Honoré de Balzac, William Michaelian, Wolfgang Borchert, Hector Malot, Ingvar Ambjørnsen, A.C. Cirino, Hanna Krall, Sigrid Undset

De Franse schrijver Honoré de Balzac werd geboren in Tours op 20 mei 1799. Zie ook alle tags voor Honoré de Balzac op dit blog.

Uit:La Comédie humaine

“Au milieu de la rue Saint-Denis, presque au coin de la rue du Petit-Lion, existait naguère une de ces maisons précieuses qui donnent aux historiens la facilité de reconstruire par analogie l’ancien Paris. Les murs menaçants de cette bicoque semblaient avoir été bariolés d’hiéroglyphes. Quel autre nom le flâneur pouvait-il donner aux X et aux V que traçaient sur la façade les pièces de bois transversales ou diagonales dessinées dans le badigeon par de petites lézardes parallèles? Évidemment, au passage de la plus légère voiture, chacune de ces solives s’agitait dans sa mortaise. Ce vénérable édifice était surmonté d’un toit triangulaire dont aucun modèle ne se verra bientôt plus à Paris.
Cette couverture, tordue par les intempéries du climat parisien, s’avançait de trois pieds sur la rue, autant pour garantir des eaux pluviales le seuil de la porte que pour abriter le mur d’un grenier et sa lucarne sans appui. Ce dernier étage était construit en planches clouées l’une sur l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison.
Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent d’une boutique en face de ce vieu logis, qu’il examinait avec un enthousiasme d’archéologue.
À la vérité, ce débris de la bourgeoisie du seizième siècle offrait à l’observateur plus d’un problème à résoudre. À chaque étage, une singularité: au premier, quatre fenêtres longues, étroites, rapprochées l’une de l’autre, avaient des carreaux de bois dans leur partie inférieure, afin de produire ce jour douteux, à la faveur duquel un habile marchand prête aux étoffes la couleur souhaitée par ses chalands.
Le jeune homme semblait plein de dédain pour cette partie essentielle de la maison, ses yeux ne s’y étaient pas encore arrêtés. Les fenêtres du second étage, dont les jalousies relevées laissaient voir, au travers de grands carreaux en verre de Bohême, de petits rideaux de mousseline rousse, ne l’intéressaient pas davantage. Son attention se portait particulièrement au troisième, sur d’humbles croisées dont le bois travaillé grossièrement aurait mérité d’être placé au Conservatoire des arts et métiers pour y indiquer les premiers efforts de la menuiserie française. Ces croisées avaient de petites vitres d’une couleur si verte, que, sans son excellente vue, le jeune homme n’aurait pu apercevoir les rideaux de toile à carreaux bleus qui cachaient les mystères de cet appartement aux yeux profanes. Parfois, cet observateur, ennuyé de sa contemplation sans résultat, ou du silence dans lequel la maison était ensevelie, ainsi que tout le quartier, abaissait ses regards vers les régions inférieures. »

 

 
Honoré de Balzac (20 mei 1799 – 18 augustus 1850)
Borstbeeld in Vendôme

 

De Amerikaanse dichter en schrijver William Michaelian werd geboren op 20 mei 1956 in Dinuba, Californië. Zie ook alle tags voor William Michaelian op dit blog.

 

Revelation

See how the fig tree declares her passion
before her leaves are on,

how the dogwood, winded down,
is bridal in her bloom,

how the birds, busy in your branches,
have shaken you, and flown.

 

How different this dawn

Surely you must see
how different this dawn,

stating its case
in soft-bright colors,

is from your righteous
outrage;

how she laves
her face in this pond,

then comes to light
on your own cage.

 

 
William Michaelian (Dinuba,  20 mei 1956)
Portret door Aleksandra Komlenovic, 2010

 

De Duitse dichter en schrijver Wolfgang Borchert werd geboren op 20 mei 1921 in Hamburg. Zie ook alle tags voor Wolfgang Borchert op dit blog.

