De Vlaamse schrijver Felix Timmermans werd op 5 juli 1886 geboren te Lier. Zie ook mijn blog van 7 juli 2006 en ook mijn blog van 5 juli 2007 en ook mijn blog van 5 juli 2008.
De dauw drop
God rolt de zonnen door Zijn handen
zoals de boer het zaad.
De ruimte kent geen randen
en eindloos staat
de sterren tuin te branden.
Als dauwdrop aan der aarde bloeme
weerspiegel ik het Al.
Ik hoor de sferen zoemen.
Gans’ t sterren dal
probeert Uw naam te noemen.
‘ t Geheim blijft tot de nacht behoren,
waarin ik ben ontstaan,
tot, opgeslorpt, in schijn verloren,
in ’t licht vergaan,
in U ik word herboren!
De herfst blaast op den horen
De herfst blaast op den horen,
en ’t wierookt in het hout;
de vruchten gloren.
De stilten weven gobelijnen
van gouddraad over ’t woud,
met reeën, die verbaasd verschijnen
uit varens en frambozenhout,
en sierlijk weer verdwijnen…
De schoonheid droomt van boom tot boom,
doch alle schoonheid zal verdwijnen,
want alle schoonheid is slechts droom,
maar Gij zijt d’ Eeuwigheid!
Heb dank dat Gij mijn weemoed wijdt
en zegen ook zijn vruchten.
Een ganzendriehoek in de luchten;
nu komt de wintertijd.
Ik hoor U door mijn hart en door de rieten zuchten.
Ik ben bereid.
Felix Timmermans (5 juli 1886 – 24 januari 1947)
Borstbeeld in Lier
De Franse dichter, romanschrijver, toneelschrijver, ontwerper en filmmaker Jean Cocteau werd op 5 juli 1889 in Maisons Lafitte geboren. Zie ook mijn blog van 5 juli 2006 en ook mijn blog van 5 juli 2007 en ook mijn blog van 5 juli 2008.
Ma. Nuit
Quelquefois je m’endors. Soudain je me réveille
Le mur s’ouvre sur la merveille
De mon bel enfant endormi.
Je pense : on ne dort pas. On rêve à son ami
On lui glisse des vers sous la porte mal close
II dort… Il dort nu sur sa grande main rose
II dort : où le sommeil enlève-t-il ses pas ?
Il dort et c’est divin que je ne dorme pas
Que je m’échappe à ce monde astucieux du rêve
Et je sors une jambe et l’autre, je me lève
Je marche vers la table où je chante debout
Mon enfant endormi circule Dieu sait où
C’est à moi de veiller, d’être la sentinelle
Du bonheur que la vie accepte au milieu d’elle
Maligne à faire l’ombre et le froid sur l’amour
A se moquer de lui, prête à jouer des tours
Atroces, à brouiller les flèches et les cibles
A susciter les jeux des âmes insensibles
À… Mais que dis-je ? Assez. Mon enfant m’aime. Il dort.
Et je garde en avare un sublime trésor
Dont je saurai verser l’intérêt à la foule
Et de mon cœur ouvert le sang d’encre s’écoule
Dors mon fils, mon amant, mon peintre, mon acteur
Je suis ton seul poète et ton seul spectateur
Dors. Il est doux Jeannot de veiller de la sorte
Et de laisser mon sang s’allonger sous ta porte.
Jean Cocteau (5 juli 1889 – 11 oktober 1963)
Portret door Amadeo Modigliani
De Amerikaanse schrijver Michael Blake werd geboren in Fort Bragg, North Carolina, op 5 juli 1945. Blake’s familie verhuisde van North Carolina via Texas naar Zuid-Californië en trok daar van dorp naar dorp. Zijn schrijverscarrière begon op de Walker Air Force Base, waar hij was gestationeerd op het Public Information Office. Hij was assistent-redacteur van The Strategian, de krant van de Walker-luchtmachtbasis. Na zijn dienstplicht studeerde hij journalistiek aan de University of New Mexico. In 1970 verliet hij de universiteit en bleef schrijven voor periodieken (magazines, tijdschriften). Hij werd bekend door zijn boek Dances With Wolves uit 1988, dat hij voor de gelijknamige film, waarin de hoofdrol wordt gespeeld door Kevin Costner, heeft bewerkt tot filmscript. Voor het schrijven van het filmscript ontving Blake een Academy Award. In 2001 kwam het langverwachte vervolg op Dances With Wolves uit, dat The Holy Road (De Dans van de Krijger) heette.
