Michel Houellebecq, Victor Hugo, Ulrike Syha, Adama van Scheltema, Vercors, Janus Djurhuus, Hermann Lenz, Jean Teulé, Pierre Mac Orlan, Antonín Sova, August Thieme, Johann Lauremberg

De Franse schrijver Michel Houellebecq werd geboren in Réunion op 26 februari 1958 (1956). Zie ook mijn blog van 26 februari 2007 en ook mijn blog van 26 februari 2008.

Uit: Ennemis publics

Ce néant sonore qui nous tient lieu de pensée. Ce goût que nous avons de la comédie, quand ce n’est pas de l’imposture. Trente ans que je me demande comment un type comme moi a pu, et peut, faire illusion. Trente ans que, fatigué d’attendre le bon lecteur qui saura me démasquer, je multiplie les autocritiques foireuses, sans talent, inoffensives. Eh bien nous y sommes. Grâce à vous, avec votre aide, je vais peut-être y arriver. Votre vanité et la mienne. Mon immoralité et la vôtre. Comme dirait un autre méprisable, mais de haute volée celui-là, vous abattez votre jeu, j’abats le mien – quel soulagement!

Piste numéro deux. Vous, d’accord. Mais pourquoi moi? Pourquoi marcherais-je, après tout, dans cet exercice d’autodénigrement? Et pourquoi vous suivrais-je dans ce goût que vous manifestez pour l’autodestruction fulminante, maudissante, mortifiée? Je n’aime pas le nihilisme. Je déteste le ressentiment et la mélancolie qui va avec. Et je pense que la littérature ne vaut qu’à contrarier ce dépressionnisme qui est, plus que jamais, le mot de passe de notre époque. Je pourrais me dévouer, dans ce cas, pour expliquer qu’il y a aussi des corps heureux, des oeuvres réussies, des vies plus harmonieuses que ne semblent le penser les peine-à-jouir qui nous détestent. Je prendrais le mauvais rôle, le vrai, celui de Philinte contre Alceste, et me fendrais d’un éloge bien senti de vos livres et, tant qu’à faire, des miens. C’est une autre possibilité. Une autre façon d’ouvrir la discussion.“

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Michel Houellebecq (Réunion, 26 februari 1958)

 

De Franse dichter en schrijver Victor Hugo werd geboren in Besançon (Franche-Comté) op 26 februari 1802. Zie ook mijn blog van 26 februari 2007  en ook mijn blog van 26 februari 2008.

Uit: Les Misérables

« En 1815? M. Charles- François- Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C’était un vieillard d’environ soixantequinze ans; il occupait le siège de Digne depuis 1806.

Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n’est peut-être pas inutile, ne fût-ce que pour être exact en tout, d’indiquer ici les bruits et les propos qui avaient couru sur son compte au moment où il était arrivé dans le diocèse. Vrai ou faux, ce qu’on dit des hommes tient souvent autant de place dans leur vie et souvent dans leur destinée que ce qu’ils font. M. Myriel était fils d’un conseiller au parlement d’Aix; noblesse de robe. On contait que son père, le réservant pour hériter de sa charge, l’a
vait marié de fort bonne heure, à dix-huit ou vingt ans, suivant un usage assez répandu dans les familles parlementaires. Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui. Il était bien fait de sa personne, quoique d’assez petite taille, élégant, gracieux, spirituel; toute la pretnière partie de sa vie avait été donnée au monde et aux galanteries.

La révolution survint, lés événements se précipitèrent; les familles parlementaires, décimées, chassées, traquées, se dispersèrent. M. Charles Myriel, dès les premiers jours de la révolution, émigra en Italie. Sa femme y mourut d’une maladie de poitrine dont elle était atteinte depuis longtemps.

Ils n’avaient point d’enfants. Que se passa-t-il ensuite dans la destinée de M. Myriel? L’écroulement de l’ancienne société française, la chute de sa propre famille, les tragiques spectacles de 93, plus effrayants encore peut-être pour les émigrés qui les voyaient de loin avec le grossissement de l’épouvante, firent-ils germer en lui des idées de renoncement et de solitude? Fut-il, au milieu d’une de ces distractions et de ces affections qui occupaient sa vie, subitement atteint d’un de ces coups mystérieux et terribles qui viennent quelquefois renverser, en le frappant au coeur, l’homme que les catastrophes publiques n’ébranleraient pas en le frappant dans son existence et dans sa fortune? »

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Victor Hugo (26 februari 1802 – 22 mei 1885)
Fotoportret door Félix Nadar, 1884

 

De Duitse schrijfster en vertaalster Ulrike Syha werd geboren op 26 februari 1976 in Wiesbaden. Vanaf 1996 studeerde zij dramaturgie aan de Hoge school voor Muziek en Theater „Felix Mendelssohn Bartholdy“ in Leipzig. Van 1999 tot 2002 was zij regieassistente in Leipzig. Vanaf 2003 woont en werkt zij als zelfstandig schrijfster in Hamburg. Daarnaast werkt zij ook als vertaalster voor uitgeverij Rowohlt.

 

Uit: DIE ZWEI CENTFRAGE

 

BEATE (weiß nicht, wohin mit der Kippe, steckt sie in die Handtasche) Seit wann das denn?
GEORG (deutet Richtung Hausmeister, der in der Hoftür erscheint) Na ja. Seit der an der Macht ist. (Flüchtet.)

KEIN EMPFANG. HAUSFLUR, oben.

