Axel Hacke, Michiel de Swaen, Egon Bondy, Sawako Ariyoshi, Eugen Gomringer, Raymond Roussel, Edeltraud Eckert, Imre Madách

De Duitse schrijver en journalist Axel Hacke werd geboren op 20 januari 1956 in Braunschweig. Zie ook alle tags voor Axel Hacke op dit blog.

Uit: Das Beste aus meinem Leben

„Manchmal wache ich nachts auf, der Rücken tut mir weh, ich bin steif wie ein Brett und schweiß-gebadet und denke, ich schaffe es alles nicht, die viele Arbeit und die Familie und die ganze Verantwortung und das Geldverdienen — ich schaffe es nicht. Warum kann ich nicht einen Schreibwarenladen haben, denke ich dann, einen kleinen Schreibwarenladen, in den die Leute hereinkommen und aus dem sie wieder herausgehen? Damischen kaufen sie etwas und lassen dafür ein bisschen Geld da, und ansonsten herrscht Ruhe. Oder warum besitze ich nicht eine Heißmangel, wo es den ganzen Tag nach frischer Wäsche riecht, und abends um halb acht sperrt man zu und geht nach Hause, und Schluss und Tagesschau? Das sei ja wohl nicht mein Ernst, sagt Paola dann zu mir: Was wüsste ich denn von den Problemen der Schreibwarenverkäufer und Heißmangelbesitzer!? Ich solle nicht immer nach Sicherheit und Ruhe suchen im Leben, sagt sie, ich solle es endlich einmal als Heraus-forderungsehen. »Das Leben«, rief sie einmal nachts, »ist ein Abenteuer.« Dann nahm sie mich in den Arm und tröstete mich und sagte, ich würde es schon schaffen, alles. Manchmal wache ich auf, weil mein Sohn schreit, Luis. Er ist gerade zwei Jahre alt, und dann und wann wird er wach und ist ganz verschwitzt und schreit einfach so, und dann und wann schreit er auch nicht einfach so, sondern er schreit: »Bügälnk“

 


Axel Hacke (Braunschweig, 20 januari 1956)

 

De Vlaamse dichter, rederijker en heelmeester Michiel de Swaen werd geboren in Duinkerke op 20 januari 1654. Zie ook alle tags voor Michiel de Swaen op dit blog.

Uit: Het leven en de dood van Jesus Christus

Aen Jesus Moeder hun verlegentheyt ontvouwen,
De minsaemheyt, die hy in haer gelaet bemerkt,
Maekt, dat hy syn gemoed door vaste hôp’ versterkt,
’t Gelukt hem naer syn wensch: de Moeder word bewoogen,
En legt haer lieven Soon den dienaers klagt voor oogen;
Maer ’t schynt, dat mynen Heer haer geenen troost aenbiet,
Hy segt: wat vraegt gy Vrouw, myn uer is hier nog niet.
Dees antwoord, die, in schyn, wat bitter was om hooren,
En kond’ in ’t minste deel des Moeder hôp’ niet stooren,
Sy segt de knechten: past wel op, en zyt bereyd,
Op dat gy alles doet, wat mynen Soon u seyd.
Daer waeren in de zael, ten dienste der genoden,
Ses kruyken, naer de wys en suyvering der Joden;
Den Saligmaker roept de dienaers en gebiet,
Dat m’in elk steene vat strakx suyver water giet.
Sy blyven op het woord van mynen Heyland hopen,
En gieten ieder kruyk soo vol dat s’overlopen;
Hier mede segt den Heer: schenkt nu uyt ’t eerste vat.
En geeft d’Hofmeester eens te proeven van dit nat.
Dien heeft het nauwelykx in synen mond genomen,
Of doet den Bruydegom terstond van tafel komen,
En seyd hem, g’heel gestoort: wie vat met wat beleyt,
Gy uwe Bruyloft-feest van daeg hebt aengeleyt?
Elk doet syn gasten eerst den besten wyn uytschinken,
Den slechtsten, als sy nu versaed zyn van te drinken,
Gy geeft den goeden wyn ten eynde van den dis,
En schenkt dien als den smaek nu schier verloren is.

 

 
Michiel de Swaen (20 januari 1654 – 3 mei 1707)
De bruiloft te Kana door Jan Cornelisz Vermeyen, 1535

 

De Tsjechische dichter, schrijver en filosoof Egon Bondy werd geboren op 20 januari 1930 in Praag. Zie ook alle tags voor Egon Bondy op dit blog.

Uit: Journal de la fille qui cherche Egon Bondy (Vertaald door Marcela
Salivarova Bideau)

« Dans la chambre je voulais me laver de la poussière de la
journée
mais sale et collante de transpiration comme j’étais
il m’a forcée sur le plancher
Pour ne pas me salir encore davantage
je lui ai fait le pont
Sûrement du jamais vu pour lui ça l’a terriblement excité
de voir comment ce petit trou le nargue
Au moment où il s’est penché en avant pour s’en servir
j’ai vu sur le mur en face le tableau dans le miroir
Quand soudain j’ai vu cette taille étroite ce ventre qui
s’estompe et le bassin qui dépasse
Toute cette silhouette mincelette au-dessus de laquelle
ne se dressaient que les seins
j’ai ressenti un étonnement inattendu
où vais-je seulement caser ce membre
Et quand j’ai vu comment il entre
et comment il s’engouffre en moi »

je n’arrivais pas à comprendre où il disparaissait
et voilà qu’il ressort
et replonge encore là
où d’après le reflet dans le miroir on devrait à peine
enfourner la moitié
et j’ai été si sidérée et fascinée par ce théâtre
qui se prolongea quelques minutes
que j’ai d’abord complètement oublié de réaliser que je
l’avais en moi

 

 
Egon Bondy (20 januari 1930 – 9 april 2007)

 

De Japanse schrijfster Sawako Ariyoshi werd geboren op 20 januari 1931 in Wakayama. Zie ook alle tags voor Sawako Ariyoshi op dit blog.

