oft, wie Dichter heute leben
und was sie tun, wenn sie nicht dichten.
Als Lehrling hatte ich gelesen, daß die Dichter
vor dem ersten Weltkrieg im Irrenhaus endeten oder
nur das beste Parfüm benutzten. Sie berauschten sich
an ihren eigenen Worten, nicht am Bier, wie meine
Kollegen, und überhaupt waren sie voller Geheimtips.
Sie trugen Morgenmäntel aus Seide und hatten
für jeden Besucher ein bonmot auf Lager.
Nach dem zweiten Weltkrieg lehnten sie es ab
Krawatten anzuziehen, aber die bonmots blieben.
In der Firma schlüpfte ich aufs Klo und schrieb
Gedichte im Stehen über Boxkämpfe, Rummelplätze
und verlorene Lieben unter dem Brückenpfeiler.
Ich war schüchtern wie meine Freunde. Abends
gingen wir in die Kneipe und soffen uns
die Hucke voll.”

Theobaldi

Jürgen Theobaldy (Straatsburg, 7 maart 1944)

 

De Franse schrijver Georges Perec werd geboren op 7 maart 1936 in Parijs. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2008 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: La Vie mode d’emploi

 

„Dinteville, 3

La salle de bains attenant à la chambre du Docteur Dinteville. Au fond, par la porte entrouverte, on aperçoit un lit couvert d’un plaid écossais, une commode en bois noir laqué et un piano droit dont le pupitre porte une partition ouverte : une transcription des Danses de Hans Neusiedler. Au pied du lit il y a des mules à semelles de bois ; sur la commode, un ouvrage volumineux relié en cuir blanc, le grand dictionnaire de cuisine, d’Alexandre Dumas et, dans une coupe de verre, des modèles de cristallographie, pièces de bois minutieusement taillées reproduisant quelques formes holoèdres et hémièdres des systèmes cristallins : le prisme droit à base hexagonale, le prisme oblique à base rhombe, le cube épointé, le cubo-octaèdre, le cubo-dodécaèdre, le dodécaèdre rhomboïdal, le prisme hexagonal pyramidé. Au-dessus du lit est accroché un tableau signé D.Bidou : il représente une toute jeune fille, allongée à plat ventre dans une prairie, elle écosse des petits pois ; à côté d’elle un petit chien, un briquet d’Artois aux longues oreilles et au museau allongé, est sagement assis, la langue pendante, le regard bon.

Le sol de la salle de bains est couvert de tommettes hexagonales ; les murs sont carrelés de blanc jusqu’à mi-hauteur, le reste étant tendu d’un papier lavable, jaune clair rayé de stries vert d’eau. A côté de la baignoire, partiellement masquée par un rideau de douche en nylon d’un blanc un peu sale, est disposée une jardinière de fer forgé contenant quelques touffes chétives d’une plante verte aux feuilles finement veinées de jaune. Sur la tablette du lavabo, on voit plusieurs accessoires et produits de toilette : un rasoir de type coupe-chou, gainé de galuchat, une brosse à ongles, une pierre ponce, et un flacon de lotion contre la chute des cheveux sur l’étiquette duquel une sorte de Falstaff hirsute, hilare et ventripotent étale avantageusement une barbe rousse exagérément fournie, sous l’œil, plus étonné qu’amusé, de deux joyeu
ses commères dont les poitrines généreuses débordent de corsages aux lacets relâchés. Sur le porte-serviette à côté du lavabo est négligemment jeté un pantalon de pyjama bleu foncé.“

 

Perec

Georges Perec (7 maart 1936 – 3 maart 1982)

 

 

De Oostenrijkse schrijver Milo Dor werd als Milutin Doroslovac geboren op 7 maart 1923 in Boedapest. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2008 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: Vienne, chemises bleues (Lettre à mon fils, Vertaald door Jean-Claude Capèle)

 

Mon cher fils,

 

Comme ici il ne s’agit pas d’une vraie lettre, mais d’une lettre imaginaire, supposons que ce soit la dernière que je t’adresse.

Cela fait plus de vingt ans déjà que j’ai traduit les nouvelles d’Isaak Babel avec mon ami Reinhard Federmann, décédé si tôt. Dans l’une de ces nouvelles, le personnage est un jeune Juif qui arrive dans une ville d’Ukraine qu’il ne connaît pas et dans une maison inconnue; là, on lui demande son nom. Lorsqu’il se nomme, on lui demande ce qu’il veut. Et sa réponse est toute simple: “Je cherche le bonheur.”