Uit: The Holy Road
„The scalp was red and thick but what made it especially extraordinary was its great length. It was the longest shock of hair anyone had ever seen, so long that its owner had to sit on the shoulders of another warrior to tie it to the rafters of his lodge. Had it not been tied so high the hair would have dragged the ground and people living in the lodge would have been forever brushing it aside, reducing it from a vaunted trophy of war to an unwanted, everyday annoyance.
Still, it fell to a point about chest high and Wind In His Hair’s wives grumbled about its presence from the moment it assumed a prominent place among the many other scalps hanging in their large home. The grumbling was something the wives did under their breath and out of earshot of their husband for they knew that to complain openly about such a thing would cause unnecessary trouble. And it would be unfair to a husband who had sired so many healthy children, had unfailingly provided an abundance for his family, and was widely revered as the highest-ranking member of the elite warrior society known to all as the Hard Shields, the combat unit that viewed protection of the village and its people as their most sacred responsibility.“
Michael Blake (Fort Bragg, 5 juli 1945)
De Franstalige, Belgische schrijfster Jacqueline Harpman werd geboren op 5 juli 1929 in Ukkel. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007 en ook mijn blog van 5 juli 2008.
Uit: Angélique
„Oh ! là ! là ! Toujours saint Georges! toujours le dragon! l’ange et la bête, les vertus et les vices, la victoire du bon droit! Et moi? Qui pense à moi? Ces messieurs se disputent entre eux, le meilleur l’emporte, c’est la moindre des choses, et aussi que le pape accourt et sanctifie le sauveteur des vierges, mais, par le Dieu des chrétiens et tous les Dieux des païens, qu’on oublie un peu trop, ne pourrait-on penser à moi? C’est que j’existe, dans cette histoire, j’en suis même le noeud, l’objet de l’intérêt général, tout a tourné autour moi, dont on ne parle jamais.
La terreur régnait dans le pays que le dragon parcourait à pas lents, selon le rythme de son appétit. Il ne mangeait pas très souvent, et seulement des vierges: toute autre nourriture lui donnait des coliques et de l’eczéma, dont il se plaignait amèrement.
– Concevez-vous mon malheur? Je suis le dragon le plus maigre de la famille et tous mes frères se moquent de moi. On dit que c’est un trouble psychosomatique: peut-être bien, mais que voulez-vous que cela me fasse quand je me tords de douleur après un mauvais repas et que je traîne pendant des mois ces plaies suintantes qui me rendent affreux à voir? Je voudrais me marier, avoir des enfants, de beaux dragonnaux vigoureux, mais aucune dragonne ne veut de moi, même plus toute jeune, même veuve, même dépucelée hors mariage!“
Jacqueline Harpman (Ukkel, 5 juli 1929)
De Franse schrijver Jean Raspail werd geboren in Chemillé-sur-Dême op 5 juli 1925. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007 en ook mijn blog van 5 juli 2008.
Uit: Terres Saintes et Profanes
„Sous la mosquée d’Omar, au centre de l’ancienne esplanade du Temple, qui abrite le rocher sacré, le sommet fameux du mont Moriah, il est une petite grotte à six angles inégaux, fort vénérée des musulmans. Six prophètes y prièrent, révélant à eux six les trois religions monothéistes : là, Abraham. Là, David, Ici, Salomon. A côté, Elie. Là, Jésus, et là, Mahomet. C’est du moins ce que vous explique le guide.
Mais en tête de ce chapitre, nous avons écrit « Terre sainte » au singulier. Supprimer l’s signifie que des trois Jérusalem, cette ville que martyrise une triple sainteté, la Jérusalem de Salomon et des Juifs, celle du Christ et celle de Mahomet, nous ne retiendrons dans ce chapitre que la seconde, avec tout le pays qui l’entoure et qui est son complément : la Palestine, la Terre sainte, vers laquelle s’élancèrent huit croisades d’Occidentaux, nos semblables. Cette Terre sainte est nôtre, croyants ou non, puisque nous sommes d’Occident.