Uit: Les années du crépuscule (Vertaald door Jean-Christian Bouvier)

“Depuis qu’il avait frôlé la mort, Shigezo avait d’une certaine manière franchi les limites habituelles du grand âge. Il avait sur le visage une expression candide qu’Akiko ne lui avait jamais vue. Lui, qui était toujours mécontent et ne cessait de se plaindre, souriait avec les yeux sans rien dire ni même ouvrir la bouche. Kyoko et Akiko qui ne l’avaient, ni l’une ni l’autre, jamais vu satisfait ou heureux n’en revenaient pas. Était-ce le contrecoup de la pneumonie? En tout cas un sourire angélique éclairait désormais son visage. Il souriait quand Akiko devinait ce qu’il désirait, quand elle lui servait à manger ou chaque fois qu’elle le faisait venir près d’elle. De temps à autre, assis tout seul, il se mettait à sourire sans raison.
Satoshi avait le même sourire juste après sa naissance. Je me demandais à quoi il pouvait bien rêver puisque ses yeux ne distinguaient pas encore le monde extérieur, mais le docteur m’a expliqué qu’il souriait simplement aux anges. C’est vrai que les bébés ont l’air de petits anges. J’ai l’impression que c’est la même chose pour grand-père… Est-ce ainsi qu’un homme devient un bouddha? »
(…)

“A l’époque féodale, les paysans étaient maintenus dans un état de subsistance minimale. C’est pareil avec la méde­cine d’aujourd’hui, elle empêche les vieillards de mourir sans les faire vivre pour autant.
– Mais “Papy Bonjour ” vit : il a toujours l’air transporté dans un rêve merveilleux. C’est mieux que d’avoir le corps qui se détraque. Ma grand-mère souffre de rhumatismes, je t’assure qu’elle a le visage bien plus ridé que lui. Il a la chance de ne pas souffrir et de ne pas être malade! »
Après leur départ, Akiko réfléchit à la justesse de leurs observations. Il était vrai que les vieillards, aujourd’hui, au lieu de mourir, survivaient comme Shigezo dans un état euphorique de rêve éveillé. Était-ce un privilège accordé à ceux qui avaient traversé une longue vie? Aux yeux de Shigezo, Emi était sans doute un ange du paradis et l’oiseau dans la cage, Kalavinka, l’oiseau sacré du nirvâna.”

 


Sawako Ariyoshi (20 januari 1931 – 30 augustus 1984)
In 1961

 

De Zwitserse dichter en schrijver Eugen Gomringer werd op 20 januari 1925 geboren in Cachuela Esperanza, Bolivia. Zie ook alle tags voor Eugen Gomringer op dit blog.

 

Alleen 

Alleen
Alleen und Blumen

Blumen
Blumen und Frauen

Alleen
Alleen und Frauen

Alleen und Blumen und Frauen und
ein Bewundere

 

entropie ist schön

entropie ist schön
das gegenteil ist schön

wachstum ist schön
veränderung ist schön
dasein ist schön
ordnung ist schön

das gegenteil ist schön

materie ist schön
energie ist schön
botanik ist schön
sanskrit ist schön

das gegenteil ist schön

verzieht ist schön
irrtum ist schön
bedeutung ist schön
wahrheit ist schön

das gegenteil ist schön
entropie ist schön

 


Eugen Gomringer (Cachuela Esperanza, 20 januari 1925)

 

De Franse dichter en schrijver Raymond Roussel werd geboren op 20 januari 1877 in Parijs. Zie ook alle tags vooor Raymond Roussel op dit blog.

Uit: La Vue

Quelquefoi un reflet momentané s’allume
Dans la vue enchassée au fond du porte-plume
Contre lequel mon oeil bien ouvert est collé
A très peu de distance, à peine reculé:
La vue est mise clans une boule de verre
Petite et cependant visible qui s’enserre
Dans le haut, presque au bout du porte-plume blanc
Où l’encre rouge a fait des taches, comme en sang.
La vue est une très line photographie
Imperceptible, sans doute, si l’on se fie
A la grosseur de son verre dont le morceau
Est dépoli sur un des côtés, au verso;
Mais tout enfle quand l’oeil plus curieux s’approche
Suffisamment pour qu’un cil par moments s’accroche.
Je tiens le porte-plume assez horizontal
Avec trois doigts par son armature en métal
Qui me donne au contact une impression fraiche;
Mon oeil gauche fermé complètement m’empêche
De me préoccuper ailleurs, d’être distrait
Par un autre spectacle ou par un autre attrait
Survenant au dehors et vus par la fenêtre
Entr’ouverte devant moi.
Mon regard pénètre
Dans la boule de verre, et le fond transparent
Se précise; ma main, en remuant, le rend.
Malgré ma volonté, fugitif et peu stable;
Il représente toute une plage de sable
Au moment animé, brillant; le temps est beau;
Des clartés rares et minces courent sur l’eau
S’arrondissant suivant le hasard de la houle;
Des promeneurs et des enfants forment la foule
Presque totalement oisive; il fait du vent
Si l’on en croit certains fronts penchés en avant;
On voit même un chapeau de paille qui s’envole.
Car son propriétaire, un peu trop bénévole,
N’a pas compté sur la brise et sur sa fraicheur.