Cette phrase de la quête du bonheur contient tout ce que je peux te donner pour ton chemin dans la vie en espérant qu’il sera long. Le jour où tu auras compris et accepté que tu n’es que le produit du hasard sur cette terre encore belle tu seras plus détendu dans cette quête compliquée du bonheur que chacun conçoit différemment.

Dans ma jeunesse, j’ai cherché le bonheur dans le bien-être du plus grand nombre et je suis devenu communiste à une époque où ce n’était guère commode. Bien au contraire, dans la Yougoslavie monarchique et profasciste nous étions les persécutés mis au ban. Dans les années 30, les dirigeants de ce pauvre état balkanique, qui se croyait important à cause des événements, ont pensé qu’il fallait être de son temps et ils l’ont transformé en une dictature militaire. Nous autres, jeunes intellectuels, nous avons aussi suivi la mode en étant dans l’opposition. Nous manifestions contre l’entrée des troupes allemandes en Autriche et en Tchécoslovaquie, contre la guerre et que sais-je encore. Le monde d’alors, qui n’était pas bien beau, nous avons voulu le transformer, le rendre plus humain, à savoir l’adapter à nos images nébuleuses d’un socialisme idéal.“

 

MiloDor

Milo Dor (7 maart 1923 – 5 december 2005)

 

 

De Duitse schrijver Reinhard Kaiser werd geboren op 7 maart 1950 in Viersen. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2008 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: Königskinder

 

“Ich war nicht auf der Suche nach Geschichten, als ich die ersten Briefe von Rudolf Kaufmann an Ingeborg Magnusson fand – im Mai 1991, bei einer Briefmarkenauktion in Frankfurt. Vor der Auktion ließ ich mir von den mehr als siebentausend angebotenen Losen zehn oder zwölf zeigen, die ich mir im Versteigerungskatalog angekreuzt hatte. Das Los Nummer 6673 war in diesem Katalog so beschrieben: »Deutschland ca. 1890–1955, reichhaltige ungebrauchte, postfrische bzw. gestempelte Zusammenstellung mit auch Bündelware sowie Karten, Briefe und Paketkarten vom Deutschen Reich etc. in unterschiedlicher Erhaltung, enorm hoher Katalogwert! Limit DM 500,–«
Eine Pappschachtel, wie sich bei der Besichtigung zeigte, gefüllt mit Alben, Steckkarten, Pergamintüten und Zigarrendosen voller Briefmarken. Zwischen allerlei Massenware und einigen philatelistischen Besonderheiten stieß ich auf einen Stapel von ungefähr dreißig Umschlägen, alle vom gleichen Absender in Königsberg und einigen anderen deutschen Städten zwischen 1935 und 1939 aufgegeben, alle an die gleiche Empfängerin unter der stets gleichen Stockholmer Adresse gerichtet. In den Kuverts steckten noch die Briefe.
Zu ausgiebigem Lesen reicht bei der Besichtigung vor einer Auktion die Zeit nicht. Aber schon ein kurzes Auseinanderfalten von zwei oder drei dieser Briefe zeigte, daß in ihnen von einer Liebe in der Zeit vor dem Zweiten Weltkrieg ausgiebig die Rede war. Mehr wußte ich nicht, als ich beschloß, den Versuch zu machen, die Pappschachtel mit allem, was sie enthielt, Marken, Geschichte und Geschichten, zu erstehen.”

 

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Reinhard Kaiser (Viersen, 7 maart 1950)


Zie voor nog meer schrijvers van de 7e maart ook mijn vorige blog van vandaag.

 

Abe Kōbō, Manuel del Cabral, Jan Frederik Helmers, Manfred Gregor, Alessandro Manzoni

De Japanse schrijver Abe Kōbō werd geboren op 7 maart 1924 in Tokyo. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2008 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: Die Frau in den Dünen (Vertaald door Oscar Benl en Mieko Osaki)

 