TOMMY (versucht, an der Tür ein Graffiti zu entfernen) Kiffen macht die Seele frei. So ein Dreck. Ach so. Und dann hat er gesagt, dass es Zeit wird, eine andere Generation in verantwortungsvollere Positionen aufrücken zu lassen.
BEATE Gesagt. Aha. Ich schätze mal, das, was er sagt, hat aber keinerlei Konsequenzen zu fürchten.
TOMMY (hat einen Krampf in der Hand) Er schlägt mich als Abteilungsleiter vor. Gib mal das Ata.
BEATE Wie viele Abende willst du eigentlich noch mit dem Graffiti verbringen? Ich meine, wenn du dann an der Macht bist, sozusagen, hört der Quatsch dann auf?

TOMMY Was willst du damit sagen? Meinst du, ich bin für eine verantwortungsvollere Position nicht geeignet?
BEATE Der Hausmeister wird dich sicher mit Freuden in seine Partei aufnehmen. War das deine Frage?
TOMMY Partei? Nein. Ich wollte wi
ssen, ob du mir das etwa nicht zutraust.
BEATE Wieviel kostet eine ehrliche Antwort darauf?
TOMMY Bitte?
BEATE Ich schätze doch, mit zwei Cent ist es in diesem Fall nicht getan.

 

Syha

Ulrike Syha (Wiesbaden, 26 februari 1976)

 

De Nederlandse dichter Carel Steven Adama van Scheltema werd geboren in Amsterdam op 26 februari 1877. Zie ook mijn blog van 26 februari 2007 en ook mijn blog van 26 februari 2008.

 

Het gouden kalf

 

Ai veil geslacht! dat wikt en weegt en telt,

Van andren koopt hun liefde en laf geweten,

Dat lacht en kruipt en zinkt in zonde en zweet, en

Meer nog dan dat: – uw ziel verkoopt voor geld!

 

Ai ziek geslacht! ziek in uw wijze weten,

Ziek in uw ziel, ziek waar ge uw wetten stelt,

Ziek tot uw bloed en merg voor t bleeke geld, –

Al wat waarachtig is, is lang vergeten!

 

De Lente komt, – ik zet me aan ’t gouden kleed,

En hef mijn aanzicht tot haar blijde oogen,

Wij zitten saam en zien naar ’t menschlijk leed;

 

Ik zie mijzelf, een blinde jeugd onttogen,

Uit valsche leer voel ‘k dat ‘k dit ééne weet: –

Dàt wat de menschen doen is gruwbre logen!

 

 

Weemoed

 

Wat is ’t nog dat mijn hart behoeft?

 Wat is dit wonderlijk verdriet –

Ik voel mij doof en diep bedroefd,

 En zit en zie – en weet het niet.

 

Wat is het dat mij zwijgen doet,

 Hoe is mijn gansche lichaam stom –

Is ’t leven slecht – is ’t leven goed –

 Of niet – of wel – waarom – waarom?

 

Wat is ’t dat ‘k weet – en wat of wie

 Dat ik verloor of dat ik won –

Ik weet het niet, en zit en zie – –

 En in mijn handen ligt de zon

 

Scheltema

Adama van Scheltema (26 februari 1877 – 6 mei 1924)
Portret door A.M. Broeckman

 

De Franse schrijver en karikaturist Jean Bruller alias Vercors werd geboren op 26 februari 1902 in Parijs. Zie ook mijn blog van 26 februari 2007.

 

Uit: Le silence de la mer

 

“Il était debout au milieu de la pièce. Il était immense et très mince. En levant le bras il eût touché les solives.
Sa tête était légèrement penchée en avant, comme si le cou n’eût pas été planté sur les épaules, mais à la naissance de la poitrine. Il n’était pas voûté mais cela faisait comme s’il l’était. Ses hanches et ses épaules étroites étaient impressionnantes. Le visage était beau. Viril et marqué de deux grandes dépressions le long des joues. On ne voyait pas les yeux, que cachait l’ombre portée de l’arcade. Ils me parurent clairs. Les cheveux étaient blonds et souples, jetés en arrière, brillant soyeusement sous la lumière du lustre.”

 

vercors

Vercors (26 februari 1902 – 10 juni 1991)

 

De Faeröische dichter en schrijver Janus Djurhuus werd geboren op 26 februari 1881 in Tórshavn.Hij studeerde rechten, maar ook klassieke filologie. Ondanks invloeden van de klassieken is zijn werk toch geworteld in de Oudnoordse literatuur en balladen. Djurhuus debuteerde in 1901 en zijn eerste bundel Yrkingar verscheen in 1904. Djurhuus was een romantische dichter. Zijn werk wordt vaak gekenmerkt door heroïsche machten en natuurbeschrijvingen.

 

My Grief

My grief is a woman, ivory pale
standing on a wind-swept strand
listening to the roaring storms,
dance over sea and land.

Her night-dark hair plays in the wind,
thunder glints in her eyes:
“How many more of these hopless years
shall tear me before I die?

Raise, my pale friend, from your moistured grave
and sing about dying grace,
dance with me over the roaring seas
and vanish into the haze.
………

Then you shall chant a sinister song,
like the sound of the dwarf that cries,
the sound of the ghost screaming in the gorge,
or the stormy winter skies.

Then you shall play a sinister tune,
like the stormy, Nordic night,
the one that the raven cries in the mountains
when a dead man is in its sight.”

My grief is a woman, cold as the ice,
a face so ivory pale
a sibyl standing in times long gone,
chanting the future’s tale.

Djurhuus

Janus Djurhuus (26 februari 1881 – 31 augustus 1948)

 

De Duitse schrijver Hermann Lenz werd op 26 februari 1913 in Stuttgart geboren. Zie ook mijn blog van 26 februari 2007.

Uit: Peter Handke und Hermann Lenz. Berichterstatter des Tages. Briefwechsel.