 

 
Raymond Roussel (20 januari 1877 – 14 juli 1933)
Cover biografie

 

De Duitse dichteres en schrijfster Edeltraud Eckert werd geboren op 20 januari 1930 in Hindenburg. Zie ook alle tags voor Edeltraud Eckert op dit blog.

 

Vom Leben trennt dich Schloss und Riegel

Vom Leben trennt dich Schloss und Riegel
Und deiner Muße bleibt nur eins:
Du schaust in den blind gewordenen Spiegel
Deines eigenen vergangenen Seins.

Ein bleiches Bild sieht dir entgegen,
Von keines Künstlers Hand verschönt,
Du ließest dich in Fesseln legen,
Und frei zu sein hast du ersehnt.

Vielleicht, dass sich dein Morgen naht,
Vielleicht bringt auch die Nacht die Wendung,
Du weißt noch nicht, führt dieser Pfad
Zum Wahnsinn oder zur Vollendung.

 


Edeltraud Eckert (20 januari 1930 – 18 april 1955)

 

De Hongaarse schrijver Imre Madách werd geboren op 20 januari 1823 in Dolná Strehová in het huidige Slowakije. Zie ook alle tags voor Imre Madách op dit blog.

Uit: Die Tragödie des Menschen (Vertaald door Jenő Mohácsi en Geza Engl)

DER HERR.
Ha, aus den Augen mir, abtrünn’ger Geist!
Könnt’ dich vernichten wohl, doch thu’ ich’s nicht.
Magst ringen los von allen Geistesbanden,
Im Staube niedrig, ein verpönter Wicht;
Und so gehaßt, verstoßen und verlassen
Sollst reuevoll zur Einsicht kommen erst,
Daß du umsonst an deiner Kette zerrst,
Mit Gott im Kampfe nimmer Fuß wirst fassen.
LUCIFER.
Ach nein, so leicht stößt du mich nicht von hinnen,
Wie schnödes Werkzeug, unbrauchbar geworden!
Selbander schufen wir, drum fordere
Ich meinen Anteil.
DER HERR spottend.
Gut, du sollst ihn haben.
Auf Erden dort, im Paradiese, sieh’,
Zwei schlanke Bäume. Ich verfluche sie,
Dann nimm dir beide hin, sie seien dein.
LUCIFER.
Karg mißt du deine Gaben zu, wahrhaftig!
Je nun, du bist ja ein gar großer Herr,
Und denkst, mir muß ein Fußbreit Raum genügen.
Hat die Verneinung nur den kleinsten Halt,
Hebt deine Welt sie aus den Angeln bald.
Bricht auf.
CHOR DER ENGEL.
Aus Gottes Angesicht, Verruchter, fort!
Heil dem Gesetzesquell, Heil unserm Hort

 

 
Imre Madách (20 januari 1823 – 5 oktober 1864)
Cover

Axel Hacke, Egon Bondy, Sawako Ariyoshi, Eugen Gomringer, Raymond Roussel, Michiel de Swaen, Edeltraud Eckert, Imre Madách

De Duitse schrijver en journalist Axel Hacke werd geboren op 20 januari 1956 in Braunschweig. Zie ook alle tags voor Axel Hacke op dit blog.

Uit: Die Tage, die ich mit Gott verbrachte

„Als ich mir selbst entgeistert hinterhersah, wie ich mit dem schnelleren Zug in der Nacht entschwand, und als ich gleichzeitig auch sehr erstaunt bemerkte, dass ich im selben Augenblick hinter mir selbst in dem langsameren Zug zurückblieb — da blieb nichts übrig, als mir selbst noch einmal mit einer kurzen Handbewegung zuzuwinken. Und in der Fensterscheibe vor mir, wo zuvor noch mein Bild gewesen war, war nur noch schwarze Nacht. Doch dauerte das nicht lange. Nach einigen Minuten tauchten draußen vor dem Fenster die ersten Lichter der Stadt auf, dann auch die zweiten und die dritten, ich erkannte meine Stadt, ich sah ihre Straßen, ich sah sie nur zu genau, denn der Zug fuhr mitten auf dem Asphalt, er fuhr die Sonnenstraße hinunter, dann die Müllerstraße, und an der Ecke, wo sich der Laden befindet, an dem ich morgens meine Zeitungen kaufe, dort, wo natürlich noch nie ein Zug gefahren war und wohl auch nie wieder einer fahren würde (nein, das ist nicht richtig, einmal wird in dieser Geschichte noch ein Zug dort fahren, so viel kann ich verraten), an dieser Ecke also bog er plötzlich in meine Straße ein, der Zug. Einige Autos warteten derweil, mehrere Passanten eilten, ohne die Bahn weiter zu beachten, den Bürgersteig entlang, ein Liebespaar küsste sich vor dem Eingang eines Lokals. Wir fuhren langsamer und hielten genau vor meinem Haus. Ich nahm meine Aktentasche, ging zur Waggontür und drückte auf den grünen Türöffner. Die Tür öffnete sich, ich stieg aus, nur ich, niemand sonst. Ich schloss die Haustür auf, da schoss mir aus dem Aufzug schon mein lieber Büro-Elefant entgegen. Ich blieb in der Eingangstür des Hauses stehen, strich dem Büro-Elefanten über den Rücken, kraulte ihm die Ohren und hörte, wie sich hinter mir leise zischend die Türen des Zuges schlossen. Ich drehte mich um und sah, wie er die Straße entlangfuhr und um die nächste Ecke bog, dort, wo das Schokoladengeschäft ist. Merkwürdig, dachte ich noch, es sind wirklich gar keine Schienen zu sehen und auch keine Oberleitung.“

 

 
Axel Hacke (Braunschweig, 20 januari 1956)
Cover

Lees verder “Axel Hacke, Egon Bondy, Sawako Ariyoshi, Eugen Gomringer, Raymond Roussel, Michiel de Swaen, Edeltraud Eckert, Imre Madách”

Ludwig Thoma, Louis Menand, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir, Imre Madách, Egon Friedell

De Duitse dichter en schrijver Ludwig Thoma werd geboren op 21 januari 1867 in Oberammergau. Zie ook alle tags voor Ludwig Thoma op dit blog.