Uit: Draußen vor der Tür

„GOTT: Warum rülpsen Sie denn fortwährend so ekelhaft? Das ist ja entsetzlich!
BEERDIGUNGSUNTERNEHMER: Ja, ja, gräulich! Ganz gräulich! Berufskrankheit. Ich bin Beerdigungsunternehmer.
GOTT: Der Tod? – Du hast es gut! Du bist der neue Gott! An dich glauben sie? Dich lieben sie. Dich fürchten sie. Du bist unumstößlich. Dich kann keiner leugnen Keiner lästern. Ja, du hast es gut. Du bist der neue Gott. An dir kommt keiner vorbei. Du bist der neue Gott, Tod, aber du bist fett geworden. Dich hab ich doch ganz anders in Erinnerung. Viel magerer, dürrer, knochiger, du bist aber rund und fett und gut gelaunt. Der alte Tod sah immer so verhungert aus.
TOD: Na ja, ich hab in diesem Jahrhundert ein bisschen Fett angesetzt. Das Geschäft ging gut. Ein Krieg gibt dem anderen die Hand. Wie die Fliegen! Wie die Fliegen kleben die Toten an den Wänden dieses Jahrhunderts. Wie die Fliegen liegen sie steif und vertrocknet auf der Fensterbank der Zeit.
GOTT: Aber das Rülpsen? Warum dieses gräßliche Rülpsen?
TOD: Überfressen. Glatt überfressen. Das ist alles. Heutzutage kommt man aus dem Rülpsen nicht mehr heraus. Rums! Tschuldigung!
GOTT: Kinder, Kinder. Und ich kann es nicht ändern. Kinder, meine Kinder. (geht ab)
(Draußen vor der Tür, Vorspiel)
In einer anderen Szene taucht der Tod wieder auf, diesmal in Gestalt eines Straßenfegers.
BECKMANN: Der Straßenfegerbesen macht Kchch – Kchch wie die Lunge eines, der verröchelt. Und der Straßenfeger hat rote Streifen an den Hosen. Er ist ein Generalstraßenfeger. Ein deutscher Generalstraßenfeger. Und wenn der fegt, dann machen die rasselnden Sterbelungen: Kchch – Kchch – Kchch. Straßenfeger!
STRASSENFEGER: Ich bin kein Straßenfeger.“

 

 
Wolfgang Borchert (20 mei 1921 – 20 november 1947) 
Scene uit een opvoering in Salzburg, 2011

 

De Franse schrijver Hector-Henri Malot werd geboren in La Bouille bij Rouen op 20 mei 1830. Zie ook alle tags voor Hector Malot op dit blog.

Uit:Sans famille

« Et de vrai elle avait fort bon air, marchant lentement en se balançant, en se prélassant comme une bête qui a conscience de sa valeur. Maintenant je n’avais plus besoin de regarder ma carte à chaque instant comme je le faisais depuis notre départ de Paris : je savais où j’allais, et bien que plusieurs années se fussent écoulées depuis que j’avais passé là avec Vitalis, je retrouvais tous les accidents de la route. Mon intention, pour ne pas fatiguer notre vache, et aussi pour ne pas arriver trop tard à Chavanon, était d’aller coucher dans le village où j’avais passé ma première nuit de voyage avec Vitalis, dans ce lit de fougère, où le bon Capi voyant mon chagrin était venu s’allonger près de moi et avait mis sa patte dans ma main pour me dire qu’il serait mon ami. De là nous partirions le lendemain matin pour arriver de bonne heure chez mère Barberin. Mais le sort qui, jusque-là nous avait été si favorable, se mit contre nous et changea nos dispositions. Nous avions décidé de partager notre journée de marche en deux parts, et de la couper par notre déjeuner, surtout par le déjeuner de notre vache qui consisterait en herbe des fossés de la route qu’elle paîtrait. Vers dix heures, ayant trouvé un endroit où l’herbe était verte et épaisse, nous mîmes les sacs à bas, et nous fîmes descendre notre vache dans le fossé. Tout d’abord je voulus la tenir par la longe, mais elle se montra si tranquille, et surtout si appliquée à paître, que bientôt je lui entortillai la longe autour des cornes, et m’assis près d’elle pour manger mon pain. Naturellement nous eûmes fini de manger bien avant elle ; alors après l’avoir admirée pendant assez longtemps, ne sachant plus que faire, nous nous mîmes à jouer aux billes Mattia et moi, car il ne faut pas croire que nous étions deux petits bonshommes graves et sérieux, ne pensant qu’à gagner de l’argent : si nous menions une vie qui n’est point ordinairement celle des enfants de notre âge, nous n’en avions pas moins les goûts et les idées de notre jeunesse, c’est-à-dire que nous aimions à jouer aux jeux des enfants, et que nous ne laissions point passer une journée sans faire une partie de billes, de balle ou de saut de mouton. Tout à coup, sans raison bien souvent, Mattia me disait : « Jouons-nous ? »