“Der Mann beobachtete verstohlen den Ausdruck ihres Gesichts. Aber er veränderte sich nicht. Sie blieb in ihrer unnatürlichen Stellung oben in dem eingebauten Schrank hocken und rührte sich nicht. ´Na gut ! Jeder hat so seine eigenen Ideen über das Leben; sie werden von anderen keineswegs immer geteilt. Schuften Sie sich nur weiter ab, tragen Sie den sand hier weg, und machen Sie, was Sie wollen! Aber ich kann das nicht länger ertragen! Ich habe es satt ! Überschätzen Sie sich nicht ! Wenn ich wollte, könnte ich leicht hier herauskommen. Mir sind auch gerade die Zigaretten ausgegangen …´
´Oh, wenn es sich nur um Zigaretten handelt …´, sagte sie hilflos und töricht naiv. Dann fuhr sie fort: ´Wenn die Leute nachher neues Wasser liefern, dann …´
´Was ? Bringen sie denn auch Zigaretten mit ?´ Er mußte unwillkürlich lachen, dann rief er: ´Darum geht es ja garnicht! Ich habe von Haarbüscheln gesprochen! Von abgeschnittenen Haaren ! Verstehen Sie das nicht ? Ich wollte damit nur sagen, daß es unsinnig ist, sich um solche `Bagatellen` zu kümmern!´
Sie schwieg. Sie schien nicht die Absicht zu haben, ihn etwas zu erwidern. Sie wartete eine Weile, und als sie merkte, daß er nicht gedachte, weiterzureden, wandte sie sich langsam um und nahm ihre Arbeit wieder auf, als sei nichts geschehen. Sie klappte die Decke des eingebauten Schrankes zurück und schob sich mit aufgestützten Ellbogen durch die Öffnung nach oben, wobei ihre Beine unbeholfen hin und her pendelten. An einigen Stellen rieselte in dünnen Rinnsalen Sand herunter. Es kam ihm vor, als krieche ein wunderliches Insekt über die Decke. Sand und verfaultes Holz ! Nun hatte er an Absonderlichkeiten aber mehr als genug ! Plötzlich rann der Sand in schwindelerregender Fülle und Schnelligkeit herab. Die seltsame Stille stand in unheimlichen Kontrast zu der Stärke dieses Sandregens. Unter jedem Loch und jedem Riß in der Decke enstand unten auf der Strohmatte ein Sandrelief. Der Sand brannte ihm in Nase und Augen. Er stürzte wie in Panik aus dem Haus.” …

 

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Abe Kōbō (7 maart 1924 – 22 januari 1993)

 

De Dominicaanse dichter en schrijver Manuel del Cabral werd geboren op 7 maart 1907 in Santiago de los Caballeros. Zie ook mijn blog van 7 maart 2009.

Basso Continuo

Who is it has killed this man
and left his voice above ground?

There are dead men rising, rising,
as their coffins are laid down.

This sweat…who caused it to perish?
What costs a poor man his breath?

Who is it has killed these hands?
No man is contained by death!

There are dead men who stride taller
the deeper their coffins fall.

Who felled the length of this man
with his up
right voice so tall?

There are dead men deep as roots
who feed the harvest their grace.

Who is it has killed these hands,
who has killed this sweat, this face?

There are dead men rising, rising
as coffins sink in their place.

 

Vertaald door Rhina P. Espaillat

 

cabral

Manuel del Cabral (7 maart 1907 – 14 mei 1999)

 

De Nederlandse dichter en schrijver Jan Frederik Helmers werd geboren op 7 maart 1767 in Amsterdam. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

Kom, Volken, nader! (Fragment)

Kom, Volken, nader! trots op uw voortreflijkheid!
Beklim de rechterstoel! Beslist gij zelf het pleit!
Durf vonnissen! en wij, bewust van onze waarde,
Wij schromen ’t vonnis niet, noch de uitspraak van heel de aarde.

Neen Neêrland zwicht niet! In het rijk der Wetenschap
Handhaaft zij hare roem, staat op de hoogste trap;
Gij, die de oneindigheid der heemlen durft doorsnellen,
En afstand, grootte en loop der bollen vast kunt stellen,
De lucht kunt wegen, spreek, wat macht verheft uw oog.
Van uit dit slijk der aard’ tot aan der starren boog?
Zijt gij het kunstglas, dat u voert door ’t ruim der hemelen,
Waardoor ge Orions ziet in melk- bij melkweg wemelen,
Uit d’afgrond van het niet kometen scheurt in ’t licht,
Niet Drebber, Jansen, niet aan Metius verplicht?
En Galileï had zich nooit zo hoog verheven,
Had Neêrlands kunstglas niet zijn eedle vaart gesteven.

Jan_Frederik_Helmers

Jan Frederik Helmers (7 maart 1767 – 26 februari 1813)

 

De Duitse schrijver Manfred Gregor (pseudoniem van Gregor Dorfmeister) werd geboren op 7 maart 1929 in Tailfingen. Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: Die Brücke

 

„Der Zufall hatte mich wieder in die kleine Stadt geführt und es waren zehn Jahre vergangen.