La géographie politique récente l’a partagée en deux pays : Israël et la Jordan
ie, l’un juif, et l’autre musulman, auxquels nous consacrons deux chapitres. La Jordanie en possède la plus grande partie, et son Commissariat au tourisme l’a baptisée Holy Land sur toutes les affiches de sa propagande ! Le Liban, lui-même, comprenant l’attrait publicitaire d’un tel vocable, rappelle qu’il est aussi « Terre sainte », puisque selon les Evangiles « Jésus alla dans le pays de Tyr et Sidon ».
Jean Raspail (Chemillé-sur-Dême, 5 juli 1925)
De Oostenrijkse schrijfster en vertaalster Barbara Frischmuth werd geboren op 5 juli 1941 in Altaussee. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007 en ook mijn blog van 5 juli 2008.
Uit: Vergiss Ägypten
« Vergiss Ägypten, sagte Lamis. Ägypten ist ein uraltes Haus, von dem niemand genau weiß, was sich hinter den Türen befindet. Die Kellertreppe ist eingestürzt, und die Leiter zum Dach hat kaum noch Sprossen. Die einzelnen Räume sind nur mehr gefühlsmäßig zu erschließen. Lass es also, denk lieber an die Ägypter.
Lamis hat leicht reden. Es ist ihr Land, es sind ihre Vergleiche.
Wenn du tatsächlich etwas über Ägypten sagen willst, vergiss Ägypten. Denk an ein anderes Land. Ein ganz anderes Land. Stell dir vor, du fliegst nach Sydney. Auf dem Weg dorthin musst du umsteigen. Möglicherweise in Bangkok oder weiß der Teufel, wo. Du sitzt nach dem unbequemen Flug mit ausgestreckten Beinen im Transitraum und unterhältst dich mit einer englischen Journalistin, die in Hurghada Urlaub gemacht hat. Du warst natürlich nicht in Hurghada. Und plötzlich überfällt dich eine Vorstellung von Ägypten, die es wert wäre, aufgeschrieben zu werden.
Wieso Bangkok?
Die Betonung liegt auf Transit. An Orten des Übergangs ist die Seele ungeschützt, alles Mögliche kann ihr passieren. Es gibt vielfältige Rituale bei Geburt und Tod, die einem beim Umsteigen helfen sollen.
Es geht aber nicht um Geburt und Tod. Es geht um Wörter, um Sätze.
Es geht ums Begreifen, glaub mir, Valie.
Ich hasse diese amputierten Vornamen und unterschreibe meine Briefe immer mit Valerie. Valerie Kutzer. Lamis sagt auch Alex, wenn sie Alexandrien, und IA, wenn sie die Isis Air meint.
Ich möchte Lamis wiedersehen. Jede Herzensregung hat ihren Preis. Das aviatische Paradoxon.
Nirgendwo fühle ich mich so geborgen wie in einem Flughafen, so als könne ich nie mehr verlorengehen. Wenn ich tatsächlich bliebe? Im Flughafen wohnen bliebe? Es wäre für alles gesorgt, Toiletten, Duschen, Friseur. Es gibt einen Arzt und einen Andachtsraum (ökumenisch), Buffets, Restaurants, Buchhandlungen.“
Barbara Frischmuth (Altaussee, 5 juli 1941)
De Oostenrijkse schrijver Josef Haslinger werd op 5 juli 1955 in Zwettl geboren. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007 en ook mijn blog van 5 juli 2008.