 

 
Hector Malot (20 mei 1830- 17 juli 1907)
Cover

 

De Noorse schrijver, muzikant en theatermaker Ingvar Ambjørnsen werd geboren in Tønsberg op 20 mei 1956. Zie ook alle tags voor Ingvar Ambjørnsen op dit blog.

Uit: Schwarze Mutter (Vertaald door Gabriele Haefs)

„Vor vielen Jahren an einem heißen Sommertag hätte er um ein Haar ihren Kopf gegen das Armaturenbrett gestoßen. Sie steckten bei Toulouse in einem Stau, es war schrecklich heiß, sie hatten alle Fenster heruntergekurbelt, sie hatte die eine Hand am Lenkrad, in der anderen hatte sie eine Zigarette. Sie war gereizt, ungeduldig, er selber fand, sie hätten Zeit genug; und außerdem würde ihr Adrenalin sie auch nicht schneller ins Hotel bringen können. Um sie wortlos zu beruhigen – er ahnte schon, dass in diesem Moment jedes Wort gefährlich sein könnte – legte er ihr den linken Arm um die Schulter und ließ seine Finger ihren Nacken hoch wandern, bis ihr Hinterkopf wie ein großer warmer Stein in seiner Hand ruhte. Sie lächelte. Sie kannte ihn gut genug, um zu wissen, dass er sie kannte. Aber er hatte sich selber nicht gekannt. Die Vorstellung, ihren Kopf mit aller Kraft gegen das Armaturenbrett zu stoßen, überkam ihn vollständig unerwartet, kurz sah er das Blut vor sich, ihren ungläubigen Blick, hörte den Schrei. Er zog seine Hand zurück, er hatte die dünne Membran zwischen allem und nichts gesehen, dieses Erlebnis hatte etwas mit ihm gemacht, er wusste nicht, was.
Er lag auf dem Bett und rauchte, die Badezimmertür war angelehnt, er konnte sehen, wie sie vor dem Spiegel stand und sich die Lippen nachzog. Ein unschönes blasses Rosa, das ihn immer an die sechziger Jahre erinnerte, an Blondinen mit hochtoupierten Haaren, an kragenlose Kostüme in Pepitamuster.
»Bist du so weit?« Sie steckte den Lippenstift in ihre Handtasche, blieb stehen und schmatzte ihrem Spiegelbild zu.
Ja, er war so weit. Der Frühstückssaal war fast leer, es war zehn vor zehn, sie waren die letzten. Ein einsames Spiegelei schwamm im Fett auf einem weißen Teller, der Saft war lauwarm, der Kaffee ungenießbar. Er trank ihn trotzdem und sah angeekelt zu, wie sie mit dem Messer das Eigelb zerteilte, wie der Dotter im Fett zerrann, wie sie alles mit einem Stück Weißbrot auffing, es zwischen ihre rosa Lippen führte, ihm schauderte, als ihre Zunge im rechten Mundwinkel einen Krümel erwischte.
»Du musst doch versuchen, wenigstens irgendetwas zu essen«, sagte sie mit vollem Mund. Jetzt bekam der Speck Messer und Gabel zu spüren. Schlaffer, fetter Speck, nicht salzig genug.“