Uit:Auf dem Bahnsteig

»Es wird Herbst!« sagte Major Burkhardt und blickte den Studienlehrer fest an mit seinen furchtlosen Soldatenaugen.
Er sagte es mit Betonung, als suchte er in seinem Begleiter bestimmte Vorstellungen zu erwecken.
»Ja ja«, seufzte Professor Hasleitner, »es wird allmählich kalt.«
»Und ungemütlich. Kalt und ungemütlich.«
Der Major wies auf die Kastanien vor dem Dornsteiner Bahnhofe, deren gelbe Blätter sich fröstelnd zusammenkrümmten.
»Um fünf Uhr wird es Nacht. Ein schlecht geheiztes Zimmer. Eine qualmende Lampe. Die Zugeherin bringt lauwarmes Essen aus dem Gasthof. Stellt es unfreundlich auf den Tisch. Das ist Ihr Leben.«
Hasleitner hatte ins Weite geblickt, zu dem Walde hinüber, an dessen Fichten der Nebel lange Fetzen zurückließ.
Der soldatisch bestimmte Ton des pensionierten Majors weckte ihn auf.
»Wie?« fragte er.
»Ich sage, Sie müssen heiraten.«
Der alte Soldat deutete auf die tiefer gelegene Stadt, deren Häuser behaglich aneinandergedrückt waren.
»Das ist das Glück!« sagte er. »Eine Frau am Herde, fleißig, um unser Wohl besorgt und stattlich.«
Er beschrieb mit der Rechten eine nach rückwärts ausbauchende runde Linie.
»Und stattlich!« wiederholte er.
Hasleitner sah, wie es weiß und grau und dick und dünn aus vielen Kaminen rauchte, und er schien die Gemütlichkeit des Anblickes zu verstehen.
In seine Augen trat ein freundlicher Schimmer, und man konnte glauben, daß er an Herdfeuer dachte, oder an die runde, sich nach rückwärts ausbauchende Linie.
Überhaupt, er war ein träumerischer Mensch.
Sorglos im Äußeren, den Hemdkragen nicht immer blendend weiß, die Krawatte verschoben, den Bart naß von der letzten Suppe, aber in den Augen Herzensgüte, im ganzen Wesen eine Verträumtheit, die immer wieder zum Nasenbohren führte.”

 

 
Ludwig Thoma (21 januari 1867 – 26 augustus 1921)
Portret door Thomas Baumgartner,1911

Lees verder “Ludwig Thoma, Louis Menand, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir, Imre Madách, Egon Friedell”

Ludwig Thoma, Louis Menand, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir, Imre Madách, Egon Friedell

De Duitse dichter en schrijver Ludwig Thoma werd geboren op 21 januari 1867 in Oberammergau. Zie ook alle tags voor Ludwig Thoma op dit blog.

Uit: Lausbubengeschichten

„Es folgten recht unerquickliche Tage, und jedermann im Hause war bemüht, mich so zu behandeln, daß in mir keine rechte Festesfreude aufkommen konnte.
Schließlich sagte meine Mutter, sie sehe nur noch ein Mittel, mich auf bessere Wege zu bringen, und dies sei der Umgang mit Gretchen.
Vielleicht gelinge es dem Mädchen, günstig auf mich einzuwirken. Herr Rat Vollbeck habe seine Zustimmung erteilt, und ich solle mich bereit halten, den Nachmittag mit ihr hinüberzugehen.
Die Sache war mir unangenehm. Man verkehrt als Lateinschüler nicht so gerne mit Mädchen wie später, und außerdem hatte ich begründete Furcht, daß gewisse Gegensätze zu stark hervorgehoben würden.
Aber da half nun einmal nichts, ich mußte mit.
Vollbecks saßen gerade beim Kaffee, als wir kamen. Gretchen fehlte, und Frau Rat sagte gleich: “Ach Gott, das Mädchen studiert schon wieder, und noch dazu Scheologie.” Meine Mutter nickte so nachdenklich und ernst mit dem Kopfe, daß mir wirklich ein Stich durchs Herz ging und der Gedanke in mir auftauchte, der lieben alten Frau doch auch einmal eine Freude zu machen. Der Herr Rat trommelte mit den Fingern auf den Tisch und zog die Augenbrauen furchtbar in die Höhe. Dann sagte er: “Ja, ja, die Scheologie!”
Jetzt glaubte meine Mutter, daß es Zeit sei, mich ein bißchen in das Licht zu rücken, und sie fragte mich aufmunternd: “Habt ihr das auch in eurer Klasse?”
Frau Rat Vollbeck lächelte über die Zumutung, daß anderer Leute Kinder derartiges lernten, und ihr Mann sah mich durchbohrend an; das ärgerte mich so stark, daß ich beschloß, ihnen eins zu geben.
“Es heißt gar nicht Scheologie, sondern Geologie, und das braucht man nicht zu lernen”, sagte ich.
Beinahe hätte mich diese Bemerkung gereut, als ich die große Verlegenheit meiner Mutter sah; sie mochte sich wohl sehr über mich schämen, und sie hatte Tränen in den Augen, als Herr Vollbeck sie mit einem recht schmerzlichen Mitleid ansah.“

 

 
Ludwig Thoma (21 januari 1867 – 26 augustus 1921)
De jachtkamer van Thoma in het Ludwig Thoma Haus in Tegernsee

Lees verder “Ludwig Thoma, Louis Menand, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir, Imre Madách, Egon Friedell”

Louis Menand, Ludwig Thoma, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir, Egon Friedell, Imre Madách

De Amerikaanse schrijver en letterkundige Louis Menand werd geboren op 21 januari 1952 in Syracuse, New York. Zie ook alle tags voor Louis Menand op dit blog.