Uit: Phi Phi Island
“ein paar monate lang war ich ziemlich sicher, dass ich dieses buch nicht schreiben w[1]rde. schon deshalb nicht, weil ich oft danach gefragt wurde: du arbeitest doch nicht etwa an einem tsunami-buch? – nein, keine angst.
oder: mensch, du hast da was erlebt, da musst du dir keine sorgen um dein nächstes buch machen.
das waren unangenehme situationen. ich wollte darüber schreiben, aber ich wollte es auch wiederum nicht. Ich konnte das, was ich erlebt hatte, nicht abwägen, ich konnte es nicht von außen anschauen. es war wie ein tief in mir sitzender knoten, der sich nicht lösen ließ.
der tsunami vom 26. dezember 2004 und seine verheerenden auswirkungen blieben einige monate lang ein medienthema. ich sah die bilder, ich las die vielen augenzeugenberichte, und ich erzählte, wenn ich gefragt wurde, wie es uns ergangen war. zwar sagte ich bei jedem interview zu mir selbst: wenn die tsunami-frage kommt, solltest du gar nicht darauf eingehen. du hast überlebt. und du hast keine angehörigen verloren. warum nicht einfach froh sein und schweigen? dann kam das gespräch auf den tsunami, und ich merkte, dass ich doch auch das bedürfnis hatte, darüber zu reden.
dabei stellte sich eine merkwürdige unschärfe ein. es waren immer details, die mir in den sinn kamen, bilder, die sich in der erinnerung festgesaugt hatten, die mir aber den blick auf diese paar tage mehr trübten als schärften. die bilder gruppierten sich um zwei momente, die mit dem tsunami nur äußerlich zu tun hatten, die auch bei ganz anderen ereignissen hätten auftreten können. um den einen moment, als ich plötzlich zu wissen meinte, das werde ich nicht überleben, und um den anderen, als es danach aussah, als hätten wir unsere beiden kinder verloren.”
Josef Haslinger (Zwettl, 5 juli 1955)
De Franse schrijver en toneelauteur Marcel Achard (eig. Marcel-Auguste Ferréol) werd geboren op 5 juli 1899 in Sainte-Foy-lès-Lyon. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007
Uit: Jean de la Lune
Marceline, qui bâille : N’insiste pas!
Jef : Et, quand je fais une réflexion vraiment bien, tu ne la remarques même pas! Je t’ai dit: “Je suis un type épatant, qui t’aime-comme un imbécile!”. Tu n’as même pas sourcillé Mais, quand je dis “Comme l’amie de Cloclo”, tu me trouves extraordinaire. C’est un peu fort tout de même! Remarque que, après tout, “Comme l’amie de Cloclo”, c’est assez drôle. Oui, peut-être que le fait d’associer Richard et l’amie de Cloclo a pu te paraître amusant. Mais il ne faut pas exagérer. Quoi ? Tu ne réponds pas ? Elle dort. ma parole. (il la regarde) Elle dort. (il la regarde longuement) Comme elle est belle! (Timidement) Comme tu es belle (Et, maladroitement,. il s’essaie à dire 🙂 Mon amour! (il répète très vite) Mon amour! Mon amour! (et avec une tendresse infinie) Mon amour! (il la regarde) Elle a l’air de souffrir. C’est drôle ! Elle a presque toujours l’air de souffrir quand elle dort. Toute la journée, elle rit avec nous, elle s’amuse, elle est heureuse. Et, la nuit, ce n’est plus la même. Quels rêves tait-elle donc? (il va éteindre le lustre) Le matin, quand je les lui demande, elle ne s’en souvient jamais. (il tousse, remue une chaise) Oui, elle dort vraiment. Alors, à nous deux, ma petite. Je vais te faire quelques petits reproches. D’abord, pourquoi me trouves-tu extraordinaire à tort et à travers, comme tout à l’heure, là? Mais c’est une question à laquelle tu es bien incapable de répondre, naturellement. (hausse 1es épaules avec pitié) Voyons un peu les autres. (il sort un carnet de sa poche et s’installe au chevet du divan. il ouvre le carnet) Avril… mai… mardi… mercredi… Voilà, que de reproches ! Ah ! c’est parce qu’il y a ceux d’hier. Oui, excuse-moi, mon petit, hier, je me suis endormi avant toi. Cloclo t’avait tellement énervée avec son coup de téléphone. Alors… (il consulte le carnet) Nous disons donc: Pourquoi, pourquoi prends-tu toujours le parti de la bonne contre moi? Ce n’est pas gentil. Avant-hier. je lui ordonne je ne sais plus quoi. Elle me dit: “Je veux d’abord demander a Madame, parce que je connais Monsieur, si Madame n’est pas de son avis, Monsieur me disputera pour avoir fait ce qu’il voulait”. Je te raconte ça, et au lieu de te fâcher, tu ris avec elle. Avoue que ce n’est pas gentil. (il consulte à nouveau le carnet)… «