 

 
Ingvar Ambjørnsen (Tønsberg, 20 mei 1956)

 

De Surinaamse schrijver A.C. Cirino werd geboren in Goede Hoop, een dorp aan de Coppenamerivier in het district Saramacca, op 20 mei 1929. Zie ook alle tags voor A.C. Cirino op dit blog.

Uit: De inheemse man en een priester

“Het gebeurde op een kwade dag dat een blanke priester per korjaal bij een inheems dorp aankwam. Om wat te doen? Hij zou de inheemsen komen bekeren en het evangelie aan de ‘arme stakkerds’ brengen. Op den duur zouden de inheemse mannen gedoopt worden en voortaan bijvoorbeeld Johannes in plaats van Tukajana heten. Volgens de pater werd de man een nieuwe mens wanneer hij gedoopt zou worden. Dat begreep het slachtoffer ook donders goed. De pater onderwees de inheemsen over vele kerkelijke wetten en gebruiken. Bijvoorbeeld dat er op goede vrijdag geen vlees gegeten mag worden. Dat werd door de inheemsen goed begrepen en ook heel goed onthouden!
Op zekere dag, het was het zoveelste bezoek van de priester aan het dorp, betrapte hij Johannes op heterdaad toen hij en zijn gezin bosvarkensvlees aan het eten waren. Was dat een bijzonderheid? Och mens, nee toch! Maar pas op dat moment zou de priester ontdekken dat hij de inheemsen uiterlijk kon veranderen, maar niet hun binnenste. Op de vraag van de priester aan Johannes of hij niet wist dat het die dag goede vrijdag was en dat hij dus geen vlees mocht eten, antwoordde Johannes hem dat hij vroeger Tukajana heette: ‘Door het doopsel van de pater heet ik nu Johannes, zo ook heeft hij het vlees gedoopt en dat heet nu: de vis anjumara!’

 

 
A.C. Cirino (20 mei 1929 –  6 mei 2003) 
Een dorp in het district Saramacca (Geen portret beschikbaar)

 

De Poolse schrijfster en journaliste Hanna Krall werd geboren op 20 mei 1937 in Warschau. Zie ook alle tags voor Hanna Krall op dit blog.

Uit: Dem Herrgott zuvorkommen (Vertaald door Hubert Schuhmann)

„Und da schreit er mich an. Die da in die Güterwagen steigen, seien wohl schlechter als die Schießenden? Das glaube ich doch wohl, natürlich, das glauben ja alle, sogar der amerikanische Professor, der neulich zu Besuch war und gesagt hat »Wie die Schafe seid ihr in den Tod gegangen.« Der amerikanische Professor ist einmal an der französischen Küste gelandet, unter mörderischem Beschluss vier- oder fünfhundert Meter über den Strand gerannt, ohne sich zu bücken und ohne hinzufallen, ist verwundet worden, und nun meint er, jemand, der über solch einen Strand gerannt ist, könnte später sagen: »Vorwärts stürmen muss der Mensch, schießen muss er.« Oden »Wie Schafe seid ihr in den Tod gegangen.« Und des Professors Gattin setzte hinzu, gerade für die künftigen Generationen seien diese Schüsse wichtig, was bedeute der Tod von Menschen, die schweigend sterben, da bleibe doch nichts zurück. Die Schießenden jedoch hinterlassen eine Legende — ihr und ihren amerikanischen Kindern. Edelman verstand sehr wohl, dass der Professor neben seinen Narben, seinen Orden und seinem Lehrstuhl auch die Schüsse ungern in seinem Lebenslauf missen möchte, doch hat er ihm trotzdem verschiedenes klarzumachen versucht: dass der Tod in der Gaskammer nicht geringer zu achten ist als der Tod im Kampf und dass ein Tod nur dann unwürdig ist, wenn jemand versucht, auf Kosten anderer das eigene Leben zu retten. Doch ist er mit seinen Erklärungen nicht weit gekommen, sondern gleich wieder ins Schreien geraten, und eine Frau, die mit dabeisaß, suchte ihn zu entschuldigen. »Nehmt es ihm nicht übel«, sagte sie verlegen, »ihm dürft ihr es nicht übelnehmen…«
»Kind«, sagt er, »du musst das endlich begreifen, diese Menschen waren still und gefasst, und sie sind anständig gestorben. Es ist schrecklich, wenn jemand so gefasst in den Tod geht. Das ist viel schwerer als alle Schießerei, schießend stirbt es sich viel leichter. Um wie viel leichter erschien das Sterben uns als dem Menschen, der in den Viehwagen steigen, diese Fahrt mitmachen, sein Grab schaufeln, sich splitternackt ausziehen musste… Begreifst du das jetzt?« »Ja«, sage ich, »ja«.