München, 26. Mai 1978
Lieber Peter,
wir sitzen wieder in unserem Alten-Heim und denken an die Tage bei Dir zurück. Die haben uns jung gemacht, zumindest hinter der Stirn.
Ich schreibe Dir also gewissermassen mit erfrischten Ganglienzellen, obwohl ich den Mund nicht so voll nehmen sollte, weil Dir mein Brief abgewelkt vorkommen kann.
Jedenfalls ist bei Dir so viel los, wie ich mir früher gewünscht hätte, dass bei mir los sein sollte. Aber ich hab’s nicht geschafft und hätte auch kein so angespanntes Leben durchgestanden, wie Du es führst. Trotzdem freut’s mich, dass ich beim Fussballspiel im Garten von Dir ermuntert worden bin.
‘Aminowitsch’ hätte ich gern ein Comic-Strip-Buch geschenkt, aber Dir ist’s ja nicht recht, wenn Amina derlei liest. Obwohl sie deshalb so schöne Sachen zeichnet wie den Trickfilm mit der Schlange und die Geschichte unserer Abreise. Und alles aus der hohlen Hand wie das Ziffernblatt der Uhr, das jedesmal so rund wird, als hätt
e sie einen Zirkel benutzt.
Übrigens will ich Dein Barfuss- oder Strumpfsockig-Gehen, wie man in Bayern sagt, nachmachen, traue mich aber nicht so recht, weil ich auszurutschen fürchte … Und Frau Greinert ruft aus: ‘Herrr Handke, Sie haben so zierliche Füsse!’ (…)“

 

Lenz

Hermann Lenz (26 februari 1913 – 12 mei 1998)

 

De Franse schrijver, scenarioschrijver en acteur Jean Teulé werd geboren op 26 februari 1953 in Saint-Lô, Manche. Hij publiceerde o.a. Rainbow pour Rimbaud (1991), L’Œil de Pâques (1992), Ballade pour un père oublié (1995), Darling (1998) Bord cadre (1999), Longues Peines, Les Lois de la gravité, Ô Verlaine ! (2004), Je, François Villon (2006), Le Magasin des suicides (2007) en Le Montespan (2008).

 

Uit: Bord cadre

 

« S’endormir avec toi, Léone, et puis, le lendemain matin, se réveiller…
Et toi qui te réveilles aussi, me souris (oh là là, me souris) et viens au creux de mon bras droit, une jambe par-dessus les miennes. La chaleur de ton ventre. Caresser tes cheveux, te dire “Bonjour, mon amour”, puis poser une main sur ton épaule nue. Ma main à plat sur ta taille, ma main à plat sur tes reins, sentir au bout de mes phalanges la naissance d’une courbe qui fait frémir. Mais étendre ensuite les doigts sur ta hanche, ton épaule, la pétrir légèrement et s’endormir pour se réveiller à nouveau… Puis tes petites mains maladroites et ensommeillées partout sur mon visage; les doigts dans les yeux, les oreilles, la bouche, les narines.
Et nos rires.
Je ne t’ai jamais rêvée Léone, car je n’ai jamais su rêver autant.
Se réveiller avec toi, la beauté que c’est. Ce n’est pas rêvable. Tu es la femme pas rêvable. Le merveilleux aussi de nos matins chastes.”

 

teule

Jean Teulé (Saint-Lô, Manche, 26 februari 1953)

 

De Franse schrijver en songwriter Pierre Mac Orlan werd geboren op 26 februari 1882 in Peronne als Pierre Dumarchey. In zijn jonge jaren woonde hij in Rouen en Parijs, had allerlei baantjes en reisde hij door heel Europa. Daarna keerde hij terug naar Parijs en ging hij deeluitmaken van een kring van kunstenaars en schrijvers als Max Jacob, Guillaume Apollinaire, Maurice Utrillo en Francis Carco. Hij schreef een omvangrijk oeuvre van gedichten, chansons, essays, romans, novellen en kritieken.

 

Uit: Montmartre

 

„Quelques mois avant de mourir, au moment où la guerre de 1914 s’annonçait déjà dans les centres de recrutement de Toul et de Nancy, Couté était a Bruxelles ou il disait ses œuvres dans un cabaret. II revint a Paris pour mourir d’une congestion pulmonaire. Son oeuvre, comme celle de Villon, lui survécut grâce à la mémoire de ses fidèles et aux fascicules entassés dans les magasins poussiéreux des éditeurs de musique. L ‘éditeur E. Rey, qui l’aimait bien et qui fut l’éditeur de Jehan Rictus et d’ Aristide Bruant, parvint à réunir quelques poèmes et quelques chansons. Dans La Chanson d’un Gâs qu’a mal tourné- c’est le titre du volume – le choix des poèmes porte principalement sur l’aspect satyrique de l’œuvre de Gaston Couté. A mon goût, le meilleur de ce poète très personnel n’est point là. Ce n’est qu’un aspect de cet esprit guêpin dont Couté usait souvent avec une heureuse férocité. Mais, en dehors de ce goût très vif pour les revendications sociales généreuses, Couté aimait plus délicatement, plus profondément les choses tendres de son pays: les femmes, les vignes, les blés et le patois chantant des bords de la Loire. La chanson, infiniment mélancolique et sentimentale, devenait alors son plus sur moyen d’expression.“

 

PierreMacOrlan

Pierre Mac Orlan (26 februari 1882 – 27 juni 1970)

 

De Tsjechische schrijver en dichter Antonín Sova werd geboren op 26 februari 1864 in Pacov (Dt. Patzau). Zie ook mijn blog van 26 februari 2007.