War es ein Zufall? Als ich abends auf der Brücke stand und in den Fluss hinabblickte, wusste ich, dass nicht der Zufall, sondern einzig und allein mein Wunsch, wieder auf dieser Brücke zu stehen,

mich hierher zurückgebracht hatte. Jetzt stand ich also auf dem breiten Gehsteig am Geländer, schaute ins Wasser hinab und wandte hin und wieder auch den Blick zu den Ufern links und rechts.

Es ist eine schöne Brücke und die kleine Stadt kann stolz darauf sein. Mit ihren wuchtigen Steinquadern hält die Brücke jedem Hochwasser stand. Es ist ein Erlebnis, auf ihr zu stehen, wenn

der Fluss im Frühjahr das Schmelzwasser aus den Bergen bringt. Wenn hin und wieder ein auf den lehmgelben Fluten herantreibender Baumstamm gegen die Pfeiler donnert und brodelnder

Gischt, ohnmächtig gegen die Kraft der Brücke, ihre Standfesten umsprüht. Es ist ein Vergnügen, an schönen Sommertagen die Paddler den Fluss herabkommen zu sehen. Braungebrannte Körper

in schnittigen Booten.

Als ich an diesem Maienabend auf der Brücke stand, führte der Fluss kein Hochwasser, und es kamen auch keine Paddler. Von der Brückenhöhe aus schien das Wasser seicht zu sein, man konnte bis auf den Grund sehen. Etwa in der Mitte des Flussbetts lag ein großer Felsblock. Er blieb damals im Jahr 1935 übrig, als man die Brücke baute. Gleich unterhalb des Felsblocks gab es eine Stelle im Grund des Flussbetts, die sich in Jahrzehnten kaum verändert hatte. Hier verhinderte der gewaltige Stein mit

seinem breiten Rücken jede Ablagerung von Geröll, und man sah das Gewehr noch heute, das dort auf dem Kiesgrund lag. Es war ein Sturmgewehr. Herstellungsjahr 1944. Das Magazin war leer.

 

Gregor

Manfred Gregor (Tailfingen, 7 maart 1929)

 

De Italiaanse schrijver Alessandro Francesco Tommaso Manzoni werd geboren op 7 maart 1785 in Milaan.Zie ook mijn blog van 7 maart 2007 en ook mijn blog van 7 maart 2009.

 

Uit: I Promessi sposi (Vertaald door Burkhart Kroeber)

 

Der unglückliche Amtsvogt der öffentlichen Speicher hatte eben ein unerbauliches Mahl gehalten und verdaute das altbackene Brot, welches er unlustig zu sich genommen; er erwartete in reger Spannung, welch ein Ende dieser Wettersturm nehmen würde, war aber weit entfernt, sich den Argwohn ankommen zu lassen, daß er mit so entsetzlicher Wut ihm auf das eigene Haupt niederstürzen könne. Der eine oder andere Hausfreund lief dem Schwarm spornstreichs voraus und meldete die Gefahr, die sich nah und näher wälzte. Die Diener, von dem Lärmen vor die Türe gelockt, schauten verzagt die Straße entlang nach der Gegend, aus welcher das Getümmel näher rückte. Während sie Nachrichten anhören, sehen sie den Vortrab schon erscheinen; in ängstlichster Eile wird die Kunde dem Hausherrn überbracht, und während dieser auf die Flucht, auf die Art der Flucht denkt, überläuft ihn schon ein zweiter und meldet ihm, es sei zum Fliehen zu spät. Kaum haben die Diener noch Zeit, die Türe zu schließen. Sie schieben die Balken vor, senken die Stützeisen ein und stürzen fort, um auch die Fenster wohl zu verwahren, wie wenn man ein schwarzes Ungewitter herbeiziehen sieht und von einem Augenblick zum andern den herabstürmenden Hagel erwartet. Das steigende Geheul, wie ein Donner durch die Lüfte brausend, schallt im leeren Hofe erschütternd wieder, jeder Schlupfwinkel im Hause dröhnt davon, und mitten im weitverbreiteten, vielstimmigen Lärm hört man die Steinwürfe gegen die Türe immer heftiger krachen, immer dichter aufeinander folgen.
” Der Speichervogt! Der Tyrann! Der Aushungerer! Den wollen wir, lebendig oder tot!”

 

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Alessandro Manzoni (7 maart 1785 – 22 mei 1873)
Portret door Guiseppe Molteni