 

 
Hanna Krall (Warschau, 20 mei 1937)

 

De Noorse schrijfster Sigrid Undset werd geboren in Kalundborg, Denemarken, op 20 mei 1882. Zie ook alle tags voor Sigrid Undset op dit blog.

Uit: Olav Audunssohn (Vertaald door Julius Sandmeier en Sophie Angermann)

„Gegen den Frühling zu war Olav eines Tages mit einem seiner Knechte draußen auf dem vereisten Acker und breitete Mist ans. Das Eis glitzerte und gleißte auf den nach Norden gelegenen Äckern, aber oben an der Roßwand sickerte und rieselte das Wasser herunter. Und drüben über der Bucht, auf der Sonnenseite, wurden die Felsen gebacken — der Stier stieg aus dem Meer herauf, mit flimmerndem Widerglanz von dem Gutwetterglitzem auf dem rotgrauen Stein. Der Hang unter den Kiefern dort leuchtete braun, und das Didcicht von Haselnußsträuchem, das sich ins Kvemtal hineinzog, stand vol-ler gelber Kätzchen. Draußen auf der Bucht ruderte Eirik — der rote Kittel des Knaben hob sich leuchtend vom blauen Wasser ab. Olav stand eine Weile auf den Spaten gestützt da, blickte zu dem kleinen Boot hinunter. Es war immer die gleiche Geschichte mit Eirik — er ließ sich so viel Zeit I Eigentlich hatte er nur ein paar Schafe hinüberbringen sollen; das Kleinvieh war jetzt in den Wald drüben hinausgelassen worden. Heu-te hätte man den Jungen gut daheim brauchen können. Hinter Olavs Rücken kam etwas über den Felsen getrippelt — über die großen kahlen Felsen, die den Guten Acker gegen den Fjord schützten. Cecilia stand da, die Sonne im Nacken, so daß die Strahlen durch ihr helles krauses Haar sickerten; es sdiinurterte gegen die Luft. Sie setzte sich hin und rutschte die Felsplatte hinunter, während sie ihrem Vater etwas zurief und ihm eine Handvoll kleiner gelber Blu-men zeigte. Olav fing die Kleine auf, abwehrend: »Nicht hierher, Cecilia — du machst dich schmutzig —« Er hob sie auf einen Stein hinauf. Die Klei-ne drückte die Blumen gegen sein Gesicht, guckte dann, ob der Vater gelb geworden sei vom Staub. Es war nicht viel zu sehen — Cecilia hatte sie bereits ganz zerdrückt —, aber sie lachte trotzdem und wie-derholte das Spiel.“

 

 
Sigrid Undset (20 mei 1882 – 10 juni 1949)
Cover biografie