Teiche

Die Teiche Böhmens sind wie Silberschalen,
Gebettet in das satte Grün der Auen,
Auf ihre Spiegel Wolkenschatten fallen.
Wie traumverschleiert sanfte Augen schauen.
Die Schnepfe klagt im Röhricht nah dem Rande,

Und Enten Regenbogenflügel breiten,
Gereckt den Hals mit kupfergrünem Bande,
Entflirrt der Zug in sonndurchglühte Weiten.
Der Kalmus atmet: lau und linde steigen
Die Grummetdüfte nach dem heißen Tage,
In sanftgekühlten Wellen schwingt das Schweigen.
Und etwas seufzt darin wie die ewige Klage.

 

Vertaald door Paul Eisner

 

Sova

Antonín Sova (26 februari 1864 – 16 augustus 1928)

 

De Duitse dichter August Thieme werd geboren op 26 februari 1780 in Allstedt. Hij studeerde filosofie en theologie in Halle en Jena. In 1803/04 was hij leraar aan de Katharinaschool in Sint Petersburg. Het waren wellicht zijn beste jaren, waarin hij met Schillers zwager Baron Wilhelm von Wolzogen, de wereldreiziger Adam Johann von Krusenstern en de astronoom Friedrich Theodor von Schubert een literair-wetenschappelijke kring vormde.

Ihr Grab

In diesen kleinen Räumen
Kennst Du mein Nachdirträumen,
Du kennst mein Stillversenken
In Dich, mein Deingedenken,
mein tödlich Dichvermissen,
Das mir das Herz zerissen!

Du weißt, was ich Dir schuldig,
Und wie ich ungeduldig,
Dir bald zu tausendmalen
Den alten Dank zu zahlen,
Und wie, wo keine Gränzen,
Ich Alles möcht’ ergänzen!

Die Asche liegt wohl unten
In Kränzchen, Dir gewunden!
Umsonst hab’ ich beschworen,
Die Gruft, da Du verloren!
Die wird den Staub verwenden
In allen Elementen! –

Und doch ist mir nicht bange,
Es währt gewiß nicht lange!
Wenn aufhört auch mein Sprechen,
Kann unser Ring nicht brechen:
D e n müßt’ ich wenig kennen,
Glaubt’ ich an ewig Trennen! –

August_Thiem

August Thieme (26 februari 1780 – 13 juni 1860)

 

De Duitse dichter en schrijver Johann Lauremberg werd geboren op 26 februari 1590 in Rostock, waar hij ook studeerde en van 1618 toto 1623 professor was voor poëzie. Daarna was hij tot aan het eind van zijn leven professor voor wiskunde aan de academie in Sorø in Denemarken. Naast pedagogische en wiskundige werken schreef hij een Latijnse tragedie en gedichten in het Latijn en in het Duits. Het bekendst zijn echter de satirische Veer Scherzgedichte in het Nederduits geschreven, waarin hij de zeden en gewoonten van zijn tijd op de hak nam.

 

Dat Erste Schertz-Gedichte

Vom itzigen Wandel und Maneeren der Minschen

 

In Grekenland ein Man vör langen tiden was,

Van Wyßheit hochberömt, genandt Pythagoras;

Van em de Jöged sick leet hüpich underwisen,

Man hörde sine Lehr in allen Landen prisen.

Sin Hus und Schoel erschal, nicht van Fantastery,

De nu van velen werd genömt Philosophy,

Sündern van Meticheit, van Tucht und gode Seden,

Dar leerd man schwigen erst, hernamals leerd man Reden.

Nichts, dat gelevet had, kam je in eren Mund,

Ock nicht de hülsen Frucht, de in den Garden stund.

Ein Deel van siner Leer Metempsychosin nömde,

De domals alle Welt als hoge Wyßheit römde,

Darvan de mening is. Van Gott des Minschen Seel

Int Lyff gegaten wert, als siner krafft ein deel,

Sins wesendes en Part. Desülve Seel must wandern

So bald de Minsche sterfft, van einem Lyff thom andern:

Ein Kriegsman und Soldat, wenn em de Seel entföhr,

Keem se woll in ein Peerdt, edr in eine olde Sör.

 

rostock

Johann Lauremberg (26 februari 1590 – 28 februari 1658)
Rostock (Geen portret beschikbaar)

 

Michel Houellebecq, Victor Hugo, Adama van Scheltema,Vercors, Antonín Sova, Hermann Lenz

De Franse schrijver Michel Houellebecq werd geboren in Réunion op 26 februari 1958 (1956). Zie ook mijn blog van 26 februari 2007.

Uit: Note sur les Belges

“Les préjugés nationaux portent souvent la trace de vérités anciennes, progressivement estompées par la constitution d’une classe moyenne mondiale de culture nord-américaine (dont les comportements et les représentations s’imposent même comme norme aux pays où une part importante de la population survit au bord de la famine).
Un Français en visite touristique pourra ainsi facilement repérer ce qui a permis de qualifier l’Allemand de “ponctuel, discipliné et travailleur”, ou l’Italien de “séducteur, chaleureux et malhonnête”. Il pourra retrouver ces traits, plus ou moins atténués suivant que les natifs du pays, plus ou moins satisfaits de leur propre cliché, souhaitent ou non lui donner une prolongation au moins ironique.
Rien de tout cela ne sera possible en Belgique. Le cliché associé aux Belges est si grossier, si caricatural que toute personne dotée d’un minimum d’éducation le rejettera avec horreur, avec cette conséquence que les Belges, dépourvus de tout cliché distinctif, se voient dénier la moindre spécificité. Ma thèse au contraire est que si les Français se sont contentés d’un cliché aussi grossier, aussi méprisant sur les Belges, c’est d’abord qu’ils ne les comprenaient absolument pas. Plus que les Allemands, plus que les Italiens, plus même que les Anglais, les Belges restent impénétrables aux Français – ainsi, d’ailleurs, qu’aux autres Européens.
Une déviation linguistique implantée depuis plusieurs générations, dépassant le phénomène de mode, a me semble t-il forcément un sens (je serai obligé faute de compétences de limiter au wallon ; il serait bien sûr intéressant d’examiner les déformations qu’a pu subir le flamand par rapport à la langue néerlandaise).
Lorsque le Belge dit : “ça va”, il signifie que la conversation avec son interlocuteur a permis de déboucher sur un accord opérationnel ; qu’il sait maintenant, sans ambiguïté, ce qu’on attend de lui, et qu’il va s’employer à le faire. Il l’emploie en somme exactement dans les circonstances où l’Américain dirait : “OK”. Là ou le garçon de café d’Allemagne du Nord, par son : “Alles klar”, semble figé dans la contemplation esthétique d’un accord parfait client-serveur, le garçon de café belge, par son : “ça va”, nous paraît déjà engagé dans l’exécution de la commande. Il est intéressant que, seul parmi les Européens, le Belge ait spontanément traduit, dans sa propre langue, cette formation linguistique étrangère.”

houellebecq

Michel Houellebecq (Réunion, 26 februari 1958)

 

De Franse dichter en schrijver Victor Hugo werd geboren in Besançon (Franche-Comté) op 26 februari 1802. Zie ook mijn blog van 26 februari 2007.

La Vendée (fragment)

Ave, Cæsar, morituri te salutant.
TACITE.

I

 

« Qui de nous, en posant une urne cinéraire,
N’a trouvé quelque ami pleurant sur un cercueil ?
Autour du froid tombeau d’une épouse ou d’un frère,
Qui de nous n’a mené le deuil ? »
– Ainsi sur les malheurs de la France éplorée
Gémissait la Muse sacrée
Qui nous montra le ciel ouvert,
Dans ces chants où, planant sur Rome et sur Palmyre,
Sublime, elle annonçait les douceurs du martyre
Et l’humble bonheur du désert.

Depuis, à nos tyrans rappelant tous leurs crimes,
Et vouant aux remords ces cœurs sans repentirs,
Elle a dit: « En ces temps la France eut des victimes ;
Mais la Vendée eut des martyrs ! »
– Déplorable Vendée, a-t-on séché tes larmes ?
Marches-tu, ceinte de tes armes,
Au premier rang de nos guerriers ?
Si l’honneur, si la foi n’est pas un vain fantôme,
Montre-moi quels palais ont remplacé le chaume
De tes rustiques chevaliers.

Hélas ! tu te souviens des jours de ta misère !
Des flots de sang baignaient tes sillons dévastés,
Et le pied des coursiers n’y foulait de poussière
Que la cendre de tes cités.
Ceux-là qui n’avaient pu te vaincre avec l’épée
Semblaient, dans leur rage trompée,
Implorer l’enfer pour appui
Et, roulant sur la plaine en torrents de fumée,
Le vaste embrasement poursuivait ton armée,
Qui ne fuyait que devant lui.

 

II

 

La Loire vit alors, sur ses plages désertes,
S’assembler les tribus des vengeurs de nos rois,
Peuple qui ne pleurait, fier de ses nobles pertes,
Que sur le trône et sur la croix.
C’étaient quelques vieillards fuyant leurs toits en flammes,
C’étaient des enfants et des femmes,
Suivis d’un reste de héros ;
Au milieu d’eux marchait leur patrie exilée,
Car ils ne laissaient plus qu’une terre peuplée
De cadavres et de bourreaux.

On dit qu’en ce moment, dans un divin délire,
Un vieux prêtre parut parmi ces fiers soldats,
Comme un saint chargé d’ans qui parle du martyre
Aux nobles anges des combats ;
Tranquille, en proclamant de sinistres présages,
Les souvenirs des anciens âges
S’éveillaient dans son cœur glacé ;
Et, racontant le sort qu’ils devaient tous attendre,
La voix de l’avenir semblait se faire entendre
Dans ses discours pleins du passé.

hugo-victor

Victor Hugo (26 februari 1802 –  22 mei 1885)

 

 

De Nederlandse dichter Carel Steven Adama van Scheltema werd geboren in Amsterdam op 26 februari 1877. Zie ook mijn blog van 26 februari 2007.

Na een gesprek met een vriend

Wat raakt het mij, waarom gij schamper lacht
Nu uit de blonde Lente mij zoo blijde
En gulle glimlach schijnt, als in de tijden
Van jammervolle jeugd mij niemand bracht!

Zoo wèl gevoelde ik, hoe de Muze leidde
Mijn bleeke ziel naar al die voorjaarspracht,
Die ‘k bevend blij mij soms in stilte dacht,
Maar die ik nimmer nog aan andren zeide.

Vriendschap reikt schoonheid in de eenzame ziel, –

Schoon is de smart, zoo hare wond weer heelde, –

Schooner is liefde – – en allen zijn zij schriel!

 

Zie vriend: die breede wereld breidt haar weelde

Voor mijne voeten, waar ik duizlend viel, –

Ik snik en weet, dat ‘k nooit die schoonheid deelde!

 

 

 Na den regendag

De woeste sterke wind zong zulk een bangen
Zang, de wolken goten hun grauwe kruiken
Op de aarde leeg, – vergeefs sloot ik mijn luiken:
Het was het jagend lied van wild verlangen!

Dien gulden avond vlamde ’t in de struiken,
Als tranen op bebloosde kinderwangen, –
Waar ’n roode zon in elken drop bleef hangen,
Ging ‘k langs het stralend pad den Zomer ruiken.

 

Vriend, luister aan mijn borst: – hoort gij den storm,

Die zingt en jaagt – juichend in ’t harte viel,

Waarin mijn trane’ als rijpe vruchten beven?

 

Eens spiegelt zich een gansche wereldvorm,

Als zon in dauw, in elke menschenziel – –

Wij weten ’t vriend – wij zullen ’t niet beleven!

 

scheltema

Adama van Scheltema (26 februari 1877 – 6 mei 1924)

 

Zie voor onderstaande schrijvers ook mijn blog van 26 februari 2007.

 

De Franse schrijver en karikaturist Jean Bruller alias Vercors werd geboren op 26 februari 1902 in Parijs.

De Tsjechische schrijver en dichter Antonín Sova werd geboren op 26 februari 1864 in Pacov (Dt. Patzau).

De Duitse schrijver Hermann Lenz werd op 26 februari 1913 in Stuttgart geboren.

 

Michel Houellebecq, Victor Hugo, Vercors, Antonín Sova, Adama van Scheltema, Hermann Lenz

De Franse schrijver Michel Houellebecq, pseudoniem voor Michel Thomas, werd geboren in Réunion op 26 februari 1958 (1956). Zijn vader, een berggids, en moeder, een anesthesiste, ineresseerden zich in feite weinig voor de kleine Michel en op zesjarige leeftijd werd hij aan zijn grootmoeder toevertrouwd, die in 1978 overleed (de naam van zijn grootmoeder nam hij later als pseudoniem over).  In 1980 behaalde hij het diploma van landbouwingenieur en trouwde in dat jaar met de zuster van een van zijn vrienden. Zijn zoon Etienne werd in 1981 geboren. Na een echtscheiding moest hij vanwege een depressie meermaals behandeld worden in psychiatrische instellingen. Op twintigjarige leeftijd ontlook zijn literaire interesse en in 1985 kwam de ontmoeting met Michel Bulteau, die hem de mogelijkheid gaf zijn eerste boek te publiceren: een biografie van Howard P. Lovecraft, Contre le monde, contre la vie. Zijn eerste literaire werk, de novelle Extension du domaine de la lutte, verscheen in 1994. In 1998 hertrouwde hij met Marie-Pierre. Na de publicatie van een ingekort interview in het tijdschrift Lire, werd Houellebecq voor het gerecht gedaagd door verschillende moslimorganisaties in Frankrijk en de moskeeën van Parijs en Lyon. Deze affaire, die veel gelijkenissen vertoont met de aanval op Salman Rushdie, eindigde voor de auteur in een vrijspraak voor de rechtbank op 17 september 2002. Sinds 1998 leeft Houellebecq in vrijwillige ballingschap, eerst in Ierland, later in Spanje. In zijn eerste boek Extension du domaine de la lutte (1994, De wereld als markt en strijd) neemt hij de consumptiemaatschappij op de korrel. In Les particules élémentaires (1998, Elementaire deeltjes) noemt hij man en paard: de hippies en de activisten van mei 68 hebben de oude waardenstelsels opgeblazen zonder er iets voor in de plaats te stellen; integendeel, ze zijn opgegaan in de kapitalistische consumptiemaatschappij die ze grotendeels zelf vormgegeven hebben, zich troostend met de zweverij van de New Age. De levenswegen beschreven in deze roman zijn exemplarisch voor het bankroet van de liberale westerse samenleving. Deze roman veroorzaakte daarom vooral in kringen van klassiek links verwarring en woede.

Uit: Elementaire deeltjes (vertaling Martin de Haan)

“Die gekwelde, tegenstrijdige, individualistische en twistzieke soort met zijn grenzeloze egoisme, die soms tot enorme geweldsuitbarstingen in staat was maar toch altijd in goedheid en liefde bleef geloven. (…) Nu het moment daar is dat haar laatste vertegenwoordigers zullen uitsterven, achten wij het gerechtvaardigd de mensheid deze laatste eer te bewijzen. Ook dit eerbewijs zal uiteindelijk vervagen en in het zand van de tijd verdwijnen. Toch moet een dergelijk eerbewijs tenminste een keer zijn gebracht. Dit boek is opgedragen aan de mens.”

*

De dag zwelt aan en stort zich uit over de stad
Zonder ons te bevrijden is de nacht vergleden
Ik hoor de bus terwijl het leven zich hervat
De burgers gaan op pad en ik betreed het heden.

Vandaag vindt plaats. Onzichtbaar is het oppervlak
Waaronder ons gekwelde wezen wordt bevroren
En dat zich in der ijl verhardt als zegellak;
Het lichaam, toch, het lichaam blijft ons toebehoren.

Vermoeidheid en verlangen hebben wij doorstaan
De kinderdroom verloor voor ons zijn smaak en waarheid
Er valt niet veel in onze glimlach te verstaan,
Gevangen als wij moeten zijn in onze klaarheid.

Houlellebecq

Michel Houellebecq (Réunion, 26 februari 1958)

 

Victor Hugo werd geboren te Besançon (Franche-Comté) op 26 februari 1802 als zoon van Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773-1828), een Franse generaal onder het keizerrijk van Napoleon afkomstig uit Lotharingen, en Sophie Trébuchet, oorspronkelijk afkomstig uit Nantes. In 1820 richtte hij met zijn broers een krant op, Le Conservateur littéraire, waarmee hij al vroeg de literaire aandacht op zich vestigde. In 1822 verscheen zijn eerste dichtbundel, getiteld Odes. In dat decennium zouden nog meerdere dichtbundels volgen. In 1824 verscheen de bundel Nouvelles Odes et Poésies diverses, die hem een koninklijke toelage van Lodewijk XVIII opleverde. Het was echter de bundel uit 1826, Odes et Ballades, die hem grote bekendheid gaf. De bundel zou in 1828 in zijn definitieve vorm verschijnen. Hugo werkte mee aan La Muse française en deelde de verwantschap met de monarchie en het christendom van die groep. In 1827 nam hij deel aan een groep die hij hielp mee opstarten, Le Cénacle rond Charles Nodier, die samenkwam in de Bibliothèque de l’Arsenal en die kan beschouwd worden als de wieg van de Romantiek. Deze groep oefende een grote invloed uit op Hugo’s literaire ontwikkeling. Hij ontmoette er onder andere Chateaubriand, Théophile Gautier, Alfred de Musset en Alfred de Vigny. De deelname aan deze groep betekende ook dat hij overliep naar het liberale kamp.

 

Uit : Notre-Dame de Paris

 

« l y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les Parisiens s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la triple enceinte de la Cité, de l’Université et de la Ville.

Ce n’est cependant pas un jour dont l’histoire ait gardé souvenir que le 6 janvier 1482. Rien de notable dans l’événement qui mettait ainsi en branle, dès le matin, les cloches et les bourgeois de Paris. Ce n’était ni un assaut de Picards ou de Bourguignons, ni une châsse menée en procession, ni une révolte d’écoliers dans la vigne de Laas, ni une entrée de notre dit très redouté seigneur monsieur le roi, ni même une belle pendaison de larrons et de larronnesses à la Justice de Paris. Ce n’était pas non
plus la survenue, si fréquente au quinzième siècle, de quelque ambassade chamarrée et empanachée. Il y avait à peine deux jours que la dernière cavalcade de ce genre, celle des ambassadeurs flamands chargés de conclure le mariage entre le dauphin et Marguerite de Flandre, avait fait son entrée à Paris, au grand ennui de M. le cardinal de Bourbon, qui, pour plaire au roi, avait dû faire bonne mine à toute cette rustique cohue de bourgmestres flamands, et les régaler, en son hôtel de Bourbon, d’une moult belle moralité, sotie et farce, tandis qu’une pluie battante inondait à sa porte ses magnifiques tapisseries. »

 

Hugo

Victor Hugo (26 februari 1802 –  22 mei 1885)

 

De Franse schrijver en karikaturist Jean Bruller alias Vercors werd geboren op 26 februari 1902 in Parijs. Zijn gymnasiumtijd bracht hij door aan de École Alsacienne. Aan het begin van WO II sloot Bruller zich aan bij het Franse verzet onder het pseudoniem Vercors. Deze schuilnaam koos hij wegens de betekenis die het Vercors-gebergte bezat als schuilplaats voor de Résistance. Tijdens de eerste jaren van de oorlog leidde hij een teruggetrokken bestaan als timmerman in een dorp in de buurt van Parijs. Hoewel hij oorspronkelijk lieteraire publicaties tijdens de bezetting afwees richtte hij in 1942 toch samen met Pierre de Lescure de illegale uitgeverij Éditions de Minuit op. Voor deze uitgeverij schreef hij verschillende verhalen en romans, waaronder zijn beroemde novelle Le silence de la mer. De ondergrondse uitgeverij werd een belangrijke spreekbuis van de onderdrukte Franse schrijvers, waaronder Claude Simon en Samuel Beckett.

 

Uit : 21 recettes pratiques de mort violente

Du sicide par chute sur le sol

 

chute

 

Ou, d’une façon plus précise, par précipitation d’un lieu élevé. En dépit des affirmations de Zénon, qui n’entrevoit pas comment, ayant à tout moment, avant de toucher terre, la moitié de la distance qui vous en sépare encore à parcourir, il est possible qu’on parvienne jamais à heurter le sol, on ne se laissera pas arrêter par ces raisonnements spécieux. Je garantis à toute personne qui fera l’essai de cette recette une mort intégrale, si elle a su choisir un point de départ assez élevé. Cette méthode est une des seules qui permettent un suicide impromptu, c’est-a-dire réalisable sans délai, aussitôt prise la résolution d’en finir, sauf dans le cas particulier d’un locataire de rez-de-chaussée. Qualité que tous les hommes d’action, et par là même impatients, qui aiment à passer rapidement de la décision à l’exécution, apprécieront.

 

Vercors

Vercors (26 februari 1902 – 10 juni 1991)

 

De Tsjechische schrijver en dichter Antonín Sova werd geboren op 26 februari 1864 in Pacov (Dt. Patzau). Hij bezocht het gymnasium in Pelhřimov, later in Tábor en Písek, waar hij eindexamen deed. Hij ging rechten studeren in Praag, maar moest zijn studie om financiële redenen afbreken. In 1882 nam hij deel aan een reis naar Italië. Van 1898 tot 1920 was hij directeur van de Praagse stadsbibliotheek. Antonín Sova behoort tot de grondleggers van de moderne Tsjechische lyriek. Zijn eerste bundel Realistické sloky (Realistische strofen, 1890) omvat genrestukken van eenvoudige gebeurtenissen, kleine anekdotische verhalen die de ambitie hebben om de werkelijkheid te documenteren. Het milieu van deze bundel is het leven in Praag. In de volgende bundel Květy intimních nálad (Bloemen van intieme stemmingen, 1891), waarin Sova een poging doet om de zachte schakeringen van zijn inwendige leven weer te geven, keerde hij zich met een gevoel van desillusie van dit Praagse milieu af ten gunste van zijn geboortestreek. Voor deze bundel is een impressionistische stemming karakteristiek met een suggestief, melancholiek humeur en een uitgesproken muzikale versbouw. Antonín Sova toont zich hier als een sensitieve lyricus die in staat is om een breed scala aan natuurverschijnselen en beelden op te roepen. Op deze bundel sluit de cyclus Z mého kraje (Uit mijn streek, 1892) aan. De bundels Soucit a vzdor (Meegevoel en weerspannigheid, 1894) en Zlomená duše (Gebroken geest, 1896) staan aan het begin van een volgende etappe van Sova’s poëzie. Sova doet nu pogingen om de innerlijke gevoelens weer te geven van een mens die uitgeput is door maatschappelijke en persoonlijke crises. In deze gedichten overheersen motieven van erotisch pessimisme, smart en teleurstelling..

Noch einmal kehren wir zurück…

Noch einmal kehren, in Gedanken, zurück wir, dorthin wo
so stark der Blüten Duften war, daß wir den Weg verloren, als, ein Silberdämmern
der Abend über Bäche hinfloß, und noch einmal kehren zurück wir,
dorthin, wo das Lied erklang aus den Fenstern, blickend in den zerstummten Garten.
Und finden noch einen Steig und einen Hain noch in den Bergen
voll Klarheit der Herbstes, so voll schwelgender Farben,
gehen des Echos versprengten Akkorden nach,
geheimen Spuren, verbliebnen, des stillen und schlanken Schrittes.

In den Rasen ergießt die Seele, gekerbt von Erinnerung,
soviel strömende Lyrik in harzigen Tropfen,
badet ihren hohen, dunklen Zweige in herbstlicher Sonne,
hebt ihren schlanken Stamm in den hineingleitenden Nebel: –
all dessen einziger Augenblick, auf hinablassendem Steige
und in der Stunde der Dämmerung, die das schwere Herz so bedrängt.

 

Vertaald door Louis Fürnberg

 

O nicht vergebens habt Ihr, Stürme, ungehemmt

O nicht vergebens habt Ihr, Stürme, ungehemmt
Das Kap der höchsten Hoffnung überschwemmt,
Vergebens nicht auf finstern Wolkenwagen
Grausame Blitze hergetragen!
O wie Ihr heultet, wie Euch der Gefahr
Abgründ´ge Sprache toll umpfiff,
Und wie verlorner Schmerzens-Schrei
Und trostlos Weinen in Euch war! —

Ihr brachtet Frucht mit Eurem Donnerschlag—
Und jetzt, da es vorbei,
Das Starke sehn wir, wie es an den Tag
Herauf muss; wie es Ähren setzt
Und voll erwuchs zur Lebensreife jetzt.
Was so gereift, kehrt nie mehr zur Vernichtung.
Drum rings der tiefsten Stille ungeheure Lichtung —

Ich lausche in dies Ruhe-Licht,
Sternmyriaden sind zur Stelle.
Aus meines Lebens wild´stem Gericht
Kam die Erlösung mir in diese stille Helle.

So komm, als letzter Reife Pracht
Und süß nach solchem Tag mir, Oh, letzte Nacht!

 

Sova

Antonín Sova (26 februari 1864 – 16 augustus 1928)

 

De Nederlandse dichter Carel Steven Adama van Scheltema werd geboren in Amsterdam op 26 februari 1877. Adama van Scheltema studeerde korte tijd medicijnen, werd toneelspeler, dreef een kunsthandel om zich dan geheel aan de literatuur te wijden. Hij trad toe tot de SDAP, en schreef veel (maar niet alleen) socialistische gedichten.

 

Zonsverduistering

Een zwarte vlam zal ’t klare licht bederven,

Een matte schemer gaat de lucht besmeuren,

De kwijnend zieke zon verbleekt van kleuren, –

Dood hangt de lucht in bange doode verven;

 

De menschen meenen, dat hun God gaat sterven,

Reeds komt de donkre satan ’t doodshemd sleuren:

Wat gaat hun bevend bonzend hart gebeuren,

Als zij hun God en licht – en leven derven!

 

Menschen op áárde viert uw God zijn feest,

Die nog uw slechte ziel en blikken kluistert,

Dien gij nog mint, en haat – en immer vreest:

 

Een bleek brok geld heeft ziel voor ziel verduisterd

En spreidt zijn gier’ge grijns om ieders geest,

Dat elk slechts ’t eigen kloppend hart beluistert.

 

Scheltema

Adama van Scheltema (26 februari 1877 – 6 mei 1924)

 

De Duitse schrijver Hermann Lenz werd op 26 februari 1913 in Stuttgart geboren. Hij studeerde kunstgeschiedenis en archelogie in Heidelberg en München. In WO II was hij soldaat in Frankrijk en Rusland en hij belandde in 1945 in Amerikaans krijgsgevangenschap. Na zijn vrijlating werkte hij als zelfstandig schrijver. Van 1951 tot 1971 was hij secretaris van de Süddeutsche Schriftstellerverband in Stuttgart. Vanaf 1975 tot aan zijn dood woonde hij in München.

Nebendraussen

Du erlaubst dir,
Den Wald zu preisen,
Der Grasmücke zuzuhören
An einem hellen Tag im Juni,
Unbekümmert, während du
Luft spürst an nackter Haut,
Dazu einen Ameisenbiß.

Blaue Wälder und Höhenzüge,
Die weithin gelagert sind.
Hinter Stämmen schimmern die Blätter.

Froh, nicht alles wissen zu müssen,
Keine Ahnung zu haben von …
Aber den Wald zu hören.

 

Lenz

Hermann Lenz (26 februari 1913 – 12 mei 1998)