Uit: The Metaphysical Club

„Oliver Wendell Holmes, Jr., was an officer in the Union Army. He stood six feet three inches tall and had a soldierly bearing. In later life, he loved to use military metaphors in his speeches and his conversation; he didn’t mind being referred to good-naturedly as Captain Holmes; and he wore his enormous military mustaches until his death, in 1935, at the age of ninety-three. The war was the central experience of his life, and he kept its memory alive. Every year he drank a glass of wine in observance of the anniversary of the battle of Antietam, where he had been shot in the neck and left, briefly behind enemy lines, for dead.
But Holmes hated the war. He was twenty years old and weighed just 136 pounds at the time of his first battle, at Ball’s Bluff, where he was shot through the chest. He fought bravely and he was resilient, but he was not strong in a brute sense, and as the war went on the physical ordeal was punishing. He was wounded three times in all, the third time in an engagement leading up to the battle of Chancellorsville, when he was shot in the foot. He hoped the foot would have to be amputated so he could be discharged, but it was spared, and he served out his commission. Many of his friends were killed in battle, some of them in front of his eyes. Those glasses of wine were toasts to pain.
Holmes recovered from the wounds. The effects of the mental ordeal were permanent. He had gone off to fight because of his moral beliefs, which he held with singular fervor. The war did more than make him lose those beliefs. It made him lose his belief in beliefs. It impressed on his mind, in the most graphic and indelible way, a certain idea about the limits of ideas. This idea he stuck to, with a grimness and, at times, a cynicism that have occasionally repelled people who have studied his life and thought. But it is the idea that under lies many of the opinions he wrote, long after the war ended, as an associate justice on the United States Supreme Court. To understand the road Holmes had to travel in order to write those opinions, we have to go back to one of the worlds the Civil War made obsolete, the world of prewar Boston.”

 

 
Louis Menand (Syracuse, 21 januari 1952)

Lees verder “Louis Menand, Ludwig Thoma, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir, Egon Friedell, Imre Madách”

Ludwig Thoma, Egon Friedell, Louis Menand, Imre Madách, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir

De Duitse dichter en schrijver Ludwig Thoma werd geboren op 21 januari 1867 in Oberammergau. Zie ook alle tags voor Ludwig Thoma op dit blog.

Uit: Münchnerinnen

„In einer Seitengasse der inneren Stadt lag die Spezereiwarenhandlung von Nepomuk Globergers sel. Erben. Zwei Ladenfenster und eine mit Schnitzereien geschmückte Glastüre nahmen zu ebener Erde die Front des schmalen Globergerschen Hauses ein; in einer Nische über den Fenstern des ersten Stockwerkes stand eine schmerzhafte Mutter Gottes, und davor brannte in einer roten Ampel ein ewiges Licht, gestiftet vom Gründer des Geschäftes, Nepomuk Globerger, der unter Max Joseph aus der Altöttinger Gegend nach München verzogen war.
Wer sich an alten Häusern als den Wahrzeichen und Zeugen einer lieben Vergangenheit erfreut, mochte gerne vor dem Hause stehen bleiben und die Rokokoornamente über den Fenstern betrachten.
Aber der Laden mit den Auslagen mußte ihn aus der Behaglichkeit aufstören, denn Benno Globerger, der jetzige Besitzer, war dem Zeitgeiste, der Höhe und Breite braucht, um sich protzig zu geben, gefolgt und hatte die Fenster vergrößert, mit Spiegelscheiben versehen und mit Rolläden geschmückt.
Hinter den Fenstern leuchteten Plakate von Zigarettenfabriken, von Kakao-, Feigen- und Malzkaffeefirmen hervor.
Sympathische Hausmütterchen tranken aus großen Tassen ihre Lebenselixiere, Andreas Hofer schwang die Fahne zu Ehren eines Feigenkaffees, und reizvolle Damen rauchten Zigaretten und zeigten ihre schlanken Waden her.
Wer in den Laden eintrat, wurde von einem älteren, anscheinend schwerhörigen Ladendiener ohne sich überstürzende Höflichkeit begrüßt und konnte an seiner bedächtigen Manier, die Waren in Papier einzuschlagen, sehen, daß man hier Zeit hatte.
Ein Lehrbub, dessen sommersprossiges Gesicht Lust zu dummen Streichen verriet, stand gaffend hinter der Budel und schlenkerte mürrisch zur hinteren Türe hinaus, wenn ihm der Ladendiener in grobem Ton einen Auftrag gab.
Viel beschäftigt schien nur Herr Benno Globerger zu sein, der im anstoßenden offenen Kontor hinter einem Pulte stand.
Aber wenn er spielerisch mit dem Federhalter Kreise beschrieb, um schwungvolle Kaufmannsbuchstaben aufs Papier zu malen, oder wenn er sorgfältig ein Lineal auflegte, um rote Striche unter schwarze zu ziehen, erkannte man, daß seine Arbeit mehr qualitativ als quantitativ bedeutend war.”

 

Ludwig Thoma (21 januari 1867 – 26 augustus 1921)
Standbeeld in Rottach-Egern, Beieren

Lees verder “Ludwig Thoma, Egon Friedell, Louis Menand, Imre Madách, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir”

Qurratulain Hyder, Raymond Roussel, Michiel de Swaen, Edeltraud Eckert

De Indiaase schrijfster Qurratulain Hyder werd geboren op 20 januari 1927 in Aligarh, Uttar Pradesh. Zie ook alle tags voor Qurratulain Hyder op dit blog.

Uit: Fireflies in the Mist

‘Uncle…’ she said now, a little uncertainly, “I merely wished to say that we could work together for unity instead of partition.’

‘Where the hell is unity? The anti-Muslim Arya Samaj of Punjab and the Hindu militancy of Maharashtra and Bengal… are they symbols of peace and goodwill? Don’t forget that these movements were started before we thought of setting up a separate political platform.’

‘I don’t know about other provinces, but in Bengal Hindus and Muslims share a common culture.’

‘Did your community ever admit the fact that the folk music and folk literature of Bengal are largely the contribution of the Muslims? By ‘Bengali culture’ you only mean Hindu culture. During the last century your press even started the language controversy. They said Bengali was not the language of the Muslims, they declared that Bengali literature and culture were exclusively the heritage of the Hindus…By God, Deepali, we wanted unity. But now, such hatred for us! Such contempt. Like the Christians have for the Jews in Europe….

…. ‘But. Uncle,’ she cut in impatiently, ‘both communities started their revivalist movements and were encouraged by the…’

‘British! I agree. Well why did we let ourselves be manipulated by them?’ He collected his papers and carried them to the writing table”.

 

Qurratulain Hyder (20 januari 1927 – 21 augustus 2007)

Lees verder “Qurratulain Hyder, Raymond Roussel, Michiel de Swaen, Edeltraud Eckert”

Louis Menand, Ludwig Thoma, Egon Friedell, Imre Madách, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir

De Amerikaanse schrijver en letterkundige Louis Menand werd geboren op 21 januari 1952 in Syracuse, New York. Zie ook alle tags voor Louis Menand op dit blog.

Uit: Why We Have College

“My first job as a professor was at an Ivy League university. The students were happy to be taught, and we, their teachers, were happy to be teaching them. Whatever portion of their time and energy was being eaten up by social commitments—which may have been huge, but about which I was ignorant—they seemed earnestly and unproblematically engaged with the academic experience. If I was naïve about this, they were gracious enough not to disabuse me. None of us ever questioned the importance of what we were doing.

At a certain appointed hour, the university decided to make its way in the world without me, and we parted company. I was assured that there were no hard feelings. I was fortunate to get a position in a public university system, at a college with an overworked faculty, an army of part-time instructors, and sixteen thousand students. Many of these students were the first in their families to attend college, and any distractions they had were not social. Many of them worked, and some had complicated family responsibilities.

I didn’t regard this as my business any more than I had the social lives of my Ivy League students. I assigned my new students the same readings I had assigned the old ones. I understood that the new students would not be as well prepared, but, out of faith or ego, I thought that I could tell them what they needed to know, and open up the texts for them. Soon after I started teaching there, someone raised his hand and asked, about a text I had assigned, “Why did we have to buy this book?”

 


Louis Menand (Syracuse, 21 januari 1952)

Lees verder “Louis Menand, Ludwig Thoma, Egon Friedell, Imre Madách, Ludwig Jacobowski, Kristín Marja Baldursdóttir”

Louis Menand, Ludwig Thoma, Egon Friedell, Imre Madách

De Amerikaanse schrijver en letterkundige Louis Menand werd geboren op 21 januari 1952 in Syracuse, New York. Zie ook alle tags voor Louis Menand op dit blog.

 Uit: The Women Come And Go

 „T. S. Eliot’s sex life. Do we really want to go there? It is a sad and desolate place. Eliot was twenty-six and, almost certainly, a frustrated virgin when, in 1915, he married Vivienne Haigh-Wood, an Englishwoman he had known for three months. Haigh-Wood was a medically and emotionally vexed person. Her troubles included irregular and frequent menstruation, migraines, neuralgia, panic attacks, and, eventually, addiction to her medication, particularly to ether. She was pretty, ambitious, and (on her better days) vivacious. Eliot was handsome, ambitious, and the opposite of vivacious. “Exquisite and listless,” Bertrand Russell described him when he met the Eliots for dinner two weeks after the marriage. “She says she married him in order to stimulate him, but finds she can’t do it. Obviously he married in order to be stimulated. I think she will soon be tired of him.”

Russell was correct to intuit a tension. The Eliots seem to have discovered that they were sexually incompatible almost immediately. Mrs. Eliot reacted by having an affair with Russell, which her husband either tacitly condoned or was remarkably obtuse about. (Russell was a sexual predator who permitted himself to become temporarily infatuated with the women he seduced. He pretended, by way of self-justification, to believe that his intimacy with Vivienne provided a form of marital therapy to the Eliots.)

Eliot’s own medical and emotional condition was not exactly robust, and he was quickly worn down by the demands of caring for Vivienne. He was also a man whose sense of propriety was sometimes indistinguishable from squeamishness. He told his friends the Woolfs that he could not imagine shaving in his wife’s presence. He and Vivienne slept in separate rooms. She baited him in front of guests; he often responded by declining to respond; and (although it is impossible to be sure) they seem to have been, for much of their marriage, sexually estranged.“

 

Louis Menand (Syracuse, 21 januari 1952)

Lees verder “Louis Menand, Ludwig Thoma, Egon Friedell, Imre Madách”

Louis Menand, Ludwig Thoma, Egon Friedell, Imre Madách, Ludwig Jacobowski, Joseph Méry, Kristín Marja Baldursdóttir, Roderich Benedix

De Amerikaanse schrijver en letterkundige Louis Menand werd geboren op 21 januari 1952 in Syracuse, New York. Zie ook alle tags voor Louis Menand op dit blog.

 Uit: American Studies

 „In 1901, when he was fifty-nine, William James delivered the Gifford Lectures at the University of Edinburgh. James was an international academic celebrity. The Principles of Psychology, which appeared in 1890 and which had taken him twelve years to write, had been quickly recognized as the leading summation of developments in a field transformed by the introduction of laboratory methods and by the evolutionary theories of Charles Darwin. An abridged edition for students, Psychology: Briefer Course, popularly known as “Jimmy,” appeared in 1892; by the time of the Gifford Lectures, it had sold nearly fifty thousand copies.

The Gifford lectureship was a two-year appointment. James returned to Edinburgh for the second set of lectures in l902, and that year the lectures were published as The Varieties of Religious Experience. The Varieties has probably been, over the years, James’s most popular book, read even when his functionalist psychology had been superseded by Freudianism and behaviorism, and his pragmatist philosophy was in eclipse. It is composed primarily of case histories, collected from all around the world and organized by category — “Conversion,” “Saintliness,” “Mysticism,” and so on. It looks, in other words, like a psychology textbook, and that is because it is a psychology textbook. The Varieties is not a study of religion; it is, as the subtitle states, “a study in human nature.”

 

Menand
Louis Menand (Syracuse, 21 januari 1952)

 

De Duitse dichter en schrijver Ludwig Thoma werd geboren op 21 januari 1867 in Oberammergau. Zie ook alle tags voor Ludwig Thoma op dit blog.

 

Vergänglichkeit

Es prangt um uns auf allen Wiesen
In Grün und Gelb, in Blau und Rot.
Wir wollen diese Pracht genießen,
Denn übermorgen ist sie tot.

Schon kommt man, sie hinwegzuraffen,
Es naht der Schnitter, der sie mäht.
Gott hat die Blumenwelt geschaffen,
Dass sie als Heu die Kühe bläht.

Wohl ist es wert, dass man sich härme,
Wenn man das Ganze recht bedenkt,
Wie diese Schönheit durch Gedärme
Verwandelt sich nach außen lenkt.

Hier liegt die Blume hingesch…lagen,
Sie rauchet noch als warmer Mist.
Warum? .. Das wird die Allmacht wissen,
Du frage nicht als frommer Christ.

 

Auf Höhen

Und ich fragte meinen Lehrer,
Wo der liebe Herrgott wohnt.
»Ei, im blauen Himmel oben,
Wo er mit den Englein thront.«

Und die grauen Felsenberge
Ragen doch so hoch empor!
Sieht man von dem steilen Gipfel
In das offne Himmelstor?

Sieht man auch die Engelsscharen?
Hat der Himmel dort ein Loch?
»Ja, natürlich,« sprach der Lehrer,
»Warte, du begreifst es noch.«

Nein, ich hab’ es nie begriffen,
Als ich dann nach manchem Jahr
Oft und oft und immer wieder
Auf den Bergesgipfeln war.

Hoch zu Häupten, fest verschlossen
Wölbte sich das Himmelszelt,
Und ich sah nur kleiner werden
Unter mir die Erdenwelt.

 

Ludwig_Thoma
Ludwig Thoma (21 januari 1867 – 26 augustus 1921)

 

De Oostenrijkse schrijver en kunsthistoricus Egon Friedell werd op 21 januari 1878 in Wenen geboren. Zie ook alle tags voor Egon Friedell op dit blog.

 Uit: Kulturgeschichte Griechenlands

 „Daß der Mensch ein einfaches Bodenprodukt sei wie seine Brüder, die Pflanzen und Tiere, ist eine zu naheliegende Meinung, als daß sie nicht schon sehr früh aufgestellt worden wäre. In der Tat sehen wir sie bereits von Aristoteles vertreten, der sich seinerseits wieder auf den Chefarzt von Hellas stützt, Hippokrates den Großen, wie er ihn mit Recht nennt. Beide erklären ganz unmißverständlich, die Menschen seien im großen und ganzen genau soviel wert wie ihr Land und ihr Klima, mit dem sie in Körper und Seele übereinstimmen. Aber die nächstliegenden Gedanken sind nicht immer die tragfähigsten: das zeigt sich wiederum bereits bei Aristoteles, der aus seiner Theorie die Behauptung ableitet, daß die Bewohner der kalten Gegenden Europas tapfer, jedoch an geistiger Einsicht und an Kunstsinn arm und zu Herrschaft und echter Staatenbildung wenig befähigt seien. Dieser Schluß, für die damalige Weltlage vollkommen richtig, ist, von uns aus gesehen, haarsträubend falsch; denn niemand wird heute mehr die Ansicht wagen, daß es im Norden unseres Erdteils, auf einem Boden, wo Kant und Newton, Rembrandt und Shakespeare gewachsen sind, an geistiger Einsicht oder an Kunstsinn gefehlt habe und daß England, Rußland und Preußen keine Eignung zu Herrschaft und Staatenbildung erwiesen hätten. Es zeigt sich hier
wieder einmal, daß alle Geschichtsphilosophien ebensowohl wahr wie falsch sind: falsch vor dem Weltgeist, dessen Antlitz wandelbar oder vielmehr unerkennbar ist, und wahr als Ausdruck ihrer Zeit.

Die aristotelische Ansicht scheint das ganze Altertum beherrscht zu haben: auch ein so scharfer Geschichtsdenker wie Polybios erklärt, was die Sitten der Völker so gut wie ihre Gestalt und Farbe bilde, sei das Klima. Das Mittelalter dachte zu tief, um dieser allzu diesseitigen Weisheit zu huldigen. Aber im neunzehnten Jahrhundert ist sie wieder zu fast orthodoxem Ansehen gelangt, zumal durch Buckles «Geschichte der Zivilisation in England»,

 

EgonFriedell
Egon Friedell (21 januari 1878 – 16 maart 1938)

 

De Hongaarse schrijver Imre Madách werd geboren op 21 januari 1823 in Dolná Strehová in het huidige Slowakije. Zie ook alle tags voor Imre Madách op dit blog.

Uit: Die Tragödie des Menschen

“Im Himmel. Der Herr mit Glorienschein umgeben auf seinem Throne Knieende Engelscharen. Die vier Erzengel stehen neben dem Throne. Großer Strahlenglanz.

CHOR DER ENGEL.

Gott sei gepriesen, Ehre dem Allmächt’gen,
Der allem, was vorhanden, Dasein gab;
Ein Wort von ihm schuf Himmel, Erde, Welten,
Von seinem Blick hängt auch das Ende ab.
Er ist der Weisheit, Kraft und Wonne Fülle,
Uns überstrahlt der Abglanz nur davon;
Und froh des reichen Anteils knieen dankbar
Anbetend wir um seinen hohen Thron.
Der Urgedanke ist zur That geworden,
Das hehre Schöpfungswerk, es ist vollbracht;
Von allem, was da lebt und webt, erwartet
Nun würd’gen Zoll des Schöpfers Herrschermacht.
DER HERR.
Das Meisterwerk ist fertig, und ist gut.
Es geht nun seinen Gang, der Schöpfer ruht.
Äonen wirbelt’s um die Achse fort,
Bis abgenützt ein Radzahn hemmt den Lauf.
Auf also, meine Weltengeister, auf,
Flink tretet euern ew’gen Reigen an!
Wie ihr im Flug einhersaust mir zu Füßen,
Will ich nun schau’n und mich ergötzen dran.”

 .

Madach
Imre Madách (21 januari 1823 – 5 oktober 1864)
Nationaal standbeeld

 

De Duitse dichter en schrijver Ludwig Jacobowski werd geboren op 21 januari 1868 in Strzelno (Strelno). Zie ook alle tags voor Ludwig Jacobowski op dit blog.

 

Trost der Nacht

Weiche Hände hat die Nacht
und sie reicht sie mir ins Bette;
fürchtend, daß ich Tränen hätte,
streicht sie meine Augen sacht.

Dann verläßt sie das Gemach;
rauschen hör’ ich, sanft und seiden;
und den Dornenzweig der Leiden
zieht sie mit der Schleppe nach.

 

Dem Auge fern, dem Herzen nah…

“Dem Auge fern, dem Herzen nah!”
Als ich die alte Grabschrift sah
Im eingesunknen Marmorstein,
Da fiel mein totes Lieb mir ein.

O Gott, ich schrieb schon tausendmal
Das gleiche Lied aus gleicher Qual,
Und war doch keins wie dieses da:
Dem Auge fern, dem Herzen nah!”

 

Jacobowski
Ludwig Jacobowski (21 januari 1868 – 2 december 1900)

 

 De Franse dichter en schrijver Joseph Méry werd geboren op 21 januari 1797 in Marseille. Zie ook alle tags voor Joseph Méry op dit blog.

 

 Le Ballet des heures

Les heures sont des fleurs l’une après l’autre écloses
Dans l’éternel hymen de la nuit et du jour ;
Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses
Et ne les donner qu’à l’amour.

Ainsi que de l’éclair, rien ne reste de l’heure,
Qu’au néant destructeur le temps vient de donner ;
Dans son rapide vol embrassez la meilleure,
Toujours celle qui va sonner.

Et retenez-la bien au gré de votre envie,
Comme le seul instant que votre âme rêva ;
Comme si le bonheur de la plus longue vie
Était dans l’heure qui s’en va.

Vous trouverez toujours, depuis l’heure première
Jusqu’à l’heure de nuit qui parle douze fois,
Les vignes, sur les monts, inondés de lumière,
Les myrtes à l’ombre des bois.

Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ;
Le vin, ce sang nouveau, sur la lèvre versé,
Rajeunit l’autre sang qui vieillit dans vos veines
Et donne l’oubli du passé.

Que l’heure de l’amour d’une autre soit suivie,
Savourez le regard qui vient de la beauté ;
Être seul, c’est la mort ! Être deux, c’est la vie !
L’amour c’est l’immortalité !

 

joseph_mery
Joseph Méry (21 januari 1797 – 17 juni 1866)

 

Zie voor onderstaande schrijvers ook mijn blog van 21 januari 2009.

 De IJslandse schrijfster Kristín Marja Baldursdóttir werd geboren op 21 januari 1949 in Hafnarfjörður. Zie ook mijn blog van 21 januari 2007 en ook mijn blog van 21 januari 2008.

De Duitse toneelschrijver, acteur en theaterdirecteur Julius Roderich Benedix werd geboren op 21 januari 1811 in Leipzig.