Marcel Achard (5 juli 1899 – 4 september 1974)
De Duitse schrijfster Ilse Gräfin v. Bredow werd geboren op 5 juli 1922 in Teichenau. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007
Uit: Kartoffeln mit Stippe
“Städter waren in Vaters Augen eine Heimsuchung, eine Landplage, schlimmer als Rüsselkäfer und Waldbrände. «Dieses Volk» spazierte durchs Dorf wie durch einen Zoo, drang ungebeten in Ställe und Gärten, gaffte durch offenstehende Fenster und benutzte die Hochsitze als Liebesversteck. «Diese Leute» trampelten durch das Getreide und über die Wiesen, als seien es Landstraßen, rissen Pilze mit Stumpf und Stiel aus dem Boden, schlossen nie ein Koppeltor hinter sich und brachten es sogar fertig, auf einem Wildschweinwechsel zu zelten, worüber eine Bache mit Frischlingen so in Harnisch geriet, daß sie das Zelt niedertrampelte. Sie verstießen gegen jede gute Sitte, indem sie nur mit einer Badehose bekleidet ins Dorf kamen und provozierten Mutter, die sich gern in vieles mischte, zu der Bemerkung: «Wir sind hier schließlich nicht im Busch.» Sie mäkelten an allem herum, was sie im Dorf einkauften – «die Milch sieht ja ziemlich wässerig aus!», «sind die Eier auch wirklich frisch?» und gingen in trockenen Sommern reichlich sorglos mit Streichhölzern und Feuer im Wald um.
Trotz unserer ablehnenden Haltung waren sie von uns und dem Dorf begeistert. Dabei war es das mickrigste weit und Breit. Es gab weder Wasserleitung noch elektrisches Licht, noch Telefon. Weder Kaufmann noch Gasthaus. Einmal wöchentlich kam der Krämer vom Nachbardorf mit Pferd und Wagen und hielt vor den aus Lehm zusammengepappten, mit Efeu verschnürten Fachwerkhäusern, die sich zwischen zwei Seen unter Linden und Kastanien duckten. “
Ilse Gräfin v. Bredow (Teichenau, 5 juli 1922)
De Kroatische dichter Tin Ujević werd geboren op 5 juli 1891 in Vrgorac in het toenmalige Oostenrijk-Hongarije. Hij bezocht het gymnasium in Split. Daarna verbleef hij enkle jaren in het bohemienmilieu in Zagreb. Hij probeerde in he toenmalige Joegoslavië politiek actief te worden en pleitte voor een broederlijke vereniging van Kroaten en Serven. Hij werd echter doo het servische nationalisme afgeschrikt en keerde terug tot de literatuur.
Blessed morning
Blessed morning, you cascade
Roaring lightfalls in this room.
How can pain make me afraid,
Dead already, in my tomb?
Well, perhaps you can ignite
Buried sparks from ash and dust
Since the lilac and the light
Still swell longing in your breast.
When I lift your veil, you show
Lines of quiet, forms of grace
In shelves of books, row on row –
Then the whole room’s careworn face.
Yet, there’s something still I miss
From this crib without a cross,
A smile on darling lips, the kiss
Of flowers in a waterglass.
Blessed morning, while you dress
This room in your translucent robe,
I have no fear of death’s caress.
Only give love back to this Job.
Vertaald door Richard Burns en Daša Marić
Tin Ujević (5 juli 1891 – 12 november 1955)
Zie voor onderstaande schrijver ook mijn blog van 5 juli 2008.
De Zwitserse schrijver Walter Matthias Diggelmann werd geboren op 5 juli 1927 in Zürich. Zie ook mijn blog van 5 juli 2007.
Zie voor onderstaande schrijvers ook mijn blog van 5 juli 2007.
De Franse schrijver en criticus Marcel Arland werd geboren in Varennes-sur-Amance op 5 juli 1899.