Francis Ponge, Marie Under, Alfred de Vigny, Zarko Petan, Hansjörg Schneider, Kenneth Slessor

De Franse dichter en schrijver Francis Ponge werd geboren op 27 maart 1899 in Montpellier. Zie ook alle tags voor Francis Ponge op dit blog.

 

Le cageot

A mi-chemin de la cage au cachot la langue française a cageot, simple caissette à claire-voie vouée au transport de ces fruits qui de la moindre suffocation font a coup sûr une maladie.

Agencé de façon qu’au terme de son usage il puisse être brisé sans effort, il ne sert pas deux fois. Ainsi dure-t-il moins encore que les denrées fondantes ou nuageuses qu’il enferme.

A tous les coins de rues qui aboutissent aux halles, fl luit alors de l’éclat sans vanité du bois blanc. Tout neuf encore, et légèrement ahuri d’être dans une pose maladroite à la voirie jeté sans retour, cet objet est en somme des plus sympathiques, — sur le sort duquel il convient toutefois de ne s’appesantir longuement.

 

Le cycle des saisons

Las de s’être contractés tout l’hiver les arbres tout à coup se flattent d’être dupes. Ils ne peuvent plus y tenir : ils lâchent leurs paroles, un flot, un vomissement de vert. Ils tâchent d’aboutir à une feuillaison complète de paroles. Tant pis! Cela s’ordonnera comme cela pourra! Mais, en réalité, cela s’ordonne! Aucune liberté dans la feuillaison… Ils lancent, du moins le croient-ils, n’importe quelles paroles, lancent des tiges pour y suspendre encore des paroles : nos troncs, pensent-ils, sont là pour tout assumer. Ils s’efforcent à se cacher, à se confondre les uns dans les autres. Ils croient pouvoir dire tout, recouvrir entièrement le monde de paroles variées : ils ne disent que « les arbres ». Incapables même de retenir les oiseaux qui repartent d’eux, alors qu’ils se réjouissaient d’avoir produit de si étranges fleurs.

Toujours la même feuille, toujours le même mode de dépliement, et la même limite, toujours des feuilles symétriques à elles-mêmes, symétriquement suspendues ! Tente encore une feuille! — La même! Encore une autre! La mèmel Rien en somme ne saurait les arrêter que soudain cette remarque : « L’on ne sort pas des arbres par des moyens d’arbres. « Une nouvelle lassitude, et un nouveau retournement moral. « Laissons tout ça jaunir, et tomber. Vienne le taciturne état, le dépouillement, I’automne.

 

 
Francis Ponge (27 maart 1899 – 6 augustus 1988)

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Alfred de Vigny, Žarko Petan, Hansjörg Schneider, Kenneth Slessor, Francis Ponge, Marie Under

De Franse dichter en schrijver Alfred de Vigny werd geboren op 27 maart 1797 te Loches (departement Indre-et-Loire). Zie ook alle tags voor Alfred de Vigny op dit blog.

Paris (Fragment)

– Prends ma main, Voyageur, et montons sur la Tour. –
Regarde tout en bas, et regarde à l’entour.
Regarde jusqu’au bout de l’horizon, regarde
Du nord au sud. Partout où ton oeil se hasarde,
Qu’il s’attache avec feu, comme l’oeil du serpent
Qui pompe du regard ce qu’il suit en rampant,
Tourne sur le donjon qu’un parapet prolonge,
D’où la vue à loisir sur tous les points se plonge
Et règne, du zénith, sur un monde mouvant,
Comme l’éclair, l’oiseau, le nuage et le vent.
Que vois-tu dans la nuit, à nos pieds, dans l’espace,
Et partout où mon doigt tourne, passe et repasse ?

– ” Je vois un cercle noir, si large et si profond
” Que je n’en aperçois ni le bout ni le fond.
” Des collines, au loin, me semblent sa ceinture,
” Et, pourtant, je ne vois nulle part la nature,
” Mais partout la main d’homme et l’angle que sa main
” Impose à la matière en tout travail humain.
” Je vois ces angles noirs et luisants qui, dans l’ombre,
” L’un sur l’autre entassés, sans ordre ni sans nombre
” Coupent des murs blanchis pareils à des tombeaux.
” – Je vois fumer, brûler, éclater des flambeaux,
” Brillant sur cet abîme où l’air pénètre à peine,
” Comme des diamants incrustés dans l’ébène.

Alfred de Vigny (27 maart 1797 – 17 september 1863)

Parijs

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Hansjörg Schneider, Žarko Petan, Alfred de Vigny, Kenneth Slessor, Francis Ponge

De Zwitserse schrijver Hansjörg Schneider werd geboren op 27 maart 1938 in Aarau. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007 en ook mijn blog van 27 maart 2008 en ook mijn blog van 27 maart 2009. en ook mijn blog van 27 maart 2009 en ook mijn blog van 27 maart 2010.

 

Uit: Hunkeler und die Augen des Odipus

 

„Am Morgen des 24. April, es war ein Freitag, wurde Willy Dreier, Inhaber der Wirtscha∫ Stauwehr bei Märkt im deutschen Markgräflerland, von einem dumpfen, knirschenden Geräusch, welches das stete Rauschen des Wassers übertönte, geweckt. Er sah auf dem Wecker, dass es kurz vor sieben

war. Punkt sieben hatte er aufstehen wollen, um den Keller zu reinigen und vorzubereiten für eine Lieferung Wein vom Tüllinger Hügel. Am Freitag, dem 1. Mai, wollte er sein Lokal für die kommende Sommersaison eröffnen.

Er fragte sich, ob er geträumt hatte, und blieb eine Weile liegen. Da das Geräusch nicht nachließ, sondern sich im Gegenteil steigerte, als ob Eisen gegen Eisen stieße, erhob er sich, schlüpfte in Hose und Hemd und trat vor die Tür. Die Auenlandscha∫ lag in leichtem Nebel. Die Sonne war

noch nicht zu sehen. Ein Chor von Vögeln besang das aufkommende Morgenlicht.

Das fremde Geräusch, das ihn geweckt hatte, war verstummt. Er überlegte, ob er zurückgehen sollte ins Haus, um zu frühstücken und mit der Arbeit zu beginnen. Da hörte er einen langgezogenen, schrillen, schleifenden Ton. Er erstarb. Es war nur noch das Wasser zu hören, das übers Wehr fiel.

Er ging die wenigen Meter durch das morgenfeuchte Gras zum Damm, kletterte hinauf und schaute über den Fluss, der breit wie ein See vor ihm lag. Dicht am Ufer schwammen ein paar hundert Reiherenten, die aus dem Norden hergeflogen waren, um hier zu überwintern. Drüben war das französische Ufer.“

 

 

Hansjörg Schneider (Aarau, 27 maart 1938)

 

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Hansjörg Schneider, Žarko Petan, Alfred de Vigny, Kenneth Slessor

De Zwitserse schrijver Hansjörg Schneider werd geboren op 27 maart 1938 in Aarau. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007 en ook mijn blog van 27 maart 2008 en ook mijn blog van 27 maart 2009. 

 

Uit: Hunkeler und die goldene Hand

 

Peter Hunkeler, Kommissär des Kriminalkommissariats Basel, ehemaliger Familienvater, jetzt geschieden, lag im Solebad des Hotels Marina in Rheinfelden/Schweiz und hatte eine Depression. Er lag im Außenbecken an der Massagedüse vier, die ihm warmes Salzwasser gegen die Lendenwirbel spritzte, heraufgepumpt aus tausend Metern Tiefe, wo früher der Meeresboden gelegen hatte.
Hunkeler versuchte, ans Meer zu denken. An sich brechende Wogen, an ihr Ausrollen auf Kies oder Sand, an den Geruch von Tang. Es gelang ihm nicht, es roch nicht nach Meer hier, sondern nach Solebad.
Rechts von ihm, und das ärgerte ihn besonders, suhlten sich zwei alte Frauen, direkt vor Düse fünf. Schon gut zehn Minuten lagen sie dort, ohne Anstalten zu treffen, sich weiter zu Düse sechs bewegen zu wollen, wie man eigentlich hätte erwarten dürfen. Niemand hatte das Recht, eine Düse für längere Zeit zu blockieren. Es gab noch andere Kunden hier, die es vielleicht gerade auf diese Düse fünf abgesehen hatten. Aber darum scherten sich die beiden nicht. Die eine trug eine Badekappe mit roten Blumen, die andere eine mit blauen Schuppen. Lächerlich war das. Und natürlich redeten sie einen Dialekt aus dem Badischen. Hotzenwald vielleicht oder Dinkelberg, dachte Hunkeler mit verstecktem Ingrimm. Die schauten genau so aus, als wären sie von den einsamen Höhen jenseits des Rheins extra-herunter gekommen, um Düse fünf zu blockieren. Als ob es drüben keine Heilquellen gegeben hätte. Draußen in der Mitte des Bassins crowlte ein junger Mann, von links nach rechts, dann wieder von rechts nach links. Er hatte ein beachtliches Tempo drauf, das mußte man anerkennen. Am linken Oberschenkel trug er ein Tauchermesser.“

 

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Hansjörg Schneider (Aarau, 27 maart 1938)

 

De Sloveense schrijver, regisseur en journalist Žarko Petan werd geboren op 27 maart 1929 in Ljubljana. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007 en ook mijn blog van 27 maart 2009. 

Uit: Aphorismen

Butter oder Kanonen? – das ist nicht die Frage. Wer genug Kanonen hat, wird auch genug Butter haben.

*

In der sozialistischen Wirtschaft wurden sogar die Krisen verstaatlicht.

*

Die Hölle sind die anderen.
Das Paradies, das sind die anderen in der Hölle.

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Žarko Petan (Ljubljana, 27 maart 1929)

 

De Franse dichter en schrijver Alfred de Vigny werd geboren op 27 maart 1797 te Loches (departement Indre-et-Loire). Zie ook mijn blog van 27 maart 2009.

L’âge d’or de l’avenir

Le rideau s’est levé devant mes yeux débiles,
La lumière s’est faite et j’ai vu ses splendeurs ;
J’ai compris nos destins par ces ombres mobiles
Qui se peignaient en noir sur de vives couleurs.
Ces feux, de ta pensée étaient les lueurs pures,
Ces ombres, du passé les magiques figures,
J’ai tressailli de joie en voyant nos grandeurs.

Il est donc vrai que l’homme est monté par lui-même
Jusqu’aux sommets glacés de sa vaste raison,
Qu’il y peut vivre en paix sans plainte et sans blasphème,
Et mesurer le monde et sonder l’horizon.
Il sait que l’univers l’écrase et le dévore ;
Plus grand que l’univers qu’il juge et qui l’ignore,
Le Berger a lui-même éclairé sa maison.

 

Le bain d’une dame romaine

Une Esclave d’Egypte, au teint luisant et noir,
Lui présente, à genoux, l’acier pur du miroir ;
Pour nouer ses cheveux, une Vierge de Grèce
Dans le compas d’Isis unit leur double tresse ;
Sa tunique est livrée aux Femmes de Milet,
Et ses pieds sont lavés dans un vase de lait.
Dans l’ovale d’un marbre aux veines purpurines
L’eau rose la reçoit ; puis les Filles latines,
Sur ses bras indolents versant de doux parfums,
Voilent d’un jour trop vif les rayons importuns,
Et sous les plis épais de la pourpre onctueuse
La lumière descend molle et voluptueuse :
Quelques-unes, brisant des couronnes de fleurs,
D’une hâtive main dispersent leurs couleurs,
Et, les jetant en pluie aux eaux de la fontaine,
De débris embaumés couvrent leur souveraine,
Qui, de ses doigts distraits touchant la lyre d’or,
Pense au jeune Consul, et, rêveuse, s’endort.

Vigny

Alfred de Vigny (27 maart 1797 – 17 september 1863)

 

De Australische dichter Kenneth Slessor werd geboren op 27 maart 1901 in Orange, New South Wales. Zie ook mijn blog van 27 maart 2009.

 

North Country 

 

North Country, filled with gesturing wood,

With trees that fence, like archers’ volleys,

The flanks of hidden valleys

Where nothing’s left to hide

 

But verticals and perpendiculars,

Like rain gone wooden, fixed in falling,

Or fingers blindly feeling

For what nobody cares;

 

Or trunks of pewter, bangled by greedy death,

Stuck with black staghorns, quietly sucking,

And trees whose boughs go seeking,

And tress like broken teeth

 

With smoky antlers broken in the sky;

Or trunks that lie grotesquely rigid,

Like bodies blank and wretched

After a fool’s battue,

 

As if they’ve secret ways of dying here

And secret places for their anguish

When boughs at last relinquish

Their clench of blowing air

 

But this gaunt country, filled with mills and saws,

With butter-works and railway-stations

And public institutions,

And scornful rumps of cows,

 

North Country, filled with gesturing wood–

Timber’s the end it gives to branches,

Cut off in cubic inches,

Dripping red with blood. 

 

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Kenneth Slessor (27 maart 1901 – 30 juli 1971)

Golo Mann, Heinrich Mann, Patrick McCabe, Hansjörg Schneider, Dubravka Ugrešić, Žarko Petan, Shusaku Endo, Bob den Uyl, Harry Rowohlt

De Duitse schrijver en historicus Golo Mann werd geboren in München op 27 maart 1909. Dat is vandaag precies honderd jaar geleden. Hij was het derde kind van de Duitse schrijver Thomas Mann. In 1932 emigreerde hij naar Zwitserland, en vervolgens naar Frankrijk, waar hij aan een universiteit Duitse geschiedenis doceerde. In 1940 vluchtte hij, via Spanje, naar de Verenigde Staten. Hij schreef o.a. een beroemde biografie over Wallenstein (1971). In 1968 ontving hij de Georg-Büchner-Preis. De relatie met zijn vader was geen gelukkige. Terugblikkend schreef Golo erover: „Wohl konnte er noch Güte ausstrahlen, überwiegend aber Schweigen, Strenge, Nervosität oder Zorn“

Uit: Wallenstein

Er kam aus Italien und war vorher in Frankreich gewesen. Einige sagen, auch in Spanien, oder in England, aber das ist nicht wahr. Die Bildungsreise, wie sie zur Erziehung böhmischer Edelleute gehörte, konnte wohl auch England einschließen oder Spanien oder beide Königreiche; sie tat es in Fällen, von denen wir wissen, aber nicht in diesem. Übrigens wissen wir von Albrecht Wallensteins Grand Tour überhaupt nicht viel. Er schrieb keine Briefe, jedenfalls sind keine da; und an wen hätte er schreiben sollen? Von seinen späteren Gesprächen sind viele überliefert; aber die handeln nur von Krieg und Staatsgeschäften, nie, fast nie, von der eigenen Menschlichkeit. Genoß er erste Lieb’ und Freundschaft, so liegen sie im Dunkeln; vielleicht genoß er keine. Man legte wenig Gewicht auf das, was wir Gefühle nennen, um die Wende des 16. zum17. Jahrhundert. Die, welche man gleichwohl erlebte und für welche es die uns geläufigen Namen nicht gab, verschloß man in sich, vertraute sie allenfalls dem Beichtvater, dem geistlichen Berater an, der seinerseits in Schweigsamkeit geübt sein mußte. Wurden Tagebücher geführt, das kam vor, so hielten sie Begebenheiten und äußere Beobachtungen fest, nicht Reflexionen, viel weniger Selbstreflexionen. Ausnahmen gibt es, die gibt es immer, und wir werden im Lauf unserer Erzählungen noch ein paar von ihnen kennen lernen. Aber Wallenstein gehört zu ihnen nicht. Stellt er eine Ausnahme dar, so eher in der anderen Richtung; das heißt, er trieb später die Verschwiegenheit über das, was In seiner Seele vorging und was ihn zu dem gemacht hatte, was er war, noch weiter als der Durchschnitt seiner Standesgenossen.“

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Golo Mann (27 maart 1909 – 7 april 1994)

 

De Duitse schrijver Heinrich Mann werd geboren op 27 maart 1871 in Lübeck. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007 en ook mijn blog van 27 maart 2008.

Uit: Die Jugend des Königs Henri Quatre

„Etwas später trat die Königin Jeanne zum reformierten Bekenntnis über. Das war ein beträchliches Ereig­nis – nicht nur für ihr kleines Land, das sie nach Kräften pro­testantisch machte. Es vermehrte den Mut und den Einfluß der neuen Religion überall. Sie hatte es aber getan, weil ihr Gatte Antoine bei Hof und im Felde immer noch mehr Ge­liebte nahm. Da er reformiert gewesen und aus Schwäche wieder katholisch geworden war, machte sie es umgekehrt. Ihr Glaubenswechsel geschah vielleicht aus Frömmigkeit, be­sonders aber um herauszufordern: ihren treulosen Mann, den Hof in Paris, alle, die sie kränkten oder ihr im Wege waren. Ihr Sohn sollte einmal groß werden, und das konnte er nur an der Spitze protestantischer Heere, der Ehrgeiz seiner Mutter erkannte es früh.
Als die Reise nach Paris endlich nahe bevorstand, um­armte Jeanne ihren Sohn und sagte: «Wir reisen, aber du darfst nicht denken, daß es zum Vergnügen ist. Denn wir werden in eine Stadt kommen, wo fast alle gegen die Reli­gion und gegen uns sind. Vergiß es niemals! Du bist jetzt sie­ben Jahre alt und hast Verstand. Weißt du noch, daß wir schon einmal zu Hofe gingen? Du warst ganz klein und erin­nerst dich nicht. Vielleicht, daß dein Vater sich entsinnen würde, wenn er nicht so vieles, was einst war, vergessen und verloren hätte.»
Sie versank in schmerzliches Träumen. Er zog sie am Arm und fragte: «Was gab es denn damals bei Hofe?»
«Der selige König lebte noch. Er fragte dich, ob du sein Sohn sein wolltest. Du zeigtest auf deinen Vater und antwor­tetest, der sei dein Herr Vater. Darauf fragte der selige König dich, ob du dann sein Schwiegersohn werden wolltest. Du erwidertest <jawohl>, und seither geben sie dich bei Hofe als den Verlobten der königlichen Prinzessin aus; damit wollen sie uns fangen. Ich sage es dir, damit du nicht alles glaubst und ihnen nicht traust.»

 

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Heinrich Mann (27 maart 1871 – 12 maart 1950)

 

De Ierse schrijver Patrick Joseph McCabe werd geboren op 27 maart 1955 in Clones, Monaghan. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007 en ook mijn blog van 27 maart 2008.  

 

Uit: Breakfast on Pluto

It was a beautiful crisp Christmas morning. All across the little village which lay nestled on the southern side of the Irish border, one could sense an air of tense but pleasura
ble expectancy. Already the small birdies, as if conscious of the coming mood of celebration and acceptable self-indulgence which was so much a part of the much-loved season, had begun their carefully co-ordinated invasions, their industrious beaks like so many arrowheads stiletto-jabbing the frosted gold-tops of the early-morning milk bottles. Even at this early hour, there are one or two children playing—cork guns being proudly displayed and nurses’ uniforms flaunted in so many minx-like parades. In places, the snow has begun to melt but this is still a scene that any seasonal greeting card would be more than proud to play host to. A door closes quietly and the first Mass-goer makes her way determinedly through the streets, her Missal clutched tightly and her knitted cap pulled firmly about her ears. Through a gap in the clouds comes the peal of a church bell. Already, the beloved pastor of this parish, Father Bernard McIvor, will be busying himself inside his sacristy. Donning the starched vestments which, it would later be the contention of an ill-informed psychiatrist, were partly responsible for his son’s attraction to the airy appareil of the opposite sex.”

 

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Patrick McCabe (Clones, 27 maart 1955)

 

De Zwitserse schrijver Hansjörg Schneider werd geboren op 27 maart 1938 in Aarau. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007 en ook mijn blog van 27 maart 2008.

Uit: Im Café und auf der Strasse

1. November 1986 .

Weiße Möwen kreisen über dem Fluß. Sie sehen seltsam geputzt aus an diesem trüben Herbsttag, klinisch sauber wie Krankenschwestern im Spital. Hin und wieder setzt sich eine aufs Wasser und zerrt an einem großen Fisch, der mit dem Bauch nach oben abwärts treibt.

Obwohl laut Radiomeldungen das Unglück weiter oben schon seit gut zehn Stunden behoben ist, schimmert das Wasser noch immer rot. Auch der Gestank ist noch da, der die Bevölkerung nachts aus dem Schaf gerissen hat. Er hängt in der Luft, er drückt in die Lunge, er erinnert an Tod.
Unten auf dem Treidelweg dicht über dem Wasser steht ein Junge. Neben sich hat er einen grünen Plastikkessel. Er blickt ins Wasser, er bewegt sich nicht.
Ich gehe hinunter und schaue in den Kessel. Wasser liegt darin, sonst nichts. Ich schaue den Jungen an. Er wird um die 15 sein, er hat rotes Haar und Sommersprossen. In den Händen hält er zwei Äste, die er vom nahen Haselbusch gebrochen hat. Er sieht hinunter auf die Sandbank, die sich zu unseren Füßen der Ufermauer entlangzieht.
Da unten sind sie, sagt er, ein gutes Dutzend. Sie wollen an Land kommen, aber sie können nicht wegen der Mauer.
Ich schaue hinunter ins Wasser und sehe Aale, die gewunden im Sand liegen und sich an die Mauer schmiegen, die sie nicht überwinden können. Zwei zeigen ihre Bäuche. Das Gift hat sie getötet.
Aale sind zäh, sagt der Junge und schaut mich aus hellen Augen an. Sie sterben langsam. Die Äschen sind feiner, die sind schon tot. Die da unten sind jung. “

 

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Hansjörg Schneider (Aarau, 27 maart 1938)

 

De Kroatische schrijfster Dubravka Ugrešić werd geboren op 27 maart 1949 in Kutina in Joegoslavië. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

Uit: Nobody’s Home (Vertaald door Ellen Elias-Bursac)

„If New York is the centre of the world – and I, as someone from the provinces of Eastern Europe, have no doubt that it is – then one could say from the vantage point of the centre that nails have now become the centre of the body.

I was initiated into the new trend at a salon on Second Avenue. The boss, a Vietnamese man, greeted me with a courteous smile, and his colleagues settled me into a comfy leather chair. One offered to massage the weary back of my neck. Another got to work on the nails on my hands and feet. Abra, abra, a third asked me. Abra, abra, the woman insisted, pointing to her eyebrow. For another ten dollars I could have my eyebrows plucked. I declined. Her offer sounded a touch licentious. It was the end of the workday. I was the last customer.

I entertained myself by watching the Vietnamese proprietor teach a young Mexican woman with plump fingers how to groom nails. He was gentle and patient. First he applied polish to the nails on her hand, demonstrating how to brush the surface of the nail properly. Then he stretched his own hand out to her so she could demonstrate what she had learned. They made a perfect picture. Lit by light from the street, the teacher and pupil polishing each other’s nails was a scene worthy of Vermeer.“

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Dubravka Ugrešić (Kutina, 27 maart 1949)

 

De Sloveense schrijver, regisseur en journalist Žarko Petan werd geboren op 27 maart 1929 in Ljubljana. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

 

Drückende Last

Komm in meine Träume, Maria.

Stoß das Fenster vorsichtig auf, damit Du mich nicht weckst.

Zieh die Decke langsam weg, damit ich nicht aufwache.

Mit geschlossenen Augen hofft es sich schöner.

Komm in meine Träume, Maria.

Berühre mich mit Deinen nackten Füßen, mit den taufeuchten, den im Mondschein

gewaschenen.

Wickle mich in Dein Seidenhaar, gekämmt vom Wind.

Komm in meine Träume, Maria.

Gemeinsam werden wir versinken in bodenlosen Abgründen.

Gemeinsam werden wir segeln auf den Wellen uferloser Meere.

Auf den endlosen Straßen sei meine liebenswürdige Last, Maria

 

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Žarko Petan (Ljubljana, 27 maart 1929)

 

De Japanse schrijver Shusaku Endo werd geboren in Tokio op 27 maart 1923. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

Uit: Deep River

When the carriage lurched forward, Numada turned round and watched as Blackie chased after them. His eyes grew moist though he struggled not to cry, and he turned his face away so that his mother wouldn’t notice. Even after they turned a corner, Blackie continued in pursuit. He seemed to almost know trhat this was the last time he would see Numada. Eventually Blackie tired and came to a stop, growing smaller in the distance while he watched with resignation in his eyes as Numada left him. Numada as an adult had still not forgotten those eyes of Blackie’s. It was thanks to Li and to his dog that he had first come to know the meaning of separation.

Endo

Shusaku Endo (27 maart 1923 – 29 september 1996)

 

De Nederlandse schrijver Bob den Uyl werd geboren in Rotterdam op 27 maart 1930.  Den Uyl kwam uit een gereformeerd gezin waarvan de moeder uit Duitsland kwam. Zijn vader was politieagent. Na de mulo-b te hebben doorlopen, deed hij MO-A Frans en Engels. Hij had diverse kantoorbanen alvorens hij zich in 1968 geheel op het schrijven toelegde. Van 1948 tot 1957 trad hij ook als jazztrompettist met verscheidene jazzorkesten op. Eind jaren 50 riep hij psychiatrische hulp in om van het stotteren af te komen. Het bood hem weliswaar enig soelaas maar hij kreeg er bepaalde fobieën (straatvrees en eetangst) voor terug. Nadat hij in 1963 al had gedebuteerd met Vogels kijken, verwierf hij pas grotere bekendheid met Gods wegen zijn duister en zelden aangenaam uit 1975. Vanwege veelvuldig gebruik van alcohol en kalmeringsmiddelen verslechterde eind jaren tachtig zijn gezondheid. Begin 1992 overleed Bob den Uyl op 61-jarige leeftijd aan longemfyseem.

Uit: Het land is niet ondankbaar

‘Die avond was er in Winsum een literair forum waarbij ik met een aantal schrijvers op een toneel achter een lange tafel zat en af en toe iets zei om mijn aanwezigheid te rechtvaardigen. Na afloop zaten we nog wat bijeen in café De Gouden Karper en bespraken zin en onzin van literaire forums. Toen we daarmee gereed waren vroeg iemand of ik nog steeds in Rotterdam woonde. Ik antwoordde bevestigend, wetend wat er komen zou. Maar dat kwam niet! Weer die dromerige blikken in de verte. ‘Rotterdam, daar wordt pas echt goed gebouwd,’ zei er een, met overtuiging in zijn stem. ‘Ja,’ zei een ander, ‘daar zit wat in de lucht, iets… eh, ongrijpbaars, iets tintelends.’ Hierbij greep
hij met beide handen iets onzichtbaars uit de lucht.
‘In Rotterdam gebeurt het,’ zei een schrijfster met een stem die geen tegenspraak duldde. ‘Een unieke stad, haast onnederlands,’ zei ten slotte een schrijver die naar ik wist Rotterdam altijd had gehaat. Ik zat sprakeloos en keek rond of ik iemand heimelijk zag glimlachen. Maar nee, ernst en overtuiging spraken uit aller blik. ‘Maar het waait er altijd zo,’ zei ik toen zwakjes. ‘Het waait altijd in heel Nederland,’ snauwde de schrijfster weer, en een ander vroeg dreigend: ‘Heb jij
soms wat tegen Rotterdam?’ waarna het gezelschap me koel aankeek. Toen wist ik het zeker. Het imago van Rotterdam was op een raadselachtige manier omgedraaid als een blad aan een boom. Rotterdam is in.“

DenUyl

Bob den Uyl (27 maart 1930 – 14 februari 1992)

 

De Duitse schrijver en vertaler Harry Rowohlt werd geboren op 27 maart 1945 in Hamburg. Hij is een zoon van de uitgever Ernst Rowohlt. Met de uitgeverij wilde hij echter nooit veel te maken hebben. Hij heeft met talrijke succesvolle vertalingen, o.a. van Flann O’Brien, op zijn naam staan. Ook vertaalde hij twee delen van von A. A. Milnes “Winnie the Pooh” . Zijn column „Pooh’s Corner” in dagblad Die Zeit geniet een cultstatus. Lezingen die hij gegeven heeft werden legendarisch. Van tijd tot tijd treedt hij als acteur op en speelt hij een dakloze in de Duitse serie Die Lindenstraße.

Uit: In Schlucken-zwei-Spechte (Zijn leven verteld aan Ralf Sotscheck)

„Bei dem Nachnamen sowieso nicht. Das ist doch deine Lieblingsfrage: »Haben Sie etwas mit dem Rowohlt-Verlag zu tun?« Jeder, der sie stellt, muß fünf Mark an eine Wohltätigkeitsorganisation spenden, oder?

Jawohl. Es ist eine Last, wenn man Rowohlt heißt. Im Hamburger Telefonbuch stehen, außer dem Rowohlt Verlag, meiner Mutter und mir, noch zwei weitere Rowohlts, und irgendwann abends habe ich die beiden angerufen, ganz leicht angeheitert und entsprechend erhöht risikobereit. Ich telefoniere eigentlich nur, wenn ich ganz leicht angeheitert bin. Wenn ich nicht betrunken bin, habe ich keine Lust zu telefonieren, weil ich dann übersetze. Aber manchmal will man sich halt ein bißchen mitteilen. Ich habe schon erwogen, einen Alkoholmelder am Telefon anbringen zu lassen, aber dann würde ich ja gar nicht mehr telefonieren. Ich habe also die beiden übrigen Rowohlts im Hamburger Telefonbuch angerufen, um sie zu fragen, ob es ihnen auch so auf den Wecker geht, daß sie immer gefragt werden, ob sie etwas mit dem Rowohlt-Verlag zu tun haben? Der eine ist Weinhändler und sagte: »Nö, ich habe mich daran gewöhnt, ich weiß ja, wer ich bin.« Und der andere hieß Jörg Rowohlt, war damals Leiter der Hamburger Schwuleninitiative e.V. und klang wie jemand, der bösartig Fritz J. Raddatz nachmacht: »Was wollen Sie überhaupt von mir?«

Rowohlt

Harry Rowohlt (Hamburg, 27 maart 1945)

 

Zie voor nog meer schrijvers van de 27e maart ook mijn vorige blog van vandaag.

Heinrich Mann, Alfred de Vigny, Patrick McCabe, Hansjörg Schneider, Žarko Petan, Shusaku Endo, Dubravka Ugrešić

De Duitse schrijver Heinrich Mann werd geboren op 27 maart 1871 in Lübeck. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

Uit : Professor Unrat

 „Da er Raat hieß, nannte ihn die ganze Stadt Unrat. Nichts konnte einfacher und natürlicher sein. Der und jener Professor wechselten zuweilen ihr Pseudonym. Ein neuer Schüler gelangte in die Klasse, legte mordgierig eine vom vorigen Jahrgang noch nicht genug gewürdigte Komik an dem Lehrer bloß und nannte sie schonungslos beim Namen. Unrat aber trug den seinigen seit vielen Generationen, der ganzen Stadt war er geläufig, seine Kollegen benutzten ihn außerhalb des Gymnasiums und auch drinnen, sobald er den Rücken drehte. Die Herren, die in ihrem Hause Schüler verpflegten und sie zur Arbeit anhielten, sprachen vor ihren Pensionären vom Professor Unrat. Der aufgeweckte Kopf, der den Ordinarius der Untersekunda hätte neu beobachten und nochmals abstempeln wollen, wäre nie durchgedrungen; schon darum nicht, weil der gewohnte Ruf auf den alten Lehrer noch so gut seine Wirkung übte wie vor sechsundzwanzig Jahren. Man brauchte nur auf dem Schulhof, sobald er vorbeikam, einander zuzuschreiben:

‚Riecht es hier nicht nach Unrat?’

Oder:

‚Oho! Ich wittere Unrat!’

Und sofort zuckte der Alte heftig mit der Schulter, immer mit der rechten, zu hohen, und sandte schief aus seinen Brillengläsern einen grünen Blick, den die Schüler falsch nannten, und der scheu und rachsüchtig war: der Blick eines Tyrannen mit schlechtem Gewissen, der in den Falten der Mäntel nach Dolchen späht. Sein hölzernes Kinn mit dem dünnen graugelben Bärtchen daran klappte herunter und hinaus. Er konnte dem Schüler, der geschrien hatte, „nichts beweisen“ und mußte weiterschleichen auf seinen magern, eingeknickten Beinen und unter seinem fettigen Maurerhut.“

 

Mann

Heinrich Mann (27 maart 1871 – 12 maart 1950)
Thomas (l) en Heinrich Mann

 

De Franse dichter en schrijver Alfred de Vigny werd geboren op 27 maart 1797 te Loches (departement Indre-et-Loire). Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

L’esprit parisien

Esprit parisien ! démon du Bas-Empire !
Vieux sophiste épuisé qui bois, toutes les nuits,
Comme un vin dont l’ivresse engourdit tes ennuis,
Les gloires du matin, la meilleure et la pire;

Froid niveleur, moulant, aussitôt qu’il expire,
Le plâtre d’un grand homme ou bien d’un assassin,
Leur mesurant le crâne, et, dans leur vaste sein,
Poussant jusques au coeur ta lèvre de vampire ;

Tu ris ! – Ce mois joyeux t’a jeté trois par trois
Les fronts guillotinés sur la place publique.
– Ce soir, fais le chrétien, dis bien haut que tu crois.

A genoux ! roi du mal, comme les autres rois !
Pour que la Charité, de son doigt angélique,
Sur ton front de damné fasse un signe de croix.

 

 

L’âge d’or de l’avenir

Le rideau s’est levé devant mes yeux débiles,
La lumière s’est faite et j’ai vu ses splendeurs ;
J’ai compris nos destins par ces ombres mobiles
Qui se peignaient en noir sur de vives couleurs.
Ces feux, de ta pensée étaient les lueurs pures,
Ces ombres, du passé les magiques figures,
J’ai tressailli de joie en voyant nos grandeurs.

Il est donc vrai que l’homme est monté par lui-même
Jusqu’aux sommets glacés de sa vaste raison,
Qu’il y peut vivre en paix sans plainte et sans blasphème,
Et mesurer le monde et sonder l’horizon.
Il sait que l’univers l’écrase et le dévore ;
Plus grand que l’univers qu’il juge et qui l’ignore,
Le Berger a lui-même éclairé sa maison.

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Alfred de Vigny (27 maart 1797 – 17 september 1863)

 

De Ierse schrijver Patrick Joseph McCabe werd geboren op 27 maart 1955 in Clones, Monaghan. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

Uit: The Butcher Boy

“When I was a young lad twenty or thirty or forty years ago I lived in a small town where they were all after me on account of what I done on Mrs. Nugent. I was hiding out by the river in a hole under a tangle of briars. It was a hide me and Joe made. Death to all dogs who enter here, we said. Except us of course.
You could see plenty from the inside but no one could see you. Weeds and driftwood and everything floating downstream under the dark archway of the bridge. Sailing away to Timbuctoo. Good luck now weeds, I said.
Then I stuck my nose out to see what was going on. Plink–rain if you don’t mind!
But I wasn’t complaining. I liked rain. The hiss of the water and the earth so soft bright green plants would nearly sprout beside you. This is the life I said. I sat there staring at a waterdrop on the end of a leaf. It couldn’t make up its mind whether it wanted to fall or not. It didn’t matter–I was in no hurry. Take your time drop, I said–we’ve got all the time we want now.
We’ve got all the time in the world.
I could hear a plane droning far away. One time we were standing in the lane behind the houses shading our eyes from the sun and Joe says: Did you see that plane Francie? I said I did. It was a tiny silver bird in the distance. What I want to know is, he said, how do they manage to get a man small enough to fit in it? I said I didn’t know. I didn’t know much about planes in them days.”

 

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Patrick McCabe (Clones, 27 maart 1955)

 

De Zwitserse schrijver Hansjörg Schneider werd geboren op 27 maart 1938 in Aarau. Zie ook mijn blog van 27 maart 2007.

Uit: Hunkeler und der Fall Livius

Peter Hunkeler, Kommissär des Kriminalkommissariats Basel, früherer Familienvater, jetzt geschieden, lag in seinem Haus im Elsaß und schlief. Er merkte, daß er angenehm lag und es schön warm hatte. Er hörte etwas schnurren, das war die schwarze Katze, er spürte sie an seinen Kniekehlen. Er hörte ein Krähen, das war der Hahn Fritz im Hühnerstall. Er vernahm ein leises Schnarchen. Das war seine Freundin Hedwig, ihr Rücken hatte sich an seinen Bauch geschmiegt. Er öffnete die Augen und sah durchs Fenster draußen den Kirschbaum stehen, ein knorriges Geäst, kaum erkennbar im Nebel.
Gestern, fiel ihm ein, war Silvester gewesen. Sie hatten bis drei Uhr in der Wirtschaft in Zaessingue getanzt. Dann waren sie heimgetuckert auf Nebenwegen, weil sie reichlich Rotwein getrunken hatten zum Schweinebraten und um Mitternacht noch einen Crémant d’Alsace hatten knallen lassen. Die Gendarmerie verstand keinen Spaß, auch in den frühen Morgenstunden von Neujahr nicht.”

 

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Hansjörg Schneider (Aarau, 27 maart 1938)

 

Zie voor onderstaande schrijvers ook mijn blog van 27 maart 2007.

De Sloveense schrijver, regisseur en journalist Žarko Petan werd geboren op 27 maart 1929 in Ljubljana.

De Japanse schrijver Shusaku Endo werd geboren in Tokio op 27 maart 1923.

De Kroatische schrijfster Dubravka Ugrešić werd geboren op 27 maart 1949 in Kutina in Joegoslavië.

 

Heinrich Mann, Alfred de Vigny, Dubravka Ugrešić, Shusaku Endo, Patrick Joseph McCabe, Žarko Petan, Hansjörg Schneider

De Duitse schrijver Heinrich Mann werd geboren op 27 maart 1871 in Lübeck. Hij was het eerste kind van Thomas Johann Heinrich Mann en zijn vrouw Julia da Silva-Bruhns. Na hem kwamen Thomas Mann, zijn twee zussen Julia en Carla en zijn jongste broer Victor. Hij groeide op in de stadstaat Lübeck, waar zijn vader vanaf 1877 tot zijn dood in 1892 senator was voor economie en financiën. Tegen die tijd had Heinrich Mann zijn geboorteplaats al verlaten. In 1889 werkte hij als en leerde hij voor boekhandelaar in Dresden. Van 1890 tot 1892 werkte hij als vrijwilliger bij S.Fischer Verlag in Berlijn. Tijdens de Weimar Republiek schreef Heinrich politieke en cultuurkritische essays. In 1931 werd Heinrich voorzitter van de sectie dichtkunst aan de Pruisische kunstacademie. In hetzelfde jaar schreef hij met Albert Einstein een open brief aan de New York Times, waarin ze de moord op de kroatische intellectueel dr. Milan Šufflay veroordeelden. Twee jaar later werd Heinrich uitgesloten van de academie. Voor de brand in de Rijksdag vluchtte Heinrich via Frankrijk, Spanje en Portugal naar de VS. Zijn tijd in het buitenland reflecteert zich in zijn werk. Na de Tweede Wereldoorlog werd Heinrich in 1949 voorzitter van de Duitse kunstacademie in Oost-Berlijn. Nog voor zijn geplande terugkeer naar Duitsland stierf hij in 1950 in Santa Monica, waar hij begraven werd. In 1961 werd de urn met zijn as naar Duitsland overgevlogen en op een kerkhof in Berlijn bijgezet. Tot zijn bekendste romans behoren Professor Unrat en Der Untertan. De eerste werd in 1930 verfilmd door Josef von Sternberg onder de titel Der blaue Engel. Marlene Dietrich speelde de hoofdrol.

Uit: Der Untertan

 

„ Dietrich konnte ihm ins Gesicht sehen, in den steinernen Ernst und das Blitzen; aber ihm verschwamm es vor Augen, so sehr schrie er. Ein Rausch, höher und herrlicher als der, den das Bier vermittelt, hob ihn auf die Fußspitzen, trug ihn durch die Luft. Er schwenkte den Hut hoch über allen Köpfen, in einer Sphäre der begeisterten Raserei , durch einen Himmel, wo unsere äußersten Gefühle kreisen. Auf dem Pferd dort, unter dem Tor der siegreichen Einmärsche, und mit Zügen steinern und blitzend, ritt die Macht! Die Macht, die über uns hingeht und deren Hufe wir küssen! Die über Hunger, Trotz und Hohn hingeht! Gegen die wir nichts können, weil wir alle sie lieben! Die wir im Blut haben, weil wir die Unterwerfung darin haben! Ein Atom sind wir vor ihr, ein verschwindendes Molekül von etwas, das sie ausgespuckt hat! Jeder einzelne ein Nichts, steigen wir in gegliederten Massen als Neuteutonen, als Militär, Beamtentum, Kirche und Wissenschaft, als Wirtschaftsorganisation und Machtverbände kegelförmig hinan, bis dort oben, wo sie selbst steht, steinern und blitzend! Leben in ihr, haben teil an ihr, unerbittlich gegen die, die ihr ferner sind, und triumphierend, noch wenn sie uns zerschmettert: denn so rechtfertigt sie unsere Liebe!“

 

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Heinrich Mann (27 maart 1871 – 12 maart 1950)

 

Alfred de Vigny werd geboren op 27 maart 1797 te Loches (departement Indre-et-Loire) in een oude adellijke familie met een rijk militair verleden van soldaten en zeelui, die de monarchistische waarden aanhing. De Vigny liep school aan het Lycée Bonaparte. Zelfs tijdens zijn militaire loopbaan had de Vigny zich al tot de letteren bekeerd, onder andere met de publicatie van zijn eerste gedichtenbundel. Hij frequenteerde vaak verschillende literaire salons en was ook verbonden aan de redactie van La Muse française. Zijn tweede gedichtenbundel, die ook zijn eerder gepubliceerde gedichten uit 1822 bevatte, werd uitgegeven in 1826 onder de titel Poèmes antiques et modernes, een jaar nadat hij in het huwelijk was getreden met de Engelse Lydia Bunbury. Hetzelfde jaar als zijn bundel gedichten verschijnt ook zijn eerste roman, de historische roman Cinq-Mars, die veel succes oogstte, onder andere door de steun van de royalisten.

Le Cor

I

J’aime le son du Cor, le soir, au fond des bois,
Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois,
Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille,
Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.

Que de fois, seul, dans l’ombre à minuit demeuré,
J’ai souri de l’entendre, et plus souvent pleuré !
Car je croyais ouïr de ces bruits prophétiques
Qui précédaient la mort des Paladins antiques.

Ô montagne d’azur ! ô pays adoré !
Rocs de la Frazona, cirque du Marboré,
Cascades qui tombez des neiges entraînées,
Sources, gaves, ruisseaux, torrents des Pyrénées;

Monts gelés et fleuris, trône des deux saisons,
Dont le front est de glace et le pied de gazons !
C’est là qu’il faut s’asseoir, c’est là qu’il faut entendre
Les airs lointains d’un Cor mélancolique et tendre.

Souvent un voyageur, lorsque l’air est sans bruit,
De cette voix d’airain fait retentir la nuit;
À ses chants cadencés autour de lui se mêle
L’harmonieux grelot du jeune agneau qui bêle.

Une biche attentive, au lieu de se cacher,
Se suspend immobile au sommet du rocher,
Et la cascade unit, dans une chute immense,
Son éternelle plainte au chant de la romance.

Âmes des Chevaliers, revenez-vous encor ?
Est-ce vous qui parlez avec la voix du Cor ?
Roncevaux ! Roncevaux ! dans ta sombre vallée
L’ombre du grand Roland n’est donc pas consolée !

Vigny

Alfred de Vigny (27 maart 1797 – 17 september 1863)

 

De Kroatische schrijfster Dubravka Ugrešić werd geboren op 27 maart 1949 in Kutina in Joegoslavië. Zij studeerde in Zagreb en werkte daar aan de universiteit 20 jaar lang aan het instituut voor literatuurtheorie. In 1978 verscheen haar eerste bundel korte verhalen en in 1981 haar eerte zogenaamde Patch-Work-Roman Štefica Cvek u raljama života (Engelse vertaling: Steffie Spek in the Jaws of Life), waarin ze de mogelijke invloed beschrijft van stereotypen uit de triviale literatuur op het leven van het romanpersonage. In 1993 verliet Ugrešić, die zich altijd ver gehouden heeft van elk nationalisme en chauvinisme Kroatië en ging in ballingschap, eerst naar Amsterdam en daarna naar de VS waar zij aan verschillende universiteiten doceerde.

 

Uit: Das Ministerium der Schmerzen.

 

„ Es heißt, die Niederländer reden nur, wenn sie etwas zu sagen haben. Hier, wo ich mich, vom Holländischen umgeben, auf Englisch verständige, erlebe ich meine Muttersprache häufig als fremd. Erst seit ich im Ausland lebe, bemerke ich, dass meine Landsleute in einer Art Halbsprache kommunizieren, als verschluckten sie halbe Wörter, als stießen sie Halblaute aus. Meine Muttersprache erlebe ich wie die Mühen eines sprachgestörten Invaliden, der auch den einfachsten Gedanken mit Gesten, Grimassen und Tönen untermalt. Die Gespräche meiner Landsleute kommen mir lang, erschöpfend und nichtig vor. Statt zu sprechen, scheinen sie sich mit Worten zu tätscheln, sich tröstlichen Lautspeichel um die Ohren zu schmieren.
Darum scheint mir, dass ich erst hier zu sprechen lerne. Das ist nicht leicht, ständig brauche ich Pausen, um nicht mit der Tatsache konfrontiert zu werden, dass ich nicht imstande bin zu sagen, was ich sagen möchte; um nicht vor der Frage zu stehen, ob man mit einer Sprache, die nicht gelernt hat, die Wirklichkeit zu beschreiben, so stark das innere Erlebnis der Wirklichkeit auch sein mag, überhaupt etwas anstellen kann, beispielsweise eine Geschichte erzählen.
Denn ich war Literaturlehrerin.”

 

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Dubravka Ugrešić (Kutina, 27 maart 1949)

 

De Japanse schrijver Shusaku Endo werd geboren in Tokio op 27 maart 1923. Dankzij een beurs werd Shusaku Endo in staat gesteld om in Frankrijk te gaan studeren. In Frankrijk raakte Endo beïnvloed door andere katholieke schrijvers als Julien Green en André Malraux. In zijn literaire werk spelen schuld en boete een grote rol. Voor Japanse begrippen zijn de katholieke standpunten van Shusaku Endo opvallend, zelfs wezensvreemd. Endo legde de morele problemen van de gelovige en het geloof bloot. De beroemdste roman van Shusaku Endo is ongetwijfeld “Chinmoku” (“Stilte”, 1966). Naast zijn “serieuze” werken werd Shusaku Endo in Japan ook bekend door zijn humoristische verhalen. De lichamelijke gezondheid van Endo liet veel te wensen over, zodat hij veel in ziekenhuizen verbleef, dit blijkt ook uit zijn literaire werk. Ondanks zijn zwakke longen was Shusaku Endo regelmatig te gast bij de Japanse media. Ook zong hij opera’s. Enkele titels van Shusaku Endo verschenen ook in Nederland: “Stilte” (1987), “Schandaal” (1990), “Diepe rivier” (1995).

Uit: Silence

 

“ As I pushed open the wet door, the song of the birds broke in from the trees like the rising of a fountain. Never before had I felt so deeply the sheer joy of being alive. We sat down near the hut and took off our kimonos. Inthe seams of the cloth the firmly entrenched lice looked just like white dust, and as I crushed them one by one with a stone I felt an inexpressible thrill of delight. Is this what the officials feel when they capture and kill Christians?”

 

 

Endo

Shusaku Endo (27 maart 1923 – 29 september 1996)

 

De Ierse schrijver Patrick Joseph McCabe werd geboren op 27 maart 1955 in Clones, Monaghan. Hij schrijft verhalen, romans, toneelstukken en kinderboeken. Internationaal brak hij door met de roman The Butcher Boy uit 1992, die verfilmd werd door Neil Jordan.  Veel recensenten zagen het boek als een „anti-pastorale“ van het vaak in een romantisch licht beschreven Ierse landleven.

Uit: Call Me the Breeze

The End …

… is the beginning — that’s what the ancients say. Well, we’ll see. But first of all I want to get the rest of this stuff out of the way and leave it exactly as I found it for Bonehead.

‘You can’t be a famous writer and go throwing your papers around you like that,’ he says.

And he’s right, I guess. But he might as well be talking to the wall. I’ve always been that way. As soon as I was finished writing anything, I’d just shove it into a bag.

A Leatherette Holdall …

… to be precise. That’s where he found nearly all of the material. ‘Give me that!’ he says. ‘Till I put some order on it once and for all!’

So I did. ‘There you are!’ I says. ‘It’s all yours, Bone! You can do what you like with it, for all the difference it makes to me!’

 

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Patrick McCabe (Clones, 27 maart 1955)

 

De Sloveense schrijver, regisseur en journalist Žarko Petan werd geboren op 27 maart 1929 in Ljubljana. Zijn romans en hoorspelen zijn in meerdere talen vertaald. In de tijd van het coomunisme zat hij gevangen – ervaringen die hij op satirsche wijze beschrijft in Über den Rand der Welt. Na de val van het communisme werd hij directeur-generaal van de Sloveense radio- en televisie. Naast zijn satirische Tito – biografie Das herrliche Leben des Jozip B. Tito hadden ook zijn bundels met aforismen Mit leerem Kopf nickt es sich leichter en Die Welt in einem Satz veel succes.

 

Uit: Über den Rand der Welt

 

„ Wie man lernt zu sterben
Am leichtesten stirbt der Gesunde
Kranke sterben langsam und leidvoll
Du musst deine Angst ablegen
Sieh dem Tod fest ins Auge
Dann schließe deine Augen
Dann halte dein Herz an
Atme tief ein, noch tiefer aus
Wiederhole das mehrfach am Tag
Nach einiger Zeit wirst du den Tod finden
Weil du das Sterben satt hast
Übung macht den Meister
Ohne es zu merken, gleitest du über den Rand der Welt
In die Hölle oder ins Fegefeuer
Das Paradies ist für jene, die schwer sterben.“

 

 

Petan

Žarko Petan (Ljubljana, 27 maart 1929)

 

De Zwitserse schrijver Hansjörg Schneider werd geboren op 27 maart 1938 in Aarau. Hij groeide op in Zofingen en studeerde in Basel germanistiek, geschiedenis en psychologie. Hij werkte eerst als leraar, als journalist en als regie-assistent bij het Theater Basel. Schneider behoort tot de meest gespeelde moderne toneelauteurs. Bij een breed publiek is hij tegenwoordig ook door zijn detectives met Kommissär Hunkeler beked geworden.

Uit: Das Paar im Kahn

„ Peter Hunkeler, Kommissär des Kriminalkommissa riats Basel, gewesener Familienvater, jetzt geschieden, lag im Wasser des Thermalbads Neuwiller im Elsaß und dachte nach.

Vor drei Tagen, genau am 8. November, einem Dienstagabend, war er ins St. Johann-Quartier an die Murbacherstraße gerufen worden, wo in einer Zweizimmer-Altwohnung eine übel zugerichtete Frauenleiche lag, deren Gesicht nicht mehr kenntlich war. Ein Wohnungsnachbar, ein Türke namens Fazil Sengün, hatte angerufen, und in dessen Wohnung hatte Hunkeler auch den Ehemann der getöteten Frau gefunden, der mit versteinertem Gesicht am Küchentisch saß und den Oberkörper langsam vor- und zurückwiegte. Ali Aydin, so hieß dieser Mann laut Angaben des Wohnungsnachbarn, stammte aus Anatolien, aus Konya, und arbeitete in einer der chemischen Fabriken. Ein guter Mensch, wie der Nachbar mehrmals insistierte, ein sehr guter Mensch. Und er habe seine Frau heiß geliebt.

Hunkeler hatte in jener Küche drei Tassen türkischen Kaffee getrunken und versucht, mit Ali Aydin in ein Gespräch zu kommen. Vergeblich, dem Mann war kein Wort zu entlocken gewesen. Nur einmal hatte er kurz aufgeschaut, aus seltsam hellen Augen direkt in des Kommissärs Gesicht, in jenem Moment nämlich, als Hunkeler gefragt hatte, ob denn die in der Wohnung nebenan liegende Aische Aydin keine gute Frau gewesen sei. Da hatte Hunkeler gemerkt, daß Herr Aydin ihn genau verstand und beinahe etwas gesagt hätte. Aber auf die Frage, warum man denn das Gesicht der Toten so übel entstellt habe, senkte Aydin den Kopf wieder.“

Schneider

Hansjörg Schneider (Aarau, 27 maart